Beaucoup de pages de bagarre, quand même.
J’aime bien du coup.
J’ai rien contre mais j’ai peur d’un scénario vide.
Plus que d’habitude ?
Dans la version cg ?
C’est moi ou c’est blindé d’effets de couleurs et d’effets de vitesse pour cacher la misère du vide intersidérale des pages ?
Aucun décors, des cases avec des points de vue différents pour dire la même chose. C’est joli, mais très pauvre en même temps, pour ne pas dire rachitique.
ça ne me donne pas envie contrairement au Batman
Bruce est de la working class.
Clark (?) / Kal-El en vient aussi.
Diana a été élevée en enfer.
Est-ce que ça ne serait pas ça finalement, DC version Stan Lee ? S’il arrive adulte sur Terre , ses références culturelles seront inversées tout en trouvant des attaches similaires entre les deux.
Ça m’intrigue cette ligne. Plus que le canon actuel. Et j’étais le premier à regarder ça de haut. Comme pour les séries télés je laisse 3 épisodes pour me convaincre, en single issues je laisse un TPB VF pour me happer. RDV d’ici quoi ? 9 mois ?
Bah au final, ce n’est pas une approche inintéressante, je suis comme toi, curieux de lire la suite…
Lu le #1. Pas ouf comme introduction. Et j’en arrive presque à préférer l’histoire dans le passé que celle dans le présent.
Début correct mais timide voire basique. Guère de grosse surprise, quelques bons éléments mais de l’attendu et beaucoup de name-dropping. Dommage.
La narration ici se fait en deux temps. Dans le passé, il y a longtemps, l’on découvre une Krypton différente, organisée en castes où chacun arbore non pas l’emblème de sa famille mais celui de son statut social. Le logo en S est celui des gens du commun, des travailleurs basiques, ceux « en acier » vu les tâches effectuées. Lara-El en est car, malgré un haut potentiel, une dissertation à neuf ans critiquant l’absence d’avancée dans la conquête spatiale de Krypton a mené à son déclassement social. Jor-El aussi car son discours sur les abus environnementaux lors de sa cérémonie de diplôme a aussi mené à sa chute sociale. Elle vivote en bricolant pour les gens, lui est ingénieur minier et voit des troubles dans la structure de Krypton, qui mène à des fuites d’un produit vert mortel. Il retrouve Lara et est traumatisé par ce qu’il pressent, et ils voient leur fils Kal-El à environ dix ans qui les interroge. Au présent, sur Terre, au Brésil, l’entreprise Lazarus Corp pousse des mineurs à creuser malgré les risques clairs pour eux, mais toute une récolte est faite en une nuit par miracle, ce qui s’est déjà produit ailleurs. Les agents Peacemakers interrogent violemment les mineurs, qui voient le jeune inconnu à l’accent mystérieux qu’ils ont croisé hier les aider, et parler à une armure consciente appelée Sol. Kal-El veut les aider, eux pensent voir en lui un des Omega Men, alors qu’il est affaibli par une nuit loin du Soleil. C’est identifié et utilisé par la soldate Lane alors que l’on voit en parallèle la ferme des Kent sous propriété de Lazarus Corp et un être mystérieux dans une base militaire du Nevada qui suit cela avec des mini villes autour de lui. Kal-El, sans cape encore, mais acharné à défendre les abusés malgré les protocoles de survie de l’armure, est emprisonné…
C’est pas mauvais mais c’est peu emballant. Jason Aaron livre deux récits parallèles sans surprise, où l’intérêt penche plus vers le passé de Krypton, qui n’est pas extraordinaire mais fonctionne par la curiosité de voir les changements apportés. L’aspect social est pertinent, le statut de Jor-El va justifier encore plus que personne ne l’écoute, et c’est plutôt bien fait et prenant. Mais le présent et ce Kal-El souffrent de la comparaison avec l’origine New52 de Grant Morrison, sur une ligne similaire et plus intense. Dommage, c’est sympathique mais peu inspirant, et le name-dropping (Lane, Omega Men, etc.) est un peu facile.
Rafa Sandoval livre de belles planches, équilibrées, c’est fort joli et agréable mais ça emballe peu.
Correct mais sage, timide et finalement peu emballant.
DC Comics has released a 5-Page Preview and Covers of Absolute Superman #2 comic, that will be on sale on December 4, 2024 as a print and digital issue.
The Official Synopsis of Absolute Superman #2 comic:
Part Two
The Lazarus Corporation sent their most battle-hardened crew of Peacemakers to locate the mysterious fugitive interfering with their mining operations–but they weren’t expecting one motor-mouthed, iron-willed woman to be the one to finally get the cuffs onto him!
Ce #2 se lit agréablement, c’est divertissant… mais guère plus. Alors que Absolute Wonder Woman m’emporte pour sa retranscription épique de l’essence de Diana dans un contexte différent, alors que Absolute Batman m’emballe par un portrait intéressant d’un Bruce pauvre et sans majordome/mentor, cet Absolute Superman est bien… mais moyen bien, car assez lent, assez vide en idées et finalement creux.
En flashback, sur Krypton, on voit un Kal-El d’une dizaine d’années mal vu dans ses cours à distance car il rédige ses propres devoirs plutôt que de citer les bases de données kryptoniennes. Ses parents travaillent sur un prototype de vaisseau et de combinaison consciente pour l’exploration spatiale créés enfant par Lara, Jor-El veut creuser les mines pour fournir de l’énergie mais ils savent que le temps est compté et qu’ils ont beaucoup à faire, car le prototype ne convient en l’état qu’à un enfant. Au présent, sur Terre, Kal-El est enchaîné par l’agente Lois Lane de Lazarus Corp, et sa combinaison consciente Sol tente de le libérer. Kal discute autant avec Sol qu’avec Lois, tout en protégeant les civils des tirs brutaux de Lazarus et de ses Peacemakers. Sol intervient sur Lois pour la protéger puis d’autres, alors que Lois est épatée par sa bonté presque enfantine. Elle comprend qu’il vient d’ailleurs, ne tire pas quand il est faible et il fuit. Son rapport verbal est biaisé par le système Brainiac, et elle impose de le rédiger seule malgré son aversion pour l’écriture. Kal marche seul vers le Venezuela, entouré de tags contre Lazarus et pour les Omega Men, alors que le Peacemaker Smith est en stress post traumatique après son échec contre Kal et en vient à tirer sur les civils pour avoir la paix à tout prix.
C’est correct, sans plus. Jason Aaron livre un épisode plein d’action et d’échanges vifs entre Kal, Sol et Lois. Ça fonctionne, ça se lit bien, mais ça avance très peu et, au fond, ça aurait été bien que le #1 et #2 ne fassent qu’un épisode. Le rythme est lent, les idées sont finalement peu nombreuses et pas révolutionnaires (Superman social, Grant Morrison l’a fait dans New 52 ; Sol rappelle l’armure New 52 et Eradicator ; Lois badass et sèche, on l’a vu dans Flashpoint…). La partie kryptonienne est bien mais lente aussi. Reste un Rafa Sandoval en très grande forme, il livre des planches très belles mais parfois confuses sur la bagarre.
Divertissant mais limité, et en-dessous des autres titres.