Iron Man, ce FF :
Fantastic Four #290 page 19.
Très Romita Sr ces visages à gauche.
Une histoire courte illustrée par Romita Sr (je n’en retrouve pas la trace dans sa bibliographie donc la réponse se trouve peut-être du côté du merchandising) :
J’ai la flemme de chercher si on a déjà mis cette image. Elle est trop belle :
Joe Jusko : « Unfinished John Buscema piece that Upper Deck once asked me to paint when they had their lithograph program in place. Unfortunately, the program went ker-plunk before we ever got around to it. »
Les couvertures de George Pérez pour deux tpb (collection visionaries) consacrés à ses épisodes des 70’s.
J’ai les Byrne et les Simonson, mais faudrait que je me trouve ceux-là aussi, parce que c’est moins wahou, mais ça reste très sympa quand même.
Jim
BEFORE THE 4 - BEN GRIMM & LOGAN :
En 2000/2001, Marvel a publié trois mini-séries relatant les aventures passées de Reed Richards, Ben Grimm, Sue et Johnny Storm avant qu’ils deviennent les 4 Fantastiques . Deux restent toujours inédites à ce jour : Before the 4 - Reed Richards par Peter David et Duncan Fegredo et Before the 4 - The Storms par Terry Kavanagh et Charles Adlard. La troisième, Before the 4 - Ben Grimm and Logan , a été traduite par Panini dans les pages de la revue Wolverine .
Au scénario de Before the 4 - Ben Grimm & Logan , on retrouve un habitué des comics du mutant griffu, Larry Hama. La mini-série est dessinée par un Kaare Andrews alors dans les premières années de sa carrière et au style déjà très énergique. Le scénariste reste flou sur la période à laquelle se déroule l’histoire…mais les ennemis restent bien entendu les russes. Une équipe composée de Logan (agent pour les services secrets canadiens), Ben Grimm (pilote d’essai) et Carole Danvers (déléguée par le ministère de la défense) est envoyée en Russie par Nick Fury pour une mission d’espionnage…mais le plan ne va pas se dérouler sans accrocs…
Larry Hama mise tout sur l’action et le rythme pour cette aventure aussi sympathique qu’anecdotique qui vaut surtout pour la dynamique entre les personnages principaux, deux gros durs qui ont beaucoup de mal à se supporter (cette première virée en commun des futurs super-héros commence et se termine dans la castagne). C’est nerveux, la lecture est rapide et efficace…mais l’ensemble est tout de même vite oubliable…
THE THING 1-4 :
La première série solo de la Chose n’en était pas vraiment une puisque Ben Grimm partageait l’affiche de chaque numéro de Marvel Two-In-One avec un autre héros Marvel . Un mois après l’arrêt de ce titre en 1983, Marvel a cette fois-ci lancé un comic-book The Thing inauguré par John Byrne et Ron Wilson. 36 épisodes dont un seul, le tout premier, a été traduit par Lug dans Nova . Ben a attendu 2006 pour se voir accorder un nouveau titre, en ayant moins de chance puisque le volume 2 de The Thing a été stoppé au #8, faute de lecteurs.
Réunis dans le septième numéro de la revue Marvel Icons Hors Série , les quatre premiers épisodes de The Thing forment un tout. Dan Slott, futur scénariste de la première famille, héritait là de la situation établie dans le comic des F.F. (Ben est devenu millionnaire) et s’en sert habilement pour un très bon arc narratif introductif qui fait autant la part belle à l’aventure et à l’action (Ben et une belle bande de friqués, dont Tony Stark, Kyle Richmond et le Constricteur, sont enlevés et emmenés dans le nouveau Cauchemarland d’Arcade, basé sur une île bien connue des vieux lecteurs…Slott montrait une nouvelle fois sa connaissance des personnages obscurs avec le retour du robot Brynocki, créé par Doug Moench et Paul Gulacy pour la série Master of Kung Fu ) qu’au développement des personnages.
L’argent est monté à la tête de Ben et c’est grâce aux interventions de son filleul Franklin et d’un brave gros toutou (Gueule d’Or est l’invité spécial du #4) que le roc des F.F. va retrouver le sourire et redescendre sur Terre. Et elle donne justement le sourire, cette divertissante série servie par le trait clair et précis de Andrea di Vito. Les épisodes 5 à 7 sont hélas restés inédits…et le huitième et dernier a été publié dans le magazine Comic Box.
Note : L’avis de Soyouz sur ces épisodes au post #81…et pour mon avis sur The Thing #8, c’est au post #915.
MARVEL TWO-IN-ONE #100 :
Le comic-book Marvel Two-In-One s’est terminé en juin 1983 au #100, mais ce n’était pas fini pour les aventures de Ben Grimm hors du cocon des F.F. puisque Marvel a publié la première série The Thing dès le mois suivant, un titre écrit pendant presque deux ans par l’omniprésent John Byrne et dessiné par un habitué des aventures de la Chose aux yeux bleus, Ron Wilson (un dessinateur inégal, souvent décrié mais que je ne déteste pas…il dépendait aussi beaucoup de l’encrage et cela se voit justement sur le rendu final des pages de MTIO #100 ).
Avant de débuter The Thing , John Byrne et Ron Wilson ont eu la charge de terminer Marvel Two-In-One avec un ultime épisode double qui constitue la suite du Marvel Two-in-One #50 scénarisé et illustré par Byrne. Dans cette histoire toujours inédite en V.F. pour le moment (tout comme ce #100), Ben remontait le temps pour s’administrer la dernière formule de Reed Richards à une époque où il venait juste de devenir la Chose. De retour dans le présent, Ben se rend compte qu’il est toujours la Chose. Reed lui explique alors que son acte a créé une réalité alternative.
50 épisodes plus tard, Reed a changé d’avis car après avoir effectué quelques recherches, il en est venu à la conclusion que Ben n’avait pas voyagé dans le passé mais dans une autre dimension. Intrigué, la Chose retourne dans cette autre version de New York pour découvrir une ville dévastée. John Byrne déroule alors une histoire qui aurait bien eu sa place dans un Et si ? : sans les 4 Fantastiques au grand complet (et en l’absence du Silver Surfer), la Terre n’a pas résisté à la venue de Galactus et le dévoreur de planètes est reparti en laissant derrière lui une coquille vide, sur laquelle les quelques survivants tentent de reconstruire ce qu’ils peuvent.
Et parmi ces survivants, il y a justement Ben Grimm. L’ambiance est un peu pesante au début, décor post-apocalyptique oblige, mais il y a de bonnes interactions entre ces deux versions du même homme, notamment sur la responsabilité supposée de la Chose dans le déroulement tragique des événements sur cette planète. Et l’action n’est pas oubliée puisque les deux Ben doivent affronter un Crâne Rouge bien décidé à régner sur ce qui reste de la Terre. Oui, un chouette What If ? , un peu faible graphiquement (au moins sur The Thing , Ron Wilson a eu Joe Sinnott à l’encrage) mais qui concluait l’aventure éditoriale de Marvel Two-in-One sur une bonne note.
UNCANNY X-MEN / FANTASTIC FOUR ANNUAL 1998 :
Dans la deuxième moitié des années 90 et jusqu’au début des années 2000, Marvel ne numérotait plus ses numéros spéciaux annuels et mentionnait l’année sur la couverture (du genre Wolverine Annual '95 ou Uncanny X-Men '96 ). Il arrivait aussi que des héros se partagent un annual et c’est ce qui est arrivé en 1998 pour les 4 Fantastiques et les X-Men. Uncanny X-Men/Fantastic Four annual '98 est écrit par Joe Casey, dessiné par Paul Pelletier et Leo Fernandez et traduit en France par Panini dans le #34 de la revue fourre-tout Marvel .
L’histoire prend place peu de temps après le retour des F.F. de la dimension Heroes Reborn . La Chose et Wolverine comptent bien reprendre la partie de poker qu’ils avaient laissé en suspens (une vieille tradition à laquelle ils invitent les réticents Johnny Storm et Sam Guthrie) pendant que les époux Richards passent une bonne soirée à l’opéra, où se rendent également Hank McCoy et Cecilia Reyes. Une nuit qui commence de façon tranquille…et qui va être bouleversée par un savant aigri.
Jaloux envers Mr Fantastic, le docteur Beynon est viré de son boulot chez Stark-Fujikawa parce que sa dernière invention ressemble un peu trop à la dernière innovation de Reed Richards en matière de miniaturisation (détail amusant, Beynon a aussi créé un ersatz d’Herbie le Robot). Bien décidé à se venger, Beynon vole le manipulateur d’émotions de Psycho-Man qui était alors la propriété de Fujikawa. La peur, le doute et la haine vont alors être les armes du scientifique du dimanche qui va avoir beaucoup de mal à contrôler la machine du vieil adversaire des Fantastiques…
Tout les ingrédients sont réunis pour un bon petit one-shot : une entrée en matière légère, de bons dialogues, de l’humour, de l’action…pas ce que Joe Casey a écrit de mieux, mais un petit divertissement qui fait passer un bon moment. Il est tout de même dommage que la partie graphique soit si inégale. Les styles de Paul Pelletier (tout en rondeurs et qui a ma préférence) et de Leo Fernandez (plus anguleux, moins agréable) ne s’accordent pas vraiment et la répartition des pages est chaotique. Ajoutez à cela 4 encreurs et 5 coloristes et cela fait beaucoup trop pour une B.D. de 39 pages…
AVENGERS / FANTASTIC FOUR - DOMINATION FACTOR :
Publiée aux Etats-Unis entre décembre 1999 et février 2000, Domination Factor est une mini-série en 8 épisodes qui réunit les 4 Fantastiques et les Vengeurs (comme on les appelait encore en version française en ce temps-là). L’intrigue a été concoctée par Dan Jurgens et Jerry Ordway qui se sont ainsi répartis les tâches : Dan Jurgens écrit et dessine la partie F.F. ( Domination Factor #1.1, 2.3, 3.5 et 4.7) avec Bob McLeod à l’encrage et Jerry Ordway signe la partie Avengers ( Domination Factor 1.2, 2.4, 3.6 et 4.8) avec Dennis Janke à l’encrage.
Domination Factor est une aventure à travers le temps et les dimensions pour retrouver les morceaux d’un artefact asgardien (qui se présente sous la forme d’une pomme d’or) qui, s’il tombe entre de mauvaises mains, menace de détruire la réalité. La structure du récit permet donc de renvoyer chaque héros vers le passé et de s’arrêter sur une période différente à chaque fois. Ainsi Sue se retrouve à nouveau la prisonnière de Namor (ce qui est l’occasion de quelques piques sur le comportement machiste que ses coéquipiers pouvait avoir), la Sorcière Rouge revisite son temps avec la Confrérie des Mauvais Mutants et Tony Stark est projeté dans son corps détruit par l’alcool (pour ne citer que quelques exemples).
Les auteurs se fondent aisément dans l’atmosphère de chaque époque, aussi bien au niveau du scénario que des dessins (c’est amusant de voir Jurgens et McLeod imiter les styles de Jack Kirby et Joe Sinnott). Dan Jurgens et Jerry Ordway savent aussi relancer le récit avant que le concept devienne trop répétitif par un rebondissement qui projette nos héros dans une autre réalité sortie d’un What if ? .
Bref, une mini-série qui ne manque pas de péripéties, une utilisation savoureuse de la continuité et une très agréable partie graphique !
C’est paru dans ce titre :
Sorti en décembre 1981, c’est une parution gratuite, créée pour un magazine de modélisme (je ne sais pas de quelle façon il était offert). Il est d’un format plus petit que le format habituel et contient deux histoires : celle-ci, et une autre en huit pages, dessinée par Herb Trimpe.
Tori.
Je pense que Tori a inventé Internet.
Je ne vois que cette explication.
Jim
Tori, c’est Doug Ramsey. Il parle aussi aux machines.
Je tournicote autour de quelques groupes sur FB (c’est un peu nouveau pour moi, ça) et je trouve des trucs sympa :
Sue Storm Richards, Marvel. You’ve really got to question Sue Storm’s parenting qualifications. Just getting pregnant in the first place after having been exposed to cosmic rays that radically altered your genetic structure is in itself a highly questionable decision. Leaving toddler Franklin in the care of a witch and later allowing the pre-adolescent to embark on dangerous missions across time and space… also questionable. My mom was nervous about me taking the subway into Manhattan. No way was I going be allowed to take a trip into the Negative Zone!
Mashed covers:
- Fantastic Four #249
- Superman #8