1974-2024 : BON ANNIVERSAIRE WOLVERINE !

Alfred E. Neuman (MAD)

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Sachant que First Flight, c’est le titre du premier roman de Claremont, tome initial de la trilogie Nicole Shea paru en 1987.

Jim

spidertams: « Saw a picture of Logan with a Garfield backpack, was overcome by the urge to draw it. »

« The picture in question »

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Serval, dans une variante, par Craig Hamilton

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Billy Butcher

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Laurence Campbell

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Mirko Colak

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Jovan Ukropina

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Weapon X par Patrick Boutin-Gagné :

Jim

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https://comicbook.com/comics/news/marvel-wolverine-creator-roy-thomas-credit-controversy-len-wein-herb-trimpe/

Kaare Andrews (hommage à Miller) :

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Court avis sur Wolverine - Snikt :

J’ai finalement lu Wolverine : Snikt dans cette nouvelle édition. Vu mes lacunes en manga, ça n’étonnera personne si je dis que je ne connaissais pas du tout le travail de Tsutomu Nihei avant cela et j’ai trouvé ça très accrocheur. J’ai bien aimé sa version du griffu et encore plus l’atmosphère qui se dégage du futur apocalyptique dans lequel il se retrouve suite à sa rencontre avec la jeune Fusa. Parmi les bons points, je retiens aussi les designs des créatures et le découpage énergique de l’action. Par contre, l’histoire tient tout de même sur un timbre-poste tout en étant trop étirée sur 5 épisodes. Je ne suis pas non plus toujours fan de la colorisation, certaines pages sont même trop sombres ce qui rend certains récitatifs difficiles à lire (surtout quand la teinte principale est le rouge). Les pages disponibles en bonus me font dire que j’aurais préféré lire l’ensemble en N&B…

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Rediff’ :

ALBUM X-MEN - SORTILEGES

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Le onzième annual de la série Uncanny X-Men débute sur la vision d’un Logan complètement bourré et titubant en revenant à l’école du Professeur Xavier. Il n’est pas vraiment discret et réveille aussi bien ses équipiers X-Men que leurs invités, Captain Britain et Meggan. Avant de retourner se coucher, Betsy Braddock discute avec son frère autour d’un café et lui fait part de ses doutes, se demandant si elle est assez forte pour faire partie des X-Men (elle qui s’était pourtant très bien débrouillée face à Dents-de-Sabre dans un épisode précédent). Du côté de Serval, on apprend que ce jour marquait l’anniversaire de son « non-mariage » avec Mariko…Logan a tenté de noyer sa tristesse dans l’alcool mais avec son pouvoir auto-guérisseur, c’est un état qui ne dure jamais longtemps.

Ce n’est pas cette nuit que les X-Men pourront dormir. Quelques minutes plus tard, ils sont attaqués par un extraterrestre mutant qui se fait appeler Horde. Ce Horde les bat facilement et les oblige à retrouver pour son compte le « Cristal de la Clairvoyance » caché dans une structure hors du temps, la citadelle de l’Ombre et de la Lumière. S’ils refusent, il fera sauter la planète. Le lieu n’inspire pas vraiment confiance aux mutants mais ils y pénètrent quand même, mais pas avant que Tornade roule un patin à Wolverine pour se donner du courage (!).

Ce cristal est une sorte de macguffin mystico-cosmique à trouver au bout d’une aventure qui sert surtout à examiner le fonctionnement intérieur de chaque X-Man/Woman. À l’intérieur de la citadelle, les héros sont confrontés à leurs peurs, leurs envies profondes. Certains s’y fondent complètement (même si ce n’est pas toujours convaincant…voir la scène avec Dazzler), d’autres résistent un temps à la tentation et au final, c’est Logan qui se retrouve entre Horde et le Cristal, l’objet lui permettant d’amplifier ses capacités de régénération à un point inédit.

Si Chris Claremont n’hésite jamais à sombrer un peu trop dans le mélo, cet annual réserve tout de même de bons moments et donne le beau rôle à Wolverine dans un final surprenant. Et l’ensemble est très joliment dessiné par le duo Alan Davis et Paul Neary.

L’histoire de complément de cet album X-Men est tiré de la série anthologique Marvel Fanfare et remonte à la période où Magneto avait rejoint le camp de ses anciens ennemis. Ce one-shot faisait partie d’un ensemble adaptant un jeu vidéo un peu oublié, Questprobe, annulé après la faillite de son développeur. Un comic-book avait également été produit pour accompagner la sortie du jeu et annulé au bout de trois numéros. Le quatrième, celui avec les X-Men, était terminé et a donc été recyclé dans un Marvel Fanfare. Le combat des mutants contre l’entité extraterrestre venue les tester est très anecdotique et vaut surtout pour les dessins de June Brigman et Terry Austin.

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Rediff’ :

X-MEN/CLANDESTINE

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Le Clan Destine est peut-être bien la famille la plus étrange de Marvel et elle conserve une aura de mystère après toutes ces années (leur première apparition remonte à 1994). Cela tient certainement au fait que les comics des Destine sont rares, très espacés dans le temps et quasiment réservés au bon vouloir de leur créateur, le britannique Alan Davis. Dans la mini-série dont il est question ici, l’auteur a même annulé rétrospectivement les quelques épisodes dont il ne s’est pas occupé en 1995 (les #9 à 12 restés inédits en V.F.) en les faisant passer pour un « mauvais rêve » du jeune Rory alias Crimson Crusader.

Epaulé par le fidèle Mark Farmer à l’encrage, Alan Davis est revenu une première fois sur le ClanDestine en 1996 à l’occasion d’une mini-série en 2 épisodes partagée avec les X-Men. Les premières pages révèlent que Charles Xavier avait rencontré deux membres du Clan quelques années plus tôt, alors qu’il avait encore l’usage de ses jambes. Il a aidé Gracie et Cuckoo à repousser les attaques d’une entité cosmique appelée Synraith, avant de tout oublier de l’affaire à cause des pouvoirs de Gracie. Mais Synraith est de retour et il va se servir de la technologie de la Salle des Dangers pour ouvrir un portail et atteindre la Terre.

Pendant que les X-Men enquêtent sur l’anomalie au sein de leur demeure, Alan Davis prend le temps de s’intéresser à la dynamique familiale compliquée des Destine, histoire de faire le point sur ce qui leur est arrivé depuis son départ au #8 de la première série. La réunion est un brin tendue et les deux intrigues menées en parallèle finissent par se rejoindre à la fin du premier épisode quand Cuckoo disparaît subitement suite à l’incursion de Synraith.

La présence de Synraith perturbant la réalité et les sens de Wolverine, l’arrivée du ClanDestine à Westchester déclenche une bonne bagarre. Malgré les efforts des jumeaux Rory et Pandora, les esprits s’échauffent et il est difficile de faire la part entre ce qui est vrai et les illusions causées par Synraith. Si le récit souffre de quelques longueurs dans sa première partie, les rebondissements ne manquent pas et le deuxième chapitre est mené sur un rythme soutenu, avec de bonnes interactions entre les protagonistes (qui donnent lieu à quelques instants amusants lors du retour à la normale). Et graphiquement, c’est juste très beau, du Davis/Farmer en grande forme.

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Tom Hoskisson :

Bernard Chang

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De Billou !

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Jordi Pérez

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