1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

Wonder Woman par Art Adams :

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Caitlin Burles, une autre doublure de l’actrice sur le tournage des deux films.

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Doublures intérieure et extérieure ?

Wonder Woman avec un chat par Lan Medina !
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Les Wonder Women alternatives, chapitre 4 : AlyXa, la Wonder Woman amérindienne du futur

Dans les années 1990, DC, à l’image de ce que la concurrence fait à la même époque, fait courir des intrigues ou de thèmes communs à travers ses différents Annuals. Et en 1996, cette politique se traduit par les « Legends of the Dead Earth ». Ces « légendes de la Terre morte » se situent dans un lointain avenir où la planète a été désertée de ses habitants, où le souvenir des super-héros se résume de vagues légendes colportées de génération en génération, et où des figures héroïques émergent, déclinaisons futuristes des justiciers qu’on connaît si bien.C’est dans ce contexte éditorial que parait Wonder Woman Annual #5.

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L’action se déroule dans une arche spatiale dont la voix off nous laisse entendre qu’elle traverse les immensité spatiale depuis des dizaines de générations (de quelle espèce, ce n’est pas précisé), ayant perdu la mémoire de sa mission, de la raison de cette émigration cosmique, et de toute trace de logique. Si le vaisseau lui-même semble usé et délabré, les occupants y vivent depuis si longtemps qu’ils ne connaissent que cette réalité, sans même avoir conscience qu’il y a un infini au-delà des parois d’acier de leur monde.

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Si le scénario prend le soin de décrire d’abord la faune qui a colonisé les immenses coursives de ce monde artificiel, le récit s’empresse de présenter les représentants de l’humanité, en la personne de la jeune et jolie AlyXa, qui s’aventure en dehors de la zone habitée pour une raison qui sera détaillée par la suite. Elle est suivie par des guerriers de sa tribu et l’on apprend par les dialogues qu’elle a fui son village et le mariage auquel elle était promise.

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Enfin, les « dialogues », c’est beaucoup dire. En effet, le scénario part du principe que, parmi les choses oubliées, il y a le langage. Les voix off du narrateur omniscient expliquent que les personnages communiquent à base de cliquetis, de grognements, de raclements de gorge. Si bien que le numéro entier ne contient que des récitatifs et aucune bulle. Tout ceci est raccord avec un univers où es notions aussi simples que « cieux », « nuits » ou « étoiles » perdent toute signification et revêtent la dimension des fables.
(Autant dire, à ce titre, que l’appellation « amérindienne » est ici un peu audacieuse : si AlyXa a un look de Pocahontas de l’espace, effectivement, cela n’a guère de sens dans un monde où les concepts de nation ou de couleur n’ont plus cours… Cela dit, représenter une héroïne de la sorte demeure une rareté.)

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Le numéro propose une équipe assez prestigieuse : John Byrne, auteur de la série à l’époque, s’occupe du scénario, illustré par un autre légendaire dessinateur des X-Men, Dave Cockrum, qui pour cette occasion est encré par Norm Breyfogle. S’il est étonnant de retrouver l’un des dessinateurs marquants de Batman à ce poste, le résultat est plutôt réussi. En effet, le Cockrum des années 1990 a perdu beaucoup de sa grandeur, et avec les encres de Breyfogle, il retrouve un peu de sa gloire d’antan, pour des planches particulièrement agréables à suivre.

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Tandis que AlyXa continue à explorer le monde inconnu qui s’offre à elle, suivie par le banc de chasseurs de sa tribu, qui s’interrogent et trouvent un certain réconfort dans la récitation des vieilles légendes antiques (où les lecteurs reconnaissent les super-héros), elle fait une rencontre étonnante en la personne d’une chauve-souris humanoïde qui, apparemment, sait se servir des machines encore en état de fonctionnement.

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Cela la met en contact télépathique avec l’image de Wonder Woman, et elle comprend qu’il y a un écart entre les mythes et les légendes colportés par la tradition orale et la réalité historique. Les machines qu’elle utilise lui permettent également de comprendre la culture des hommes-chauves-souris qui fréquentent les lieux. La vague télépathique frappe également les chasseurs de sa tribu.

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Cependant, l’assaut mental n’amène pas la compréhension mutuelle. Les chasseurs attaquent le village de créatures chiroptères : c’est la guerre. Soudain jaillit une femme-chauve-souris portant la tenue déchirée de Wonder Woman. Elle met un terme à l’assaut, repousse les chasseurs mais plaide en leur faveur auprès des siens. C’est là qu’intervient AlyXa, qui s’allie à la femelle de l’autre race afin d’unifier les deux tribus.

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Retournant les attentes et les clichés, refusant de montrer le retour d’une Amazone immortelle, Byrne parvient aussi à faire de la figure de celle-ci une double source d’inspiration. Celle qui porte le costume étoilé est un être hybride, tandis que l’héritière de l’humanité a peut-être perdu le langage (l’une des armes dans l’arsenal de Diana) mais a conservé et pérennisé ses idéaux de paix. C’est donc deux Wonder Women qu’il nous offre dans ce récit, pour le prix d’une.

Jim

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J’adore les planches et la couv’. Je ne sais pas si Cockum avait plus de temps, mais le résultat me semble un cran au-dessus de ce qu’il faisait sur les X-Men.

Je sais pas. J’aime beaucoup ses deux prestations (surtout la première), mais depuis, je trouve qu’il a constamment baissé. Et là, j’aime bien, je trouve ça meilleur que ce que j’ai pu voir ici et là, mais encore inférieur à ses X-Men. L’encrage de Breyfogle me donne l’impression de remettre de la profondeur et de la rondeur dans ses crayonnés.

Jim

J’ai la même impression (bon, j’aurais eu dû mal à trouver les bons mots), et je pense que c’est pour ça que j’aime beaucoup. Ou alors les designs.

Cockrum encré par Phil Jimenez, pour une fiche incluse dans Wonder Woman Secret Files and Origins #1, daté de mars 1998 :

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Et version publiée :

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Les héros DC, Wonder Woman en tête, promeuvent le vote et la démocratie en 2020, année électorale marquante :

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Si Wonder Woman est connue pour son lasso de vérité, l’objet magique ne fera son apparition qu’après un autre équipement relevant d’une avancée scientifique bien plus spectaculaire, l’avion invisible.

Ce dernier fait son apparition dès la première page de Sensation Comics #1, daté de janvier 1942. L’appareil, pour spectaculaire qu’il soit, éveillant l’émerveillement qu’un avion dont les gens ne voient que la passagère peut légitimement susciter, est réduit dans un premier temps à une fonction d’ambulance, puisque Diana l’utilise afin de ramener Steve Trevor dans « le monde des hommes ».

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Dans Sensation Comics #24, daté de décembre 1983, Diana reçoit un nouveau moyen de piloter son avion, par « radio mentale ».

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Notons que c’est également un épisode où Moulton déploie ses connaissances et théories sur le cerveau, expliquant certaines capacités (proche du don de l’hypnose) à la disposition de l’Amazone.

C’est dans Wonder Woman #80, daté de février 1956, que l’on en apprend davantage sur l’avion, qui est désormais un jet furtif. Les origines de l’appareil, constitué de pièces que l’Amazone est allée chercher dans une quête dangereuse, sont détaillés. Notons que l’appareil obéit à des commandes vocales : bien élevé, cet avion.

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Dans le même numéro, Wonder Woman affronte Machino, un artificier qui est parvenu à placer sur son visage un masque piégé. Dans cet épisode, elle chevauche l’aile de son avion, qu’elle dirige à la voix, comme si elle surfait.

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Quelques publicités internes aux publications DC (nouvelle fournée) :

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Costume design sketch by Donfeld for the “Wonder Woman” ABC/CBS TV series, 1976-1979

https://entertainment.ha.com/itm/hollywood-memorabilia/props/original-wonder-woman-costumes-sketch-the-original-15-x-20-costume-sketch-for-the-1975-79-wonder-woman-tv-series-wh/a/612-23213.s

Wonder Woman par Ron Frenz :

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(Ce dernier, au demeurant, malgré la présence de la signature, ressemble davantage au style d’Ed Benes qu’à celui de Frenz. Je sais qu’il peut imiter plein de styles, mais tout de même, je suis surpris…)

Jim

Faisant partie de la panoplie de Wonder Woman, au point d’en être indissociable, le lasso doré n’apparaît que quelques mois après l’héroïne, dans les pages de Sensation Comics #6, daté de juin 1942. Cependant, il est présent en couverture.

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Dans l’aventure de la Princesse Diana (l’autre), celle-ci est appelé sur son île afin de participer à l’un de ces tournois qui semblaient occuper perpétuellement l’emploi du temps des guerrières (visiblement désœuvrées sans cela). Notre héroïne choisit son « Kanga » préféré, répondant au nom de Jumpa, et se lance dans l’arène.

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Encore une occasion pour nous refaire le coup du masque, simple loup qui dissimule une identité que tout le monde est supposé reconnaître pourtant.

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Après le tournoi, la Reine décide de faire fabriquer un lasso dont les fibres aux qualités surnaturelles pourraient aider Wonder Woman dans sa mission de justicier.

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Et ça ne manque pas, puisqu’elle utilisera le lasso afin de contrer un nouveau plan de la Baronne Paula, espionne nazie qui revient fréquemment dans les premières aventures de l’Amazone.

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Dans la dernière case, fidèle à l’idée moultonienne du partage pacifique des progrès (techniques ou magiques) pouvant aider l’humanité entière, Wonder Woman insiste sur cette merveille qui l’aidera à guider le monde vers un avenir meilleur. Les dialogues insistent sur l’idée que l’on peut changer les caractères, en écho à bien des considérations dans les épisodes écrits par le créateur.

Jim

De nos jours, voir Superman et Wonder Woman s’embrasser, rêver l’un de l’autre, éventuellement même vivre en couple, au gré des réécritures de continuité, est chose plutôt commune. Mais l’univers DC a longtemps évolué sans que les personnages se rencontrent, à l’exception de missions officielles au sein de la Société ou de la Ligue, ou dans les pages de séries telles que World’s Finest, où Superman et Batman vivaient des aventures communes. Mais il faudra attendre, peu ou prou, les années 1960 pour que les rencontres se fassent de manière moins cérémonieuses, impliquant ainsi l’existence d’un univers partagé. Alors pensez-donc, les deux héros qui s’embrassent !

Pourtant, Superman’s Girl Friend Lois Lane #93, daté de juillet 1969, va amener une idée qui, à l’époque, est nouvelle : le baiser des deux vedettes. La couverture, qui représentent Diana et Lois en venant aux mains, dissimule le véritable changement.

Nous sommes en 1969, donc. À cette époque, dans la série de l’Amazone, celle-ci a perdu ses pouvoirs en renonçant à son statut de guerrière immortelle. Elle s’est installée dans le monde des hommes où elle vit des aventures que n’auraient sans doute pas renié Modesty Blaise ou Emma Peel, deux modèles évidents. C’est donc une Diana sans pouvoir qui apparaît dans cet épisode. Sans pouvoir ou presque, comme le laisse entendre la première page.

Dans ce récit, Lois Lane, journaliste intrépide mais toujours amoureuse transie du protecteur de Metropolis (la modernisation a été progressive, dans son cas : si elle a des fringues à la mode, elle se comporte toujours comme la midinette qu’elle était dans la décennie précédente…), rêvasse toujours d’un éventuel mariage avec son fringant héros, mais le rêve tourne au cauchemar quand elle songe à l’idée que ce dernier pourrait épouser Wonder Woman (qui apparaît en costume d’héroïne dans les songes de Lois. Il se trouve que, dans le même temps, Wonder Woman propose à Superman de participer à un spectacle de charité. Le grand cœur de ce dernier ne fait qu’un tour et il découvre bien vite que son équipière, si elle reste en costume civil, semble avoir récupéré quelques capacités surhumaines, et même gagné des aptitudes inédites.

Ces pouvoirs multipliés suscitent une proximité nouvelle entre les héros et nourrit les pires craintes de Lois. Mais à force de voir Wonder Woman virevolter dans les airs et faire preuve d’une super-force, la journaliste a quelques soupçons. Dans un premier temps, elle pense que l’amour donner littéralement des ailes à Diana, mais elle écarte bien vite cette idée, qu’elle-même juge fantaisiste.

Décidant de mener l’enquête et soupçonnant quelque escroquerie, Lois furète dans les environs du manoir poussiéreux où s’est installée Diana. Elle finit par découvrir que quelqu’un est enfermé dans les sous-sols : la véritable Diana. L’individu qu’elle a croisé est un imposteur !

En réalité, il s’agit d’une criminelle kryptonienne, Ar-Ual, destinée à la Zone Fantôme et qui est parvenue à échapper à la vigilance de ses gardiens. Une fois la mascarade éventée, Superman survient, privant momentanément sa congénère de ses pouvoirs, et laissant Lois et Diana se rabibocher.

Ce qui est intéressant dans cet épisode, outre l’excellence de la partie graphique, assurée par Irv Novick au dessin et Mike Esposito à l’encrage, c’est que le scénario est écrit par Robert Kanigher. Ce dernier a longtemps rédigé la série Wonder Woman, succédant à Moulton, travaillant sur de nombreux épisodes illustrés par Ross Andru, et ne cédant la place qu’à l’arrivée de Denny O’Neil, lui-même instigateur de la perte de pouvoirs de l’Amazone. Cette dernière péripétie étant encore assez récente, il n’est pas impossible que le scénario de Kanigher ait été écrit avant le changement, ce qui impliquerait que Kanigher ait dû aménager son script, qui visiblement nécessitait que Wonder Woman possédât ses pouvoirs. Cela étant dit, on peut aussi imaginer que l’écriture ait été faite avec la connaissance du travail d’O’Neil, auquel cas on pourrait lire cet épisode comme un commentaire de Kanigher : l’identité de Diana est usurpée alors qu’elle n’a pas ses pouvoirs (et ne peut pas s’évader de sa cellule), ce qui ne serait pas arrivée si elle les avait encore. Car au final, une histoire de fausse Wonder Woman à une période où celle-ci ne possède plus ses capacités surhumaines, voilà qui est lourd de sens.

Jim

C’est « Laura » lu à l’envers… Un rapport avec Laura Kent ?

Tori.

Après la Crisis on Multiple Earths de Wolfman et Pérez, qui a tellement ravalé la façade du multivers DC que, dès lors, les héros de l’Âge d’Or ne vivent plus sur Terre-2, un monde parallèle, mais appartiennent au passé, à la Seconde Guerre mondiale, et affichent quelques rides qui ne font que renforcer l’aspect générationnel de ce microcosme de papier, il nous est expliqué que Wonder Woman est arrivée sur Terre à l’ère moderne. De là, il a donc fallu justifier la présence de l’Amazone dans les aventures de la Société de Justice, et on a fini par nous dire que la Reine Hippolyte avait endossé le costume durant le conflit mondial (périodes Byrne et Jimenez).
Mais en réalité, l’idée que la Reine puisse prendre l’apparence et la place de Wonder Woman remonte à très loin, bien plus loin que les révisions de continuité des décennies récentes.

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En effet, dans Sensation Comics #26, daté de février 1944, Moulton et Peter nous proposent un épisode commençant en pleine action, à l’occasion de quoi la Reine Hippolyte, utilisant la « magic sphere » qui dépanne les auteurs dès qu’il s’agit d’expliquer l’inexplicable ou de justifier le saugrenu, découvre qu’un sort funeste attend sa malheureuse fille.

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N’écoutant que son cœur de mère, la souveraine prend son avion et se rue dans le monde des hommes, décidément mal fréquenté. En chemin, elle songe que la ressemblance physique entre elle et sa fille est telle qu’elle pourrait endosser son identité et affronter les dangers à sa place. Elle porte le costume de Wonder Woman sur les genoux (ce qui laisse entendre qu’il s’agit d’un uniforme, en plusieurs exemplaires). Arrivée en Amérique, elle prend l’apparence de Diana Prince, et quand Wonder Woman arrive, la rencontre vire rapidement à l’altercation et au crêpage de chignon. Le trait faussement naïf (et assez juste) de Harry G. Peter rend savoureux ce cat-fight mère-fille. Précisons que les auteurs, une fois de plus, nous ressortent l’astuce du loup dissimulant les traits et empêchant que la fille reconnaisse sa mère. Ah, quelle naïveté, en ce temps-là.

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Mais la Reine, plus expérimentée, l’emporte et saucissonne sa fille de son lasso, la contraignant mentalement à accepter d’être remplacée. Mais tandis que la Reine redevient Diana Prince aux yeux de Steve Trevor et des autres militaires, Diana se précipite dans le bureau où elle la croisée précédemment, espérant découvrir des indices sur son identité (ce qui en dit long sur son regard filial, mais n’épiloguons pas). Diana se retrouve donc dans la position que sa mère avait observée sur l’écran de la sphère magique, face à son agresseur (une boucle temporelle ? Mazette !), mais ce dernier ne tire pas une balle, mais un jet de gaz qui endort l’héroïne. Celle-ci se réveille amnésique, manipulée par des bandits qui veulent l’utiliser contre les militaires américains.

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Cependant, si Diana n’a pas de souvenir de sa mission, sa mère veille. Utilisant ses dons mentaux, elle convainc sa fille qu’elle a la force de briser le lasso et de se libérer avant d’être écrasée par un train. Avec l’assistance de Steve Trevor, d’Etta Candy et des Holliday Girls, elle parvient à arrêter les comploteurs. À la fin de l’histoire, Diana retrouve son lasso, accompagné d’une lettre signée de la mystérieuse « Masquerader », dont l’héroïne se demande encore qui elle peut bien être.

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La candeur de cette histoire, dans laquelle Moulton glisse à nouveaux quelques prouesses mentales démontrant la supériorité spirituelle des femmes, ne doit pas faire oublier qu’elle apporte de nombreux éléments au mythe : l’idée que le costume de Diana n’est pas unique, la possibilité que l’héroïne puisse être remplacée et enfin la Reine Hippolyte endossant le rôle de Wonder Woman, autant de développements qui prennent racine notamment dans cet épisode.

Jim

Spontanément, je dirais que non.
Laura Kent apparaît dans Superman Family #200, qui date de 1980, donc onze ans après (l’une de ces magnifiques couvertures de Ross Andru qui m’ont marqué gamin). Et je ne vois qu’elle, mais je peux passer à côté d’une homonyme dans cette vaste famille.
Cela dit, peut-être que Laura est une référence à Ar-Ual, mais je ne pense pas. Je dirais plutôt que le prénom « Laura » s’inscrit dans la continuité des prénoms féminins en « L », héritière de Lois, de Lana… Mais là encore, ce n’est que mon interprétation.

Jim

Photos promotionnelles 70’s avec Lynda Carter.

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