1962-2022 : BON ANNIVERSAIRE HULK !

Chris Samnee :

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Ed McGuinness

Leandro Fernandez :

Coipel (merchandising) :

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Alex Saviuk

Frédéric « Fred Smash ! » Steinmetz :

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GIANT-SIZE HULK :

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Sorti à l’été 2006, le numéro spécial Giant-Size Hulk est composé de trois segments : la réédition de Hulk : The End de Peter David et Dale Keown (post 539), un court chapitre supplémentaire de Planète Hulk par Greg Pak (que je relirai quand j’aurai le temps de me replonger dans cette saga) et une histoire qui raconte une rencontre inédite entre le titan vert et l’éphémère groupe des Champions.

On doit cette aventure surgie du passé à Peter David, qui est revenu plusieurs fois dans les années 2000 sur le personnage dont il a animé les aventures entre 1987 et 1998. Il place chronologiquement son récit entre les deux derniers épisodes de la série The Champions, juste après le combat contre Fatalis (en V.F. dans Titans 20). Pour leurs actes de courage, les héros vont recevoir la médaille du Congrès et ils attendent l’arrivée du Président Clinton lorsque les services secrets apprennent que Bruce Banner a été aperçu dans une voiture non loin du cortège présidentiel.

Peter David s’amuse avec la continuité, principalement par l’incertitude d’Hercule concernant le nom du Président (puisque l’action ne prend logiquement plus place dans les années 70), et déroule ensuite une bonne baston basée, comme cela a pu souvent arriver avec le colosse de jade en ce temps-là vu ses capacités limitées de discussion, sur un gros malentendu. Il faut attendre les dernières pages pour découvrir la véritable raison de la présence de Bruce Banner sur les lieux, ce qui rend les Champions particulièrement honteux (case muette très amusante grâce à l’expressivité des visages).

Si le bref retour de Peter David sur la série mensuelle (juste avant Planète Hulk) s’est révélé inégal, j’aime bien ce petit épisode (18 pages, un peu comme les comics de la fin des seventies) sans prétention, aussi anecdotique que sympathique, joliment caractérisé et bien dessiné par Juan Santacruz.

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Giorgio Comolo

Ron Wilson :

Pub !

HOUSE OF M : HULK

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Dans House of M, saga événement de l’année 2005, les personnages de l’univers Marvel se sont retrouvés projetés dans une réalité alternative où les mutants sont tout-puissants et où Magneto, le leader la Maison M, contrôle les gouvernements du monde entier. Comme pour chaque event, il y a eu de nombreux titres dérivés, des mini-séries et épisodes de séries mensuelles décrivant la vie des principaux héros dans cet autre monde. Bon je l’avoue, je n’ai gardé aucun souvenir des différentes histoires, c’est dire à quel point tous les tie-in m’ont marqué.

Le principe même de House of M, une sorte de gros What If ?, a rendu inévitablement les titres attachés anecdotique, en déclinant des destins plus ou moins différents pour les héros et vilains Marvel. Le Hulk : House of M s’est déroulé dans les épisodes 83 à 86 de la série régulière, pendant le bref retour au scénario de Peter David. Les dessins sont signés par l’uruguayen Jorge Lucas, partie graphique solide malgré un encrage un peu gras.

Dans House of M, Bruce Banner tente de trouver la paix chez les aborigènes australiens mais le chaos du monde extérieur le rattrape quand les mutants attaquent un camp de réfugiés humains protégé par l’A.I.M. de Monica Rappacini et sa fille Thasanee alias la nouvelle Scorpion, des protagonistes relativement nouveaux puisqu’ils venaient d’apparaître quelques mois plus tôt dans la série Amazing Fantasy vol.2. Des alliances se créent mais qui restent fragiles car si l’organisation semble oeuvrer pour la bonne cause dans les premières pages, l’A.I.M. restera toujours l’A.I.M.

Donc en effet, c’est très anecdotique car les choses reviennent à la normale juste après cette « mini-série dans la série ». Peter David développe une situation qui sera vite effacée en réglant rapidement les liens avec les Rappacini dans le #87 dessiné par Adam Kubert (voir post 1412). Mais malgré cela, l’ensemble reste plutôt sympathique à redécouvrir, notamment grâce aux dialogues de Peter David et à la dynamique d’équipe compliquée. Les révélations sont bien dosées et amènent à un final destructeur. Une façon de montrer comment se débrouille Banner/Hulk dans une situation de pouvoir (puisqu’il se retrouve à la tête du pays)…quelque mois avant son long exil dans l’espace dans Planète Hulk

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Angel Medina :

Ken Hunt

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Robot Chicken !

Armando Ramirez

Armando Ramirez

Les versions alternatives de Hulk :

Zombie Hulk par Sean Phillips

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Ed McGuinness :

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Daniel Warren Johnson

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