Wonder Woman par Pete Woods :
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Wonder Woman par Pete Woods :
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Wonder Woman par Khary Randolph :
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Wonder Woman par Tim Levins :
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Et hommage à la fameuse couverture d’Uncanny X-Men #268, avec la « Trinité DC » dessinée par Ed McGuinness :
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Encore une blagounette de Frank Cho :
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Wonder Woman par Rick Burchett :
Et Wonder Girl :
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En 1995 paraît The True Story of Wonder Woman, un livre destiné aux plus jeunes, et illustré entre autres par le regretté Mike Parobeck (les « autres » étant Chuck Frazier, Nicoletta Parasole et Don Desclos).
L’ouvrage, publié par Western Publishing dans la collection « Golden Book », se présente sous la forme d’un fascicule de vingt-quatre pages et appartient à la « Super Shape Series », reconnaissable au fait que les pages soient massicotées selon les détours du personnage (ici, le bras).
L’aventure que cette « véritable histoire » propose est destinée aux jeunes lecteurs, et plonge la Princesse Diana (l’autre) dans un combat contre Arès en pleine ville, à l’occasion d’un énième téléscopage entre mythologie et modernité.
Wonder Woman est donc présentée comme une justicière combattant le méchant, mais aussi comme une héroïne se dévouant au salut des plus faibles, victimes des combats.
À la fin du récit, une fiche permet aux jeunes lecteurs, qui découvrent peut-être la princesse amazone à cette occasion, d’en savoir davantage.
Dans la même collection, on peut également trouver The True Story of Batman, écrit par Scott Peterson et illustré par Mike Parobeck, Rick Burchett et Don Desclos, ou The True Story of Superman, pour lequel on retrouve Louise Simonson, accompagnée de Parobeck, Burchett et Desclos.
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Rondeur Woman par Rachael Stott :
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Wonder Woman par Mike Norton :
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Wonder Woman par Jae Lee :
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Jim Mooney :
Magnifique !
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Le dessinateur Mike Norton est connu pour des séries comme Revival, mais il a aussi animé sa propre série, Battlepug :
En 2014, il a édité trois prints colorisés par David Baron et proposant des variations de son chienchien de guerre, « King of the Sea », « Fastest Pug Alive » et… « Leash of Justice » :
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J’avais bien aimé ses Gravity, aussi.
Ah ouais, tiens, j’avais oublié cette courte série. Ouais, c’était bien sympa.
J’aime bien son style, un peu cartoony, avec une influence John Byrne bien diluée, dans la lignée d’un Pelletier ou d’un Grummett, avec cette touche de semi-réaliste qui fonctionne bien (comme pour le regretté Mike Parobeck, que j’ai évoqué un peu plus haut).
Jim