L’efficacité alliée à la beauté et le talent. Superbe.
Ce qui est chouette dans sa version, c’est qu’il ne joue pas la carte de la nana aux courbes outrées à la Frank Cho (pour faire court) ni celle de la culturiste à la Adam Hughes (pour faire court là aussi) : sa version est finalement assez potelée, ce qui ne l’empêche pas de véhiculer une certaine idée de puissance.
Jim
Elle est cookie
Si tu le dis.
(Soyouz qui emploie des mots anglais : l’apocalypse est sur nous).
Jim
Disons que dans le cas présent c’est un adjectif lié à Cooke, dans sa représentation graphique. Un néologisme
Illustrations de Michael Cho pour les rééditions The Golden Age Wonder Woman (version normale et version « Omnibus ») :
Jim
Wonder Woman par Andy Kubert :
Jim
Wonder Woman par Adam Kubert :
Jim
Wonder Woman par Mike Kaluta :
Jim
Wonder Woman par Jeff Jones :
Jim
Wonder Girl et Mer-Boy par Alan Weiss :
Jim
Wonder Girl par Pat Gleason :
Jim
Wonder Woman par Bill Sienkiewicz :
Wonder Girl par Bill Sienkiewicz :
Hommage de Sienkiewicz à Ruth Bader Ginsburg :
Jim
Wonder Woman par Brent Anderson :
Jim
La Wonder Woman résolument guerrière avec épée et bouclier dans les mains est à présent rentrée dans l’imaginaire (les films ayant également donnés un petit coup de pouce pour cela). Est-ce avec le run de Brian Azzarello et Cliff Chiang que Diana commence à se balader régulièrement avec ces armes à la main ? Ou d’autres auteurs la représentaient ainsi avant régulièrement ?
J’ai la vague impression que c’est Frank Miller qui inaugure le bal sur une couverture de fanzine en 1980.
Ensuite, je dirais que le grand tournant, c’est Kingdom Come, de Mark Waid et Alex Ross. Donc en 1996. Spontanément, comme ça, je dirais que c’est là que l’image d’une guerrière en armure s’impose.
Entre deux, je ne sais pas trop, faudrait vérifier.
Jim
Wonder Woman par Tom Morgan :
Wonder Girl par Tom Morgan :
Jim
Wonder Woman par John Romita :
Jim
Wonder Woman par John Romita Jr :
Jim
Wonder Woman par Rob Liefeld :
Jim