La lecture et relecture de vieux épisodes de Wonder Woman, souvent dans les années 1970, amène à croiser fréquemment le nom de la coloriste Liz Berube, qui nous a quittés récemment.
Hommage.
Jim
La lecture et relecture de vieux épisodes de Wonder Woman, souvent dans les années 1970, amène à croiser fréquemment le nom de la coloriste Liz Berube, qui nous a quittés récemment.
Hommage.
Jim
2016 : quand le site Actualitté se fait l’écho de la polémique sur les couvertures de Frank Cho pour Wonder Woman :
Jim
Wonder Woman par Milo Manara :
Jim
Wonder Woman par Mahmud Asrar :
Et Wonder Girl :
Jim
Wonder Woman par Brandon Peterson :
Jim
Wonder Woman par Dan Jurgens :
Jim
Wonder Woman par Tom Derenick :
Jim
Wonder Woman par Graham Nolan :
Jim
Puisque Marko a lancé les hostilités :
Wonder Woman par Norm Breyfogle, d’abord en solo…
… puis avec Isis et Valkyrie :
Jim
Artemis par Mike Deodato (à côté d’un Batman par Norm Breyfogle) :
Jim
Couverture de Mediascene #23, janvier 1977.
Jim Steranko’s fine zine covering popular entertainment. Tabloid newspaper format (all issues come folded) but on good quality white paper stock. Female TV heroes, Philippe Drullet, Joe Kubert Art School, Batman (with a full-page Steranko illustration), collecting original art, interview with Doug Moench and Paul Gulacy. Comics, book, and film news. 36 pages in two sections; partial color. Cover price $1.50.
La revue étant publiée par Supergraphics, la boîte montée par Jim Steranko, et ce dernier en assurant la supervision éditoriale, on est en droit de penser que la maquette a été réalisée par ses soins.
(On voit peut-être mieux sur cette image-ci : )
Jim
Wonder Woman par Jim Steranko :
Jim
Phil Winslade rend hommage à une couverture fameuse de Hulk par Jim Steranko :
Jim
Wonder Woman par Barry Windsor Smith :
Jim
Fausta, the Nazi Wonder Woman est le 2ème épisode de la 1ère saison de la série TV avec Lynda Carter, diffusé le 28/04/1976.
Dans cet épisode, une espionne et athlète olympique allemande, nommée Fausta Grables, est chargée, sur ordre de Hitler, de capturer Wonder Woman.
Ce qui, au passage déplait fortement au Colonel Kesselman, car ce dernier estime que Wonder Woman n’est qu’une propagande hollywoodienne (et surtout qu’une femme puisse être supérieure à un homme ça, c’est impensable, d’où le peu de restect envers sa propre compatriote Fausta).
Fausta se rend donc aux Etats-Unis et capture Steve Trevor afin de tendre un piège à Wonder Woman. Cette dernière réussi à libérer Steve, mais ce faisant permet à Fausta de découvrir le pouvoir de son lasso. Fausta élabore alors un nouveau plan.
Lors d’un spectacle pour l’effort de guerre, revêtue du costume de Wonder Woman et d’un masque, Fausta se fait passer pour elle lors d’épreuves de force.
La vraie Wonder Woman apparait, également en costume et masquée, et se mesure à Fausta. Mais elle est capturée, et, prise au piège par son propre lasso, elle révèle à ses ennemis que c’est sa ceinture qui lui donne sa force hors de son île natale.
Privée de sa ceinture et sans défense, Wonder Woman est emmenée par les Nazis en Allemagne.
Elle réussit à se libérer lorsque, lors de l’interrogatoire qu’elle subie, atterrissent dans ses mains son lasso et sa ceinture qui ont été lancés par le Colonel Kesselman, énervé par les déclarations qu’elle vient de faire.
Bah oui, Wonder Woman venait juste de raconter que sur son île il n’y a que des femmes, et que loin de la présence néfaste des hommes elles ont pu développer leurs capacités intellectuelles et physiques. Il y a de quoi énerver le monsieur qui n’est pas prêt de croire à de telles balivernes, lui qui méprise les femmes !
Retrouvant sa force Wonder Woman réussit à s’échapper et regagne les Etats-Unis, mais devra revenir sur ses pas, car Steve, qui était venu jusqu’en Allemagne pour la délivrer, lui est fait prisonnier.
On voit d’ailleurs pour la dernière fois la première version de sa transformation, la « slow-motion », où elle tourne sur elle-même et se transforme petit à petit, passant de Diana à Wonder Woman, devant à la fin cacher ses vêtements de Diana. Trop cher à réaliser, cette version de sa transformation cédera sa place à la version avec le flash lumineux et « l’explosion » dès l’épisode suivant, Beauty on Parade.
Lors de la libération de Steve, on assiste à une scène qui n’est pas sans rappeler celle d’un célèbre film qui sortira l’année suivante au cinéma.
Finalement Wonder Woman réussira à convaincre Fausta que les Nazis sont ses ennemis (il faut dire qu’elle a bien été aidée par le Colonel Kesselman qui n’a eu de cesse de rabaisser et rabrouer Fausta, allant jusqu’à vouloir la tuer). Elle proposera à Fausta de venir avec elle aux Etats-Unis, mais cette dernière préfèrera rester en Allemagne pour les combattre les Nazis.
Cet épisode est basé sur l’histoire Wanted by Hitler, Dead or Alive, présente dans le Comic Cavalcade #2 de mars 1943, dessinée Frank Godwin. Quant au scénario, c’est souvent W.M. Marston qui est crédité, mais il semble que ça pourrait être son étudiante Joye Hummel Murchison qui en soit l’auteur.
Dans cette histoire, Hitler a chargé Fausta Grables, son agent le plus intelligent, de lui ramener Wonder Woman morte ou vive.
Fausta va aborder Diana puis Steve en se faisant passer pour une journaliste. Si Diana s’en méfie, Steve lui n’y voit que du feu.
Comme dans la série, Fausta va s’en prendre à Steve, et Wonder Woman viendra le sauver.
En espionnant Steve, Fausta découvre que Wonder Woman passera la nuit chez « Diana ». Elle se rend donc chez cette dernière et réussit à mettre la main sur le costume de Wonder Woman.
Elle élabore alors son nouveau plan, se faire passer pour Wonder Woman lors d’un spectacle pour l’effort de guerre, dans lequel elle montre sa force et apparait masquée.
Wonder Woman, revêtue d’une tenue amazonne, et non pas de son costume, défie Fausta, qui va la piéger avec son propre lasso.
Fausta remet Wonder Woman entre les mains de Herr Spader. Mais ici, contrairement à la série TV, on ne part pas en Allemagne, ce sont Steve et Etta qui viennent à son secours, ayant été prévenus par la reine Hippolyte, via la fameuse radio mentale, et Wonder Woman finit par stopper les Nazis.
On remarque les points communs entre l’histoire de base et l’épisode de série TV avec l’enlèvement de Steve, le combat entre les 2 Wonder Women et l’enlèvement de Wonder Woman.
Mais la série TV va plus loin dans l’opposition hommes/femmes, en utilisant le personnage du Colonel Kesselman, un homme méprisant particulièrement les femmes et qui d’ailleurs n’accepte pas le fait que Fausta n’ait pas de compte à lui rendre, car elle agit sur ordre d’Hitler.
Wonder Woman par Kevin Maguire :
Wonder Woman et Caitlin Fairchild :
Jim
Wonder Woman par Alex Saviuk :
Jim