ACQUITTÉ / FRIKJENT (Saison 1-2)

Accusé puis acquitté du meurtre de sa petite amie, Aksel Nilsen, haut placé dans une entreprise d’investissements chinoise, revient dans son village natal norvégien après vingt ans d’absence afin de sauver de la faillite la principale entreprise locale, SolarTech . La dirigeante de cette dernière, Eva Hansteen, est la mère de la victime et n’a jamais accepté l’acquittement de Nilsen.

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Depuis 2015 / 45 min / Drame, Policier
Titre original : Frikjent
Créée par Siv Rajendram Eliassen, Anna Bache-Wiig
Avec Nicolai Cleve Broch, Susanne Boucher, Lena Endre

J’ai vu tranquillement la saison 1. Pas la série la plus speed, notamment au niveau des épisodes 3 et 4 (j’ai cru qu’on n’allait pas arriver à les finir), mais, ça allait mieux par la suite. Et puis on a envie de savoir.
Alors, évidemment, il y a le jeu des fausses pistes grossières, et puis j’ai fini par comprendre qui ce serait dans l’épisode 9 (ça reste cohérent avec le déroulé de la série).
Après, y a de grosses libertés en terme de temporalité, de gestion des perso (le fils, il dort pas à la maison, mais c’est pas grave, … ça permet au père de tromper sa mère…)

Disons qu’en cette période de disette visuelle, ça se laisse voir (et puis ça rappelle des souvenirs de Norvège)

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J’ai attaqué la saison 2. J’en suis à la moitié (elle n’a que 8 épisodes), et je dois dire que les épisodes 3 et 4, ce sont les montagnes russes en permanence.
La saison enchaîne directement à la suite de la première quelques minutes ou heures après. Et l’histoire tourne autour de la recherche du coupable. Et ça joue habilement quand même, même si la volonté des auteurs de créer des amourettes (vraies ou fausses) me parait un peu lourdingue.
Hâte de regarder la suite, plus que lors de la 1ère saison.

Bon, j’ai pas aimé la fin. Sûrement parce que ce qui s’est passé n’allait pas dans un des sens que j’aurais voulu. Mais aussi parce que le perso principal a été plus con que la moyenne, enchaînant connerie sur connerie, empilant des palettes de mauvais choix … bref, trop con pour être crédible.

Et puis les trucs réalistes manquaient de réalisme. Toujours cette gestion élastique de la temporalité, mais aussi le procès, qui m’a semblé avoir des règles adaptées à l’humeur des auteurs.
Bon, j’aurais pu laisser passer ça si l’autre n’avait pas été si con.
Après, il faut reconnaître que les persos sont restés tels quels du début à la fin de la série. Les caractérisations que je m’étais faites dès les premiers épisodes se sont avérées justes.

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