1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

You’re welcome.

Jim

Mon ami Google me l’a prêté :

La VF n’est pas si mal : en tchèque, JE Hoover est devenu Lady Gaga :

Tori.

Je préfère la VF !

Y a juste la référence à Dark Vador qui disparaît dans la première réplique. Question de place sans doute. Du coup c’est vrai que le côté « et toi, tu es… laisse-moi deviner » est plus fluide en V.O. ; mais le gag final est conservé (WTF Lady Gaga ??).

Oui, plutôt que de faire sauter la référence à Dark Vador (qui, comme tu le dis, nuit à l’enchaînement avec la réplique suivante), il aurait peut-être été préférable de faire sauter le « joyeux Halloween »…

Tori.

Les pages d’un titre Wonder Woman/Xena que je viens de retrouver dans mon dossier des projets avortés.

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Je me doutais bien que quelqu’un le retrouverait, et tu faisais partie des suspects habituels !
:wink:

C’est peut-être à cause de ça que j’en gardais un bon souvenir, je sais plus…

Jim

Le dessin : on dirait Eduardo Barreto, non ?

Après vérif, ouais, c’est bien Barreto :

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Jim

L’arc « New Maps of Hell », dans Justice League Classified, par Warren Ellis et Butch Guice.

Jim

Pour Xéna/Wonder Woman,je me demande comment ils auraient géré Hercule…

Un an avant les Super Friends, la première apparition officielle de Wonder Woman sur le petit écran a eu lieu en 1972 dans un épisode du dessin animé The Brady Kids (inédit en V.F.), qui avait déjà accueilli précédemment Superman et Lois Lane.

Dans It’s All Greek to Me, les héros rencontrent Diana Prince/Wonder Woman et tout ce beau monde est projeté dans le passé, au temps des Jeux Olympiques Antiques.

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Extrait (les deux autres parties sont disponibles sur YouTube) :

Un petit buste…

Tori.

C’est sympa chez toi.

Oui dans toutes les mairies de France.

Jim

Pub !

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Hopey and Rand Race sketches by Jaime Hernandez for Wonder Woman Day, 2009.

Tiens, il signe Xaime… Son état civil, c’est J’aime ou Xaime ?
C’est le même prénom, mais Xaime est la variante orthographique en galicien…

Tori.

Il sait dessiner, mais peut-être pas écrire.

(c’est pour ça qu’il met une croix, hinhinhin…)

Jim

Les Wonder Women alternatives, chapitre 3 : Wonder Woman One Million

L’univers DC n’a jamais été radin en matière de futurs alternatifs. Et la palme revient sans doute à l’univers que Grand Morrison a situé au 853e siècle (à une date où, grosso modo et selon d’obscurs calculs, Action Comics atteindrait son millionième numéro, d’où le « One Million », pour faire court) et où la JLA officie toujours.

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Grant Morrison étant ce qu’il est, si la JLA est toujours en activité quelque 833 siècles dans l’avenir, la signification de son sigle a changé. La « Justice League of America » est devenue la « Justice Legion Alpha », et les surhommes qui la composent ont des pouvoirs qui transcendent leur nature humaine, donnant l’impression qu’ils sont aux super-héros ce que ces derniers sont à nous autres pauvres mortels.

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Bon, ce n’était pas la première fois que Morrison tâtait de l’idée de versions quasi-divinisées des membres de la Ligue, puisqu’il avait fait apparaître les héros de Wonderworld au début de l’arc « Rock of Ages », où l’on pouvait facilement reconnaître, malgré des déguisements complexes, Superman en Adam-One, Atom en The Mote ou encore Wonder Woman en The Goddess. Mais avec la Justice Legion Alpha, il créait une version futuriste tout à fait utilisable dans de gros événements éditoriaux.

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Donc, cette JLA du futur fait son apparition officielle dans JLA #23, dessinée par Howard Porter, avant d’être au centre du cross-over One Million. Pour l’occasion, les séries en cours s’interrompent et, pendant un mois, des numéros #1000000 paraissent, confrontant les héros avec leurs doubles futuristes.

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L’histoire tourne autour d’un voyage temporel, d’une menace cosmique, d’un échange culturel, de l’affirmation d’une identité et de l’avènement d’un héritage héroïque qui dépasse les époques et les générations. En plaçant si loin l’avenir qu’il décrit, Morrison s’autorise des disparités technologiques et culturelles délirantes, des idées tordues, mais également une sorte de « sens du merveilleux » qui convient très bien à des séries aussi colorées (bon, quand est-ce qu’il retourne chez Marvel écrire Avengers, tiens, lui ?).

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S’il met en avant des héros qu’il a fait venir dans la série, à l’image de Steel, et s’il propose des enjeux vraiment impressionnant, Wonder Woman y joue un rôle important. C’est Superman, en tant que fondateur du genre, qui est au centre du récit, mais la fière Amazone n’est nullement négligée.

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L’une des particularité de cette version futuriste de Wonder Woman, applicable à ses équipiers aussi, au-delà de la simple déclinaison stylistique des costumes et des symboles, pectoraux et autres, c’est que les personnages paraissent déshumanisés, presque robotiques, ou artificiels. Les auteurs parviennent à créer un sentiment d’étrangeté dans ces personnages de papier, peut-être comparable à celui que les lecteurs de la fin des années 1930 pouvaient ressentir au tout début du genre. Mais l’histoire fait en sorte que ces figures un peu synthétiques sont très vite humanisées.

Jim

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Ah bah ça, fatalement, je ne pouvais pas ne pas le montrer ici !

Jim