Fichtre ! J’abandonne !
Mais non, continue : c’est comme à la télé, y a plein de rediff !
Et puis, je te donne des pistes : Greg Land, par exemple. Paulo Siqueira. Terry Dodson, Jackson Guice…
Jim
Qui ça ?
Pas déjà fait ?
Ouais, mais demain, j’ai école !
John McCrea :
(WW 154)
AS Section 8
Et c’est quoi, ça (à part du Byrne, si je ne me trompe pas)
C’est une page d’un de ses Wonder Woman : le grand gaillard, c’est Hercule, qui se fait passer pour un aventurier.
Jim
Merci
Après vérification, non.
Jim
Diable ! J’ai préféré faire John McCrea, ça me sied mieux !

(WW 154)
Ça, je vais en recauser : c’est un scénario de Brian Vaughan, je l’ai reparcouru hier soir dans le TPB False Faces. Faut que je relise et que je fasse un petit billet.

AS Section 8
J’ai pas lu, mais de ce que je vois de son encrage, il avait déjà commencé à faire évoluer son style, dans cette direction que j’ai trouvé fort convaincante pour son titre chez Image. Faudra que je regarde ça de près.
Jim
Wonder Woman par Ty Templeton :
Jim
Wonder Woman par Patrick Zircher :
Wonder Woman et Jay Garrick :
Wonder Girl :
Jim
Dans JLA #5, daté de mai 1997, la Ligue de Justice recrute.
Le scénariste Grant Morrison et le dessinateur Howard Porter en profite pour battre le rappel de quelques seconds couteaux de l’univers DC, parmi lesquels Hitman, le héros de Garth Ennis et John McCrea.
Le flingueur à pouvoirs passe donc son oral devant un Limier Martien impassible, puis repart, tout content d’avoir été recalé. Il s’en fout : il en a profité pour utiliser sa vision à rayons x sur Wonder Woman. Et comme il le dit, « il peut mourir heureux ».
Jim
Tiens, je viens de retrouver un mug dans un placard, avec ce design de Garcia Lopez. Trop cool.
Hop, je l’ai ramené dans la cuisine (avec un mug Storm par Dave Cockrum et un mug Avengers par Jack Kirby et Chic Stone, des tirages pour Quick que j’ai sans doute trouvés dans des vide-greniers).
Jim
Ahahahahah … Un vrai truc de mec bas du front mais avec un tel perso, ça me fait rire.
Le tableau Freedom From Want de Norman Rockwell (parfois appelé The Thanksgiving Picture ou I’ll be home for Christmas), peint en 1942, a inspiré de nombreuses parodies et aussi quelques couvertures de comic books.
C’est le cas de JSA #54, par Johns et Kramer. Wonder Woman apparaît sur cette couverture de Carlos Pacheco.
Jim
Bendis a repris ce tableau à de nombreuses reprises dans ses New Avengers.
Bendis a écrit les Vengeurs ? Tu me l’apprends.
Jim
En 2008 paraît un recueil intitulé Batman: False Faces, et organisé autour du scénariste Brian K. Vaughan. [image] Le titre est un poil mensonger puisque le sommaire n’est pas entièrement dédié au Chevalier Noir, deux épisodes consacrés à la Princesse Amazone figurant également dans le recueil. [image] Après une préface de Vaughan lui-même dans laquelle il explique que l’existence de l’ouvrage remonte à une remarque de Kurt Busiek, lors d’une dédicace, le sommaire s’ouvre sur trois épisodes …
Suivent deux chapitres de la série Wonder Woman . Dans les numéros 160 et 161, illustré par un Scott Kolins qui n’a pas encore imposé le style dynamique qu’on lui connaît depuis Flash, Vaughan confronte la Princesse Diana (l’autre) à Clayface. Le diptyque « A Piece of You » est bâti sur une idée toute simple : l’Amazone est née de l’argile, et cette argile intéresse de très près Basil Karlo, alias… Gueule d’Argile.
Tout commence alors que la Cheetah fout le bazar à New York. Flairant quelque chose de louche, Wonder Woman, par un moyen astucieux et détourné (et qui mobilise l’attention de son lecteur, technique fréquente chez Vaughan), obtient la preuve qu’il ne s’agit pas de son ennemie. Face à Clayface, l’héroïne se retrouve débordée, littéralement. Elle est absorbée puis recrachée par le monstre, qui découvre très vite de nouvelles capacités (il peut voler, par exemple). De son côté, Diana trouve refuge dans la Tour des Titans et Donna Troy comprend que sa « grande sœur » a rajeuni… et perdu une partie d’elle-même.
La seconde partie du récit explique de quelle manière les deux héroïnes s’allient afin de piéger leur ennemi, Diana parvenant à récupérer cette partie d’elle-même qui lui manquait et à retrouver son apparence adulte.
Si, du propre aveu du scénariste, ces deux épisodes ne sont pas aussi fouillés et construits que ses autres prestations, il n’en demeure pas moins qu’ils sont riches en dialogues fournis, qui proposent une caractérisation réussie et plein de petites allusions à l’univers de la Ligue de Justice. C’est rondement mené, assez souriant, et ça témoigne d’une bonne connaissance des personnages.
Jim