Wonder Woman par Fernando Blanco :
Jim
Wonder Woman par Fernando Blanco :
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Wonder Woman par Nick Dragotta :
Jim
Wonder Woman par Dustin Weaver :
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Jim
Wonder Woman par Dexter Soy :
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Wonder Woman par Shane Davis :
Jim
Wonder Woman par Matteo Scalera :
Jim
Lors de la reprise de l’univers DC par Semic à la fin des années 1990, Wonder Woman n’aura pas beaucoup de chance : sa série ne durera pas longtemps et elle n’apparaîtra que sur une couverture, celle du Strange #325, de mai 1997.
Et encore, il s’agit de l’illustration d’une couverture de la série JLA de Morrison et Porter, pas de sa propre série.
Jim
J’ai souvenir d’un sommaire assez changeant, quand même : Wonder Woman ne reste pas, Flash non plus, Impulse arrive, non ?
Et Wonder Woman est remplacée par l’ennuyeux Sovereign Seven de Claremont (ce que j’ai détesté ce truc)…
Qui d’ailleurs ne commence pas au premier numéro, si je me souviens bien.
On sent la panique dans la rédaction de Semic.
Jim
Wonder Woman par Paul Azaceta :
Jim
J’ai rien compris au peu que j’ai lu !
Le navire coule clairement là, oui.
Ah, si Bruce le dit !!!
Jim
Wonder Woman par Sami Basri :
Jim
Ca donne finalement envie d’y jeter un oeil.
Le destin de la Société de Justice, expliqué dans les années 1970 dans Adventure Comics #466 :
Le dernier épisode de ce passage dans Adventure Comics , et qui referme le sommaire du recueil, est composé par un grand flash-back . Huntress raconte à Power Girl pourquoi les héros ont cessé leurs activités au début des années cinquante. En fait, après avoir déjoué un plan d’espions d’une autre nation, ils ont été convoqués devant une commission sénatoriale, qui refuse de croire qu’un autre pays pourrait disposer d’une technologie susceptible d’envoyer une station orbitale dans l’espace. Les politiciens demandent aux héros de dévoiler leurs identités, mais ceux-ci refusent et quittent l’assemblée, renonçant du même coup à leurs activités de justicier.
Très bien servi par un Staton qui s’encre lui-même (il y a encore des dessins bancals, mais ses choix d’encre donne de la vie à ses cases), Levitz pose là un jalon de l’univers DC et de sa continuité. L’épisode sera repris notamment par Roy Thomas et conservé dans les timelines à venir, et sera également une source d’inspiration pour la série Golden Age de James Robinson et Paul Smith.
Les aventures de la Société de Justice prennent fin dans les années 1970. Mais les bases seront posées pour d’autres déclinaisons (notamment la série de Thomas et Ordway), et surtout, Levitz, s’il n’aura pas réussi à rendre palpitantes les aventures, aura imposé des personnages (notamment Huntress) et une continuité qui servira de tremplins à nombre de ses collègues.
Pour en savoir plus :
Le premier tome consacré à All-Star Comics (version années 1970), s’est arrêté au numéro 67. Le tome suivant (je rappelle qu’il existe une intégrale noir & blanc en Showcase et une intégrale en couleurs, plus récente) reprend dès le numéro suivant, complétant la série sous une couverture de Brian Bolland. [91bfFw8fowL] La série bénéficie du dessin de Joe Staton, énergique mais inégal. On sent qu’il aime ses personnages et qu’il s’investit, mais il y a toujours une case bancale ou un visage rat…
Jim