Je l’ai fini cette nuit. Ouais, c’est pas mal du tout. Faut pas s’attendre à une bagarre rangée entre super-héros et super-vilains. C’est presque un hommage à cette année, et pas que en comic-book Marvel. Bon, évidemment, c’est du Millar, y a de la violence dès la fin du 1er tiers. Ouais, ça aurait pu peut être mériter un épisode de moins, mais cela dit, je n’ai pas vraiment ressenti de lassitude, chaque épisode a son utilité, sa fonction. J’ai enquillé les 4 derniers épisodes à plus de 2h du mat’, donc si cela avait été ennuyeux, je l’aurais senti de suite.
Donc, c’est un récit qui reste quand même en marge de l’univers Marvel pour moi, un truc en plus comme Marvels, mais qui n’est pas ressemblant pour autant.
Et je rejoins le Doc, Tommy Lee Edwards livre une presta intéressante, et n’essaie pas de faire du Alex Ross par exemple. C’est un brin nerveux, gras, comme j’aime.
Pas le récit de l’année, pas révolutionnaire, mais une agréable lecture.
Par contre, l’édito dit que ça a lien avec les FF et le Spider-Man de Millar. J’ai pas souvenir de ça.
Après vos avis, je l’ai trouvé d’occaz, si tout va bien réception fin de semaine, lecture tranquille le week-end prochain … Tommy Lee Edwards a l’air en forme dessus en plus
Ça se résume au vilain comme le disait Jim plus haut.
Le gentil Clyde Wyncham Jr. (1985) contre le méchant Clyde Wyncham Jr. alias le Marquis de la Mort (FF de Millar) sur cette page d’Immonen.
Oh ça se comprend bien quand même ; je n’ai jamais lu « 1985 », mais dans ses FF, Millar explique tout ce qu’il y a à savoir.
Si le run des Millar sur les FF est une purge, et que son arc « Doom’s Master » est en soi une hérésie (Fatalis obéit aux ordres de quelqu’un, qui lui parle comme à une merde de surcroît ? Ben voyons), j’avoue avoir bien kiffé la conclusion, avec une ruse bien capillotractée pour montrer la revanche de Fatalis. Bon, le problème c’est que personne n’avait envie de rebondir sur cette conclusion de Millar…
Je crois que mon cerveau a fait une remise à zéro à la fin de son run … et quand Hickman est arrivé, j’ai jamais réussi à dépasser le stade du zéro. Trop compliqué pour mon petit cerveau.