François Walthéry, dans un portfolio paru en 1995 (et limité à 500 exemplaires signés) intitulé « Natacha carnaval », déguise sa célèbre hôtesse de l’air en diverses héroïnes, dont Wonder Woman :
Tori.
François Walthéry, dans un portfolio paru en 1995 (et limité à 500 exemplaires signés) intitulé « Natacha carnaval », déguise sa célèbre hôtesse de l’air en diverses héroïnes, dont Wonder Woman :
Tori.
Pas mal !
Jim
Wonder Woman par Michael Golden :
Wonder Girl (au super festival d’Aviles, en Espagne : je recommande vivement) :
Jim
Il y a d’autres emprunts aux comics, mais je crois que c’est resté rare (je n’ai pas forcément tout lu de WW pour pouvoir trouver des liens avec la série TV).
Par exemple Wonder Woman Meets Baroness von Gunther, épisode 1 saison 1, reprend des éléments de l’intrigue d’une histoire, Wonder Woman Versus the Prison Spy Ring parue dans le Wonder Woman #1 toujours avec Paula Von Gunther (Paula et Fausta (de l’épisode 2) seront d’ailleurs les rares (seules ?) ennemies empruntées aux comics).
Dans le comic, Diana et Steve vont rendre visite à la Baroness Von Gunther qui est en prison (dans le comic Paula a déjà eu affaire à Wonder Woman puisqu’elle est apparue dans le Sensation Comic #4, soit quelques mois avant le WW #1) pour enquêter sur des histoires d’espionnages. Durant l’histoire Freddy, le jeune fils du gardien qui s’intéresse aux cow-boys et lasso, entrera en possession du lasso de Wonder Woman et aidera cette dernière à stopper Paula.
Dans la série, Diana et Steve enquêtent aussi sur une affaire d’espionnage, et vont rendre visite à Paula qui est en prison. Le jeune fils du gardien, Tommy, qui ici est fan de Sherlock Holmes, aura aussi entre les mains le lasso de Wonder Woman, et l’aidera également à arrêter Paula.
Après il y a aussi le contraire, l’intrigue d’un épisode de la série TV qui a inspiré une histoire dans un comic.
C’est arrivé dans la série Wonder Woman 77’.
Disco Devil, l’épisode 5 de la saison 3, a une intrigue autour d’un danseur de disco télépathe et la protection de scientifiques, et Disco Inferno, la première histoire du Wonder Woman 77’ #1, se passe aussi dans une discothèque pour protéger un scientifique.
J’en avais ici parlé à l’époque :
Ca y est, c’est lu. Alors qu’est ce que c’est exactement ? Les histoires d’abord. Elles sont au nombre de 2, chacune en 3 parties. La première, purement dans l’ère seventies, avec pour titre Disco Inferno, y voit Diana Prince/WW et Steve Trevor s’occuper de la protection de scientifiques Russes désireux de quitter leur mère patrie. L’un d’eux déjà sur le sol américain leur donne du fil à retordre car peu soucieux de se faire protéger. Un bonne partie du récit se passe dans une discothèque. On…
Wonder Woman par Marshall Rogers :
Jim
Mike Peters (l’auteur de Grimmy) :
Jim
« Wonder Woman 1984 » : c’est le titre du deuxième film consacré à l’Amazone, mais ça renvoie immanquablement à un millésime précis dans l’histoire de sa série. Tim Hanley s’interroge donc sur ce à quoi ressemblaient les parutions de l’Amazone en 1984… et ce n’est pas joli-joli.
Besides Cheetah, the new movie won’t have a ton to lift from in period-appropriate comics
Entre un bazar monumental en matière de continuité (Steve Trevor est mort, ressuscité, re-mort, effacé des souvenirs de Diana, remplacé par un double d’une autre dimension…), une chute des ventes qui conduit à passer le titre en bimestriel, Wonder Woman connaît une fuite des lecteurs et un désintérêt global des créateurs qui ne cesseront qu’à l’arrivée de Pérez deux bonnes années plus tard.
Jim
(Steve Trevor est mort, ressuscité, re-mort, effacé des souvenirs de Diana, remplacé par un double d’une autre dimension…)
Dans la même année ?
Non, c’est étalé sur la décennie qui a précédé, mais visiblement (je ne suis pas allé vérifier les dates précisément), c’est utile de le savoir dans les épisodes qui sortent en 1984. Tu m’étonnes que les lecteurs se soient pris les pieds dans le tapis !
Jim
c’est étalé sur la décennie qui a précédé, mais visiblement (je ne suis pas allé vérifier les dates précisément), c’est utile de le savoir dans les épisodes qui sortent en 1984.
Ils résument bien la situation dans l’article que tu as posté :
(There was another Steve in the mix, too. The ectoplasmic extractor turned Dr. Psycho into Captain Wonder, with the powers of Wonder Woman but the appearance of Steve. It was… weird.)
Rien ne me choque, on dirait juste un mardi normal dans l’univers DC pré-Crisis ! ;p
Ouais, voilà : je suis sûr qu’on peut trouver des exemples comparables dans n’importe quelle série au long cours, et même pas besoin d’aller chercher dans les années 1990.
Mais faut avouer que ça peut surprendre celui qui n’aurait pas suivi. Et en France, avec le désordre de traduction qu’ont connu les séries DC, ballottées sur plusieurs titres, ça doit pas être simple pour s’y retrouver.
Jim
Wonder Woman par Ed Hannigan :
Crayonnés de la couverture de Wonder Woman #300 :
(J’ignore pourquoi il est daté « 05 » : s’il s’agit d’une recréation, c’est au millimètre près).
Jim
The Wonder Woman of actual 1984 was totally bizarre
Besides Cheetah, the new movie won’t have a ton to lift from in period-appropriate comics
Merci pour le partage de cet article vraiment intéressant, dans lequel on peut trouver l’adresse d’un autre bon moment de lecture : George Perez nous raconte comment il s’est donné pour mission d’empêcher la série Wonder Woman post-Crisis de devenir un titre vulgaire aux mains d’un dessinateur qu’il ne nomme pas, la manœuvre aboutissant au mythique run que l’on connaît.
(J’ignore pourquoi il est daté « 05 » : s’il s’agit d’une recréation, c’est au millimètre près).
C’est une commission…
(en tout cas, d’après les informations données ici).
Tori.
J’avais vu ça, mais j’avais du mal à y croire, tellement c’est proche du trait encré.
Jim
C’est vrai que la seule différence visible, c’est la signature qui n’est as au même endroit… logique, puisqu’il manque la moitié de l’illustration !
C’est d’ailleurs curieux d’avoir demandé seulement la moitié de l’image.
Tori.
Ouais, un instant, j’ai pensé que l’image n’était pas complète.
Jim
Tiens, d’ailleurs, il y a une coupure sous le M de « Woman »… Et un gros blanc au-dessus de Hawkman (ça lui en coupe l’aile, d’ailleurs), un peu comme si le logo du titre avait été ajouté sans trop de précautions.
Dans la même galerie, on trouve des recréations de couvertures, dont celle-ci par Don Rosa :
Tori.
un peu comme si le logo du titre avait été ajouté sans trop de précautions.
Oui, le logo, c’est l’autre grosse différence, avec l’emplacement de la signature (et pourquoi avoir mis le nom de Giordano, puisqu’il s’agit d’un crayonné ?).
Dans la même galerie, on trouve des recréations de couvertures, dont celle-ci par Don Rosa :
Ah super chouette !
Jim
Relevé par Jay Wicky, qui comme moi s’intéresse aux vieilleries :
Le saviez-vous ?
En Allemand, Wonder Woman se dit Wunder Girl.
Mais alors, comment dit-on Wonder Girl ?
Eh bien Wunder Teen, puisqu’elle fait partie des Teen Titans.
Les Teen Titans qui, naturellement, s’appellent les Junge Giganten.
C’est pourtant simple !
Pour vous, amis germanophones, tout est listé ici.
Alors mon allemand est rouillé (et c’est peu de le dire), mais si je comprends bien, notamment à la consultation de cette page, la maison d’édition Ehapa a perdu les droits des personnages DC, ce qui laisserait penser que l’information concernant les traductions soit désormais relégué au rang de vieilleries. Adieu donc, sans doute, Röter Blitz, entre autres.
Tori, notre polyglotte local, saura nous confirmer si je comprends bien ou de travers.
Jim