Bon, en fait, « Alley-kat-zam » est sa formule magique (ça donne « Chat-Zam », en français ?)…
Tori.
Bon, en fait, « Alley-kat-zam » est sa formule magique (ça donne « Chat-Zam », en français ?)…
Tori.
Wonder Woman, Superman et Captain « Shazam » Marvel par Kevin Nowlan :
Jim
En 2012, Drew Edward Johnson dessine un épisode de Wonder Woman, sur scénario de Michael Jelinic, scénariste de dessin animé. L’épisode était censé servir de fill-in mais il est resté dans les tiroirs pour des raisons liées au design du costume de l’héroïne.
Jim
En 1985, le scénariste Kurt Busiek et le dessinateur Richard Howell travaillent, sous la direction du responsable éditorial Alan Gold, sur une aventure de Wonder Woman destinée à l’origine au numéro 329 de la série. Ce numéro, on l’a vu un peu plus haut, a finalement été le dernier de cette mouture (daté de février 1986), réalisé par Gerry Conway et Don Heck. De l’aventure prévue par Busiek et Howell, il ne reste pas beaucoup de traces, à part la page d’ouverture.
Pendant des années, ce récit dormira dans les tiroirs de DC. Et il faudra attendre l’arrivée de Busiek sur la série Superman pour qu’il ressorte enfin des limbes. Dans Superman #661, daté d’avril 2007, le récit « Dangerous Lady » prend une nouvelle forme. Kurt Busiek doit adapter les péripéties et les dialogues à la nouvelle donne (notamment le fait que Superman soit marié…) et c’est le regretté Eduardo Barreto qui se charge de retailler les dessins de Richard Howell.
Vingt et un ans plus tard, l’aventure peut enfin rencontrer son public… et permettre de gagner du temps et de soulager les auteurs, les retards de différents dessinateurs, dont Carlos Pacheco, ayant bouleversé le planning des titres Superman de l’époque. Sans ces décalages, « Dangerous Lady » continuerait peut-être encore à dormir dans un tiroir.
Jim
Première version de la couverture de Wonder Woman #306, par Gil Kane. Le dessinateur utilisait déjà des feutres pour son encrage, dont le noir disparaît rapidement sous l’effet de la lumière, ne laissant, au bout de quelques années, que des tracés gris ou roses. Remarquons que l’original ne porte pas de numéro d’épisode, il a peut-être été commandé à titre d’inventory, de réserve.
Couverture finale, conservant la même idée graphique mais entièrement redessinée par José Luis Garcia Lopez et encrée par Dick Giordano.
Jim
Couverture rejeté de H. G. Peter pour la série Wonder Woman :
Jim
Et deux dessins originaux, du même :
(Aucune idée de qui sont James et Skippy Wroten, mais on voit que le deuxième est dédié à Sheldon Mayer.)
Si on en croit l’interview, publiée dans Alter Ego #157, de Joye Hummel Murchison Kelly, scénariste assistante de William Moulton Marston et sa remplaçante officielle quand la maladie l’a empêché de continuer à travailler, il s’agit d’un couple de lettreurs.
Jim
Ah, cool, merci pour l’info.
Je viens de l’apprendre (le temps de faire quelque captures pour poster ici). J’ai tenté une recherche, en me disant qu’avec des noms pareils, on dénicherait bien une info quelque part…
Jim
Quelques infos complémentaires ici.
“When both of our scripts were finished, Marston and I met at the New York office. He checked my script to be sure Wonder Woman was depicted as an admirable heroine and that my story was exciting and incorporated a positive influence. After typing both of our scripts, I delivered them to our editor, Sheldon Mayer. When Sheldon returned the scripts, they were given to Peter and his assistants to do the art work and to Jimmy and Skippy Wroten to do the lettering. All proof reading was done by me before they were delivered to the publisher.”
Jim
Je VEUX ce crossover.
Une marionnette qui ne semble pas toute jeune :
Tori.
On n’est bien pas le 1er samedi du mois ?
Illustration rejetée de H. G. Peter, représentant Etta Candy contre la Cheetah (1940 environ) :
Jim
Moule à biscuit Wonder Woman, années 1970 :
Jim
Pot à biscuits Wonder Woman, 1978 :
Jim
En 1967, Roy Thomas et Wally Wood, sous la supervision de Len Brown et Art Spiegleman, signent une parodie de Wonder Woman en prévision d’un mini-comic publié par Topps. Une quinzaine de ces parodies a vu le jour, et elles demeurent difficilement trouvables (le tirage ne semble pas important).
Leur histoire, « Blunder Woman », parfois titrée « The Old Un-Mod Blunder Woman », se conclut sur une chute où le personnage se retrouve prisonnier d’un cliché féminin : la ruée vers les soldes.
Comme le souligne Paul Levitz dans son Little Book of Wonder Woman, le récit, qui sort avant la fameuse période Diana Prince, met en scène le soudain intérêt de l’héroïne pour la mode, mais dans un contexte bien sûr différent.
Jim
L’ami de Roy Thomas, Len Brown, qui travaille alors chez Topps, signe quant à lui une parodie de la Ligue de Justice, intitulée « Jesters League of America » et illustrée par Gil Kane (avec des encrages de Wally Wood).
Et bien entendu, Wonder Woman tient une place centrale dans le récit :
Roy Thomas évoque ces parodies :
Petit aperçu des parodies consacrées aux héros Marvel :
Jim
Tiens, je vais voir si je trouve les autres titres…
Tori.