1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

Une marionnette qui ne semble pas toute jeune :
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Tori.

On n’est bien pas le 1er samedi du mois ?

Illustration rejetée de H. G. Peter, représentant Etta Candy contre la Cheetah (1940 environ) :

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Jim

Moule à biscuit Wonder Woman, années 1970 :

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Jim

Pot à biscuits Wonder Woman, 1978 :

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Jim

En 1967, Roy Thomas et Wally Wood, sous la supervision de Len Brown et Art Spiegleman, signent une parodie de Wonder Woman en prévision d’un mini-comic publié par Topps. Une quinzaine de ces parodies a vu le jour, et elles demeurent difficilement trouvables (le tirage ne semble pas important).

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Leur histoire, « Blunder Woman », parfois titrée « The Old Un-Mod Blunder Woman », se conclut sur une chute où le personnage se retrouve prisonnier d’un cliché féminin : la ruée vers les soldes.

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Comme le souligne Paul Levitz dans son Little Book of Wonder Woman, le récit, qui sort avant la fameuse période Diana Prince, met en scène le soudain intérêt de l’héroïne pour la mode, mais dans un contexte bien sûr différent.

Jim

L’ami de Roy Thomas, Len Brown, qui travaille alors chez Topps, signe quant à lui une parodie de la Ligue de Justice, intitulée « Jesters League of America » et illustrée par Gil Kane (avec des encrages de Wally Wood).

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Et bien entendu, Wonder Woman tient une place centrale dans le récit :

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Roy Thomas évoque ces parodies :

Petit aperçu des parodies consacrées aux héros Marvel :

Jim

Tiens, je vais voir si je trouve les autres titres…

Tori.

Hihi, je savais que quelqu’un allait avoir envie d’en montrer plus (voire mieux). Et bizarrement, j’avais un nom en tête…
:wink:

Jim

Wonder Woman par Evan Shaner :

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Jim

Ah, mais en lisant l’article que tu as mis en lien, je vois qu’ils ont été publiés (en noir et blanc, cela dit) dans Alter Ego… Ce doit être trouvable plus facilement dans cette version, du coup…

Tori.

Oui, mais je n’ai pas le numéro en question et pour l’heure, je n’ai pas encore trouvé de trace. Mais si ça existe, tu vas dénicher ça avant moi, j’en suis sûr.

Jim

Je n’ai pas dit que j’allais chercher ça maintenant, hein !

Tori.

Quoi ???

Non, plus précisément :

QUOOOIIIII ???

Bon, en attendant, j’ai déjà trouvé la couverture de Jesters League of America en un poil plus grand, et j’ai mis à jour.

Jim

Poster promotionnel édité par l’agence de presse King Features Syndicate afin de vanter les mérites du strip Wonder Woman, lancé en 1944 (et qui s’arrêtera l’année suivante). Dessinateur anonyme.

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Jim

Livret promotionnel destiné aux annonceurs désireux d’utiliser les personnages DC pour leur campagne de publicité, réalisé en 1979. Les dessins sont réalisés par Dick Giordano, l’associé de Neal Adams chez Continuity, une structure éditoriale spécialisée dans la publicité (mais qui produira aussi ses propres comics) :

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Jim

En 1982, DC publie un catalogue (16 pages) des publicités faisant figurer leurs personnages, et impliquant des marques telles que Matchbox, Parker Bros. Activision, CBS ou NBC, les figurines Kenner occupant la quatrième de couverture.

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La couverture est dessinée par José Luis Garcia Lopez (sans doute le nom qui revient le plus souvent dans ce sujet) et présente un large échantillon du catalogue de l’éditeur.

Le dessin a ensuite été repris en 1984 dans le cadre de la promotion de la ligne de jouets Super Powers :

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Jim

Toujours n 1984, et toujours sous le crayon de José Luis Garcia Lopez, Wonder Woman mène la charge des « DC Ladies » :

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Jim

Toujours en 1984, une curiosité !

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Le principe de l’Anti-Colouring Book, estampillé lui aussi « Super Powers », est de libérer l’imagination des enfants. Plutôt que simplement colorier les dessins qu’on leur donne, on leur propose également de dessiner une partie du récit, en reconstituant par exemple ce que Superman voit de l’autre côté du mur grâce à sa vision à rayons X.

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Bien entendu, Wonder Woman est de la partie.

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Jim