L’exosquelette du Ben Grimm sans pouvoirs :
Le premier dessin de Simonson en prévision de son début de run, utilisé pour la couverture de Marvel Age #80 (été 1989).
La couverture de Byrne pour Amazing Heroes #1 (paru le 1er avril 1981), première d’une longue série de sa part de swipes de Fantastic Four #1 (1961).
Amazing Heroes #1 by John Byrne. 1981.
What If #36 by John Byrne & Terry Austin. 1982.
Marvel Age #14 by John Byrne. 1983.
Fantastic Four #264 by John Byrne. 1984.
Avengers West Coast #54 by John Byrne. 1990.
Danger Unlimited #4 by John Byrne & Gary Cody. 1994.
X-Men: The Hidden Years #20 by John Byrne. 2001.
Les couvertures d’Alan Davis, Carlos Pacheco et Mike Wieringo pour Wizard.
Les couvertures de Bryan Hitch pour son début de run avec Millar (2008).
Je déteste son ben Grimm. C’est le run qui m’a fait décrocher le titre en vf. Entre millar et bendis sur new avengers fallait être courageux pour continuer Marvel icons à l’époque
Voilà c’est ça. Ça m’a trop fait marrer.
C’est clair que Bryan Hitch n’a pas du tout su dessiner Ben.
Il s’est d’ailleurs perdu à cette période, je trouve, réalisant des dessins bien en-deçà de ses compétences. Il se reprend un peu avec sa première JLA chez DC, mais c’est surtout avec le Hawkman de Robert Venditti qu’il revient à un très bon niveau.
Il maintient avec The Batman’s Grave de Warren Ellis, malgré l’inutilité et la bêtise du scénario des douze épisodes.
Pacific Rim ?
Plus le Iron Man hyper-décompressé de Fraction, plus adapté à une lecture en recueil qu’à une lecture mensuelle (c’est l’inverse pour les FF de DeFalco, justement pas fan de « l’écriture tpb »).
Les FF illustrés par un jeune Alan Davis (âgé de 25 ans à cette période) pour les publications de Marvel UK (vers 1981/82).
Pour plus d’infos sur son début de carrière dans les comics anglais (puis sa percée aux USA) :
Pour fêter l’anniversaire de Deadpool, son co-créateur Rob Liefeld réalise 30 couvertures variantes sur le thème team-up. Et voici celle avec les F.F. :
Poster 90’s d’Herb Trimpe et Tom Smith (à la période où le dessinateur imitait le style de Liefeld sur FF Unlimited sans y être forcé par l’éditorial, contrairement à ce que laisse entendre la légende tenace à ce sujet).
Et d’ailleurs, ça faisait de lui un imitateur intéressant de Liefeld : les planches étaient moches, mais il comprenait vraiment bien le truc, quoi.
Jim
C’était donc lui ?!
Daniel Warren Johnson :
La puissance…
UNTOLD TALES OF SPIDER-MAN ANNUAL 1996 :
Les chemins des 4 Fantastiques et de Spider-Man n’ont jamais cessé de se croiser et ce dès les premières pages de Amazing Spider-Man #1, une première rencontre pleine de malentendus racontées à nouveau sur un peu plus de pages dans le premier annual des Fantastiques. Stan Lee a ensuite installé une certaine rivalité entre la Torche et le Tisseur, avant que les deux jeunes héros deviennent véritablement amis et que l’Araignée fasse officiellement partie de l’équipe et de la famille.
Ainsi dans l’histoire de complément de Amazing Spider-Man #8, dessinée par Jack Kirby et encrée par Steve Ditko, Spider-Man s’est incrusté dans la soirée organisée par Doris, la petite amie de la Torche, ce qui n’a pas plus à ce dernier. Une empoignade a suivi, à laquelle se sont mêlés Reed, Ben et Sue. Ce petit épisode s’est terminé par un « match nul », Sue convaincant les autres gaillards de la futilité du combat. Spidey a alors quitté ce beau monde en laissant un coeur en toile pour l’Invisible.
En 1995, Kurt Busiek est le scénariste de Untold Tales of Spider-Man, courte (25 épisodes) et excellente série qui proposait de revenir sur les jeunes années de Peter Parker en imaginant de nouvelles aventures situées entre deux épisodes ou même deux cases des histoires classiques de Lee et Ditko. Les F.F. sont les invités de l’annual 1996, que l’on peut voir comme la suite de Amazing Spider-Man #8.
Au début de ce numéro spécial, la Torche et Spidey continuent de se prendre la tête. Peter décide de se venger en invitant l’Invisible à dîner, histoire d’énerver encore plus Johnny. Mais il ne s’attendait pas à ce que Sue accepte l’invitation…il faut dire que Reed s’était encore conduit comme un imbécile juste avant (la bonne vieille situation du « arrête de me déranger, chérie, je suis en plein milieu d’une importante expérience »). Pour donner une leçon à Spidey, Johnny amène un élément perturbateur dans cette équation…Namor, le Prince des Mers. Cette soirée sympa en ville va donc vite virer en grosse bagarre…
Comme souvent dans Untold Tales, l’écriture de Kurt Busiek se fond idéalement dans cette époque. Son récit s’intègre bien dans la continuité, avec humour, légèreté et beaucoup d’énergie quand l’action démarre après une première partie plus soap basée sur la comédie. Le genre de lecture qui donne le sourire…et la jolie partie graphique est juste parfaitement adaptée à cette ambiance pop (et fun), avec le style aux influences Kirbyesques de Mike Allred qui était encré ici par le vétéran Joe Sinnott.
Il y a même un recueil sur ce thème (avec cet Annual au sommaire).
Suite à la disparition de Johnny Storm chez Hickman à la fin de l’arc “Three” (depuis il va mieux), le scénariste Dan Slott a saisi cette opportunité pour rendre un bel hommage à la Torche Humaine dans Amazing Spider-Man #657 (fin mars 2011).
Un numéro découpé en segments, axés sur les différentes facettes du disparu par le biais de ses rapports avec ses proches (sa soeur, son beau-frère, ses meilleurs amis Ben & Peter).
L’occasion pour Dan Slott de travailler avec Nuno Plati (Marvel Universe: Ultimate Spider-Man, Alpha: Big Time) et surtout d’être réuni avec Marcos Martin, Stefano Caselli (eux aussi associés à la période « Big Time ») ou encore Ty Templeton, son collaborateur sur Spider-Man/Human Torch (cf post #176).