D’ailleurs :
Jim
D’ailleurs :
Jim
Je croyais être capable de résister à tout : je suis Belge, au Nord, il y a les flamands, qui parlent Néerlandais comme une truie essayant de parler tout en lapant de la boue à grande gorge ( alors que les habitants des Pays-Bas c’est un choc - positif - quand on compare ). Et puis…l’accent Australien. Le vrai, le dur, le pur. Celui qu’ils adoucissent entre eux parce que sinon ils ne parviennent pas à communiquer.
Il y a quelque chose de sombre sur cette île, que l’homme n’aurait jamais du éveiller. On raconte qu’un monstre stellaire à tête de poulpe s’en est enfui pour aller dormir sous l’eau après son passage par là-bas.
T’as pas pigé petit.
T’as pas d’amis
En Australie.
Rambo, Predator, John Matrix…ils ont tous tenté de traversé la forêt.
Officiellement, aucune preuve n’existe pour dire qu’ils sont morts.
Personne n’ose le dire. Tout le monde le sait.
En Australie, c’est trente millions d’ennemis (si on ne compte que les vertébrés).
Tori.
Est-ce que l’on compte les politiciens comme des vertébrés tiens ? ^^
Hey, mais c’est… pas mal, en fait ! J’y allais non pas à reculons mais sans envie et, sans être charmé, j’ai apprécié l’épisode et les changements.
On a ici un monde différent, oui, avec une narration sous le prisme du regard d’Alfred Pennyworth, agent secret mystérieux obligé d’abandonner une traque de cinq ans d’un homme qui a rejoint puis tué la Ligue des Ombres, pour revenir à Gotham, ville qu’il a connue. Il a pour mission, via ses chefs secrets, d’observer le phénomène criminel, avec des mises à mort brutales (+700% de meurtres récemment) liées à une société criminelle, les Party Animals, portant des masques noirs. Alors que le chef de ce groupe fait tomber et tue des Mafieux classiques, ses sbires attaquent lors d’un conseil municipal agité, où le Maire Jim Gordon est maltraité par ses concitoyens, qui se détournent du GCPD dirigé par Harvey Bullock. Une assistante de Gordon veut calmer la foule, mais un criminel tire sur Gordon devant sa fille (Barbara, afro-américaine ; on sent la volonté actuelle d’aller dans ce sens dans les récits alternatifs). Mais alors que Pennyworth ne peut qu’observer, il doit intervenir si « l’autre joueur » de Gotham intervient - et ça arrive, car Batman attaque, tabasse les criminels, y va fort sans jamais tuer ou blesser mortellement, même s’il tranche la main d’un sale type le menaçant avec une hache. Alfred découvre ensuite que c’est Bruce Wayne, ingénieur de Gotham qui a plusieurs amis ici (Waylon qui dirige la salle de sport, Ozzy, Eddie, Selina…) et dont le père, le professeur Thomas Wayne, a été tué dans une fusillade insensée lors d’une visite au zoo de sa classe, après que Bruce ait gagné un prix scientifique (via une invention basée sur une chauve-souris) dont la visite était la récompense. Il a passé sa vie à se former et s’entraîner pour ensuite travailler dans tous les domaines de la ville pour la connaître et la protéger, même s’il veut aussi protéger sa mère, la fameuse assistante de Gordon qu’on a vue avant. Alfred le retrouve dans son repaire, les derniers niveaux de tours en construction au-dessus des nuages, mais la confrontation est intense, et Bruce récupère la moto high tech d’un Pennyworth qui commence à voir en Batman un bienfait pour la ville. Alors que, en parallèle, l’homme qu’il a traqué arrive à Gotham en jet privé, car il est riche, même s’il ne rit jamais… d’où son surnom de Joker.
C’est pas mal, oui. Je trouve que la proposition de Scott Snyder et Nick Dragotta est plutôt bonne et même intéressante, alors que je n’étais pas convaincu. La promotion sur la violence du personnage me paraît un peu abusive car, si ce Batman est effectivement massif, immense et brutal, il est clairement dit qu’il ne tue pas et est un idéaliste. Au fil de la lecture, j’apprécie ce Bruce et les petits changements, ce côté prolétaire ou en tout cas l’idée d’en faire un « sachant de la ville » par l’intérieur, un connaisseur du vrai visage de Gotham pour y avoir traîné, ça me plaît. La version d’Alfred est bonne, les ennemis sont corrects, hormis ce cliffhanger un peu facile. Non, vraiment, j’en suis surpris mais c’est une version alternative intéressante, avec un lancement correct et bien mené, un Bruce qui débute mais n’est pas abusivement sombre.
Graphiquement, Nick Dragotta livre de belles planches, très dynamiques et nerveuses, avec beaucoup de belles images et de bons moments.
Une bonne surprise, et quelques bonnes idées. J’en suis le premier étonné, et j’apprécie.
Lu aussi ce premier numéro. L’approche est très intéressante. Elle prend ses distances avec la mythologie du personnage mais elle s’en inspire à la fois. Visuellement, ça tabasse et je reste particulièrement curieux de découvrir la suite.
On s’en est mangé des variantes du perso, mais là, c’est particulièrement bien fait.
Ben, je lirai ton comm plus tard, c’est l’heure de préparer à manger
Bon app !
Le Batman Earth-One était pas mal.
C’est loin d’être ma came mais j’y reconnais des qualités. Un récit nerveux, pas réchauffé et avec un excellent Dragotta.
C’est plus lui que le blabla de Snyder qui m’a donné envie de lire cette première mouture.
La super bonne idée, c’est d’en faire un Peter Parker. La moins bonne, c’est de lui avoir retirer sa fortune et son usage pour le bien qu’il veut générer.
C’est exactement ce que je disais à ma libraire. Et j’aime aussi que ce soit le Joker qui passe par la case Henry Ducart et la Ligue des Ombres et qui soit finalement le millionnaire. L’inversion des pôles est fun.
Bon j ai lu une intro de james bond… le generique rst bien a la fin…
Bon on lit bien bruce wayne… coppelbot… alfred… mais bon ca n y ressemble pas du tout…
Dragota tente d imiter capulo…
Ca bastonne…
Bon on va dire que c est un prologue …
Je me plaignais qu ultimate change pas grand chose… la on change tout… pas sur que j aime plus… ca reste de la forme…
A voir mais
Ah bon ?!
ah ouais !
Gabriel Hernández Walta dessinera le quatrième épisode. Aperçu du deuxième numéro par Nick Dragotta et Frank Martin Jr:
On se doutait que Dragotta ne tiendrait pas le rythme.
Mais, chez Snyder , c’est souvent l’occasion lors d’un changement temporaire de dessinateur , de profiter pour aborder une autre partie du puzzle ou un autre angle de quelque chose que l’on pensait avoir déja lu dans l’histoire.
Des photos que mon amie Aurélie m’avait envoyée d’Australie.
Demain, elle tente de me chopper la Tour Wayne à Chicago. ( si elle m’avait prévenu avant de débarquer de l’avion, je lui aurais fourni de quoi faire des perspectives forcées nom d’un chiroptère ! )
On se doutait que Dragotta ne tiendrait pas le rythme.
Ah non il n’y avait aucun doute, je l’avais dit dès l’annonce.