DC COMICS · RELEASES JUL 24TH, 2024
Absolute Power: Origins #1
ACADEMY AWARD-WINNING WRITER JOHN RIDLEY REVEALS AMANDA WALLER’S TRAGIC BACKSTORY! Discover the untold story of what led Amanda Waller to form the TRINITY OF EVIL and take down Earth’s Super Heroes! It’s the Suicide Squad’s founder as you’ve never seen her before, in an all-new companion miniseries to the Absolute Power event. The definitive history of one of the DCU’s deadliest villains is at last revealed! Amanda Waller’s catastrophic attack on the metahumans of Earth has rendered both hero and villain POWERLESS, but what led « THE WALL » to this place? In Absolute Power: Origins, Academy Award-winning writer JOHN RIDLEY and fan-favorite artist ALITHA MARTINEZ will tell the tale about how one woman lost everything she held dear… powerless beneath the forces of senseless acts of chaos. The path of vengeance would bring her to two simple words that would change her life — and the lives of the entire DCU — forever: NEVER AGAIN.
Comic · 32 pages · $3.99
Creative Team
Writer(s): John Ridley
Artist(s): Alitha Martinez
Colorist(s): Andrew Dalhouse
Letterer: Steve Wands & Ivan Rodrigues
Cover Artist: Alitha Martinez, Danny Miki, Andrew Dalhouse
Variant Cover Artists: Alitha Martinez & Dave Wilkins
Editor: Paul Kaminski
Format: Absolute Power Event Limited Series Tie-in
Cover Price/Page Count: $4.99/ 32 pages
The Untold Story Of Why Waller Formed The Trinity Of Evil Begins in Absolute Power: Origins #1 on shelves & digital platforms on Wednesday, July 24, 2024, from DC Comics
Pas mal, sans plus. John Ridley est chargé d’écrire Amanda Waller: Year One, et s’il y a de bonnes choses, l’ensemble n’est pas pleinement réussi. On voit ainsi Amanda, mère de famille de cinq enfants dont un fils abattu par les gangs et une fille violée et tuée. Son mari la venge en abattant Candyman, le dealer responsable du viol et meurtre, mais il meurt au passage. Amanda se sent abandonnée, notamment quand le monde découvre Batman et le valide. Elle en veut aux justiciers d’avoir l’approbation que son mari n’a pas (elle perd son assurance vie pour son meurtre en parallèle de sa mort), et soutient bénévolement un politicien opposé aux super-héros. Elle le pousse à agir quand il doute en révélant qu’elle sait ses sales secrets, et elle entend le contrôler en décidant ce qu’il va voter…
En soi, c’est correct mais pas prenant. John Ridley est lourd dans le misérabilisme et objectivement trop bavard dans ses planches. Le sentiment de Amanda face à Batman « approuvé » alors que son mari est condamné moralement, mais c’est un peu rapide et donc facile. Idem pour le politicien qu’elle contrôle. D’autant que le trait de Alvaro Martinez est brimé par Norm Rapmund, et ça donne des planches figées.
De bonnes idées mais beaucoup de maladresses.
Pourquoi j’ai pris tant de ties-in…
Hier soir, j’ai lu le récit. Pas si désagréable que cela malgré la présence de John Ridley, sur côté niveau dans son écriture des comics, mais c’est creux. C’est une écriture en mode automatique et qui sonne plate.
Rien que dans ce tread, il y a mille idées de traitement bien meilleures.
Et bénévoles !
DC Comics has released a 4-Page Preview and Covers of Absolute Power: Origins #2 comic, that will be on sale on August 28, 2024 as a print and digital issue.
Issue 2 of 3. MINI-Series. DC EVENT!
Witness the rise of one of the deadliest teams ever to roam the DC universe and a shocking revelation that will make history in part two of Absolute Power: Origins. Brought to you by John Ridley and Alitha Martinez!
The Official Synopsis of Absolute Power: Origins #2 comic:
PART TWO
Amanda Waller has suffered immeasurable loss…and the loss of her humanity along with it. Now, after having blazed her own trail into Washington politics, the Wall launches the new phase of her career: TASK FORCE X.
Ce n’est pas brillant. John Ridley poursuit un récit lourd et chiant, où Amanda Waller a ses premières recrues pour Task Force X, essentiellement son équipe secrète de Justice League vs. Suicide Squad plus Cyclotron, en qui elle veut voir un héros en devenir. Elle les envoie dans l’équivalent de la Corée du Nord, mais Cyclotron veut mener les autres contre elle. Elle le fait tuer par Lobo, ce qui déclenche une explosion énorme. Le Président râle mais laisse faire, Amanda manipule sa fille pour son propre bien et créé les puces explosives en montant un autre groupe suicidaire.
C’est très faible. John Ridley mène un récit maladroit, poussif, avec une Amanda peu intéressante et particulièrement lourde dans ses manoeuvres. C’est en outre super long, avec les dessins aussi très faibles d’une Alitha Martinez peu inspirée.
Un échec, tout simplement.
J’en ai marre des mecs qui pondent de la m^^de.
A défaut d’un crossover emballant, je m’attendais à des minis un peu rentre dedans, un peu plus offensive.
Le personnage connaît une montée en puissance et cette origine devait être une sorte de point culminant (à rebours). On aurait une bel os, on a de la charpie.
Définitivement, John Ridley ne communique aucune envie. Navrant.
A quand un vrai scénariste de bédé. Pour ce style d’histoire, mets un Azzarello. Sur trois épisodes, ca devrait le faire. Mets un peu de badass attitude, un peu de caractère, nom de nom!!!
Je pense que John Ridley a plus été mis ici sur sa réputation et ses thèmes de prédilection que pour ses talents de scénariste.
Et ça vaut aussi pour sa nomination pour The Next Batman.
C’est certain. Je comprends que l’on puisse donner sa chance à ce nom.
Mais dans les faits, c’est la cata et ça ne sert pas les histoires et les personnages.
Et puis, le mec ne doit pas travailler gratos. D’ailleurs, je ne comprends pas que Waid ne soit pas à l’écriture de cette histoire sensée être collée à la mini principale.
Oui. Mais on en est à combien, de chances ?
Je suis surpris car il avait d’abord été annoncé que Mark Waid écrirait tous les tie-ins.
Oulalala. Il a même écrit chez Marvel non?
Black Panther, non ? Pas marquant.
Un final meilleur que les précédents, mais « moins pire » plutôt que réellement bon. John Ridley montre ainsi comment Amanda s’est faite humiliée par Batman qui a brisé ses gardes et ses défenses à Belle Reve, de l’intérieur comme elle le comprend en voyant que Matches Malone avait été appréhendé et amené ici. Ca la crispe, ça crispe Rick Flag aussi, et Amanda décide d’aller plus loin en opérant en secret et en dérobant de l’ADN pour comparer avec celui de Batman, sans mandat ni autorisation. En parallèle, Amanda est confrontée par sa fille enceinte, qui a un enregistrement de son chantage au Président, mais ses fils lui refusent l’accès à la maternité après l’accouchement. L’un d’entre eux va la voir, ça discute de ce qu’ils peuvent et doivent faire, mais Amanda demeure déterminée à protéger les siens et le monde de ceux qui enfreignent les règles car ils sont plus forts que les autres.
C’est mieux, clairement. John Ridley tape plus juste dans cette approche contemporaine avec des éléments familiaux pertinents. Ca reste cependant anecdotique et facile, mais ça passe mieux, avec des dessins d’Alitha Martinez lisibles mais sans passion.
Mieux qu’avant, pas bon pour autant ; un final « moins pire » d’une occasion manquée et frustrante sur l’origine d’Amanda.
C’est manqué. Elle rentre dans l’anonymat du DCU alors que bordel, c’est une badass!