Lu le numéro de mars. Akim a encore fort à faire avec deux intrigues menées parallèlement (une guerre entre deux tribus, la disparition d’un avion dont le contenu est convoité par deux expéditions) qui se rejoignent dans la deuxième partie. Comme souvent, les rebondissements ne manquent pas mais la fin est un peu expédiée.
Les aventures du Tarzanide sont complètes…par contre, cela reste ennuyeux de suivre les épisodes d’Ivanhoé en plusieurs parties, les coupures n’étant pas toujours adaptées à la structure des histoires…
J’ai lu ces derniers jours les quatre derniers numéros en date. Plus de situations absurdes (la « guerre » des fabricants de jouets, c’était quelque chose !), plus d’humour avec les arrivées du fakir Hemu et de l’autruche Sophie (qui m’ont rappelé Hibou Lugubre et Pouik de Captain Swing) et de temps en temps une dynamique différente avec un épisode entier où Akim est absent, ce qui permet de mettre efficacement en avant sa compagne Rita et tout le reste de cette petite bande…
En plus d’un bon épisode d’Akim, aux thèmes classiques (cité cachée, traîtres…) et aux personnages joliment absurdes qui se baladent en pleine jungle (ah, le notaire so british appelé Maître Burnes ! ^^), et de la première partie d’un nouvel épisode d’Ivanhoé (chouette série d’aventures qui se prête hélas peu au saucissonnage), Dominik Vallet continue son Historique de la BD Petit Format. Toujours aussi sympa pour découvrir des séries oubliées mais entre coquilles et légères répétitions, ses textes manquent quand même de relectures avant publication…
En plus d’Akim (l’épisode du mois s’éparpille un peu trop pour tenir les 100 pages habituelles mais ça reste divertissant), d’Ivanhoé (toujours mal coupé en trois parties) et de l’histoire des petits formats (avec une série d’aventures espagnole que le temps a oublié), le sommaire du bouquin propose aussi deux strips humoristiques signés Dominik Vallet. Bon, le gars est meilleur quand il nous parle des vieilles séries (malgré les p’tits problèmes dont je causais ci-dessus) car ses gags sur les motards et les chats tombent toujours à plat et les dessins sont très amateurs. Pas vraiment la meilleure partie du pocket, donc…
Akim et sa joyeuse bande sont impliqués dans une chasse au trésor pleine de rebondissements et au rythme bien dosé entre les deux parties, la première posant efficacement les enjeux avant une suite plus centrée sur l’action. Le Ivanhoé était pas mal du tout (et mieux dessiné qu’Akim aussi), même si je ne suis toujours pas fan du découpage d’autant plus que cet épisode se termine pour une fois sur un cliffhanger…