302 prisonniers et gardiens de la célèbre prison d’Alcatraz disparaissent dans d’étranges circonstances en 1963. Cinquante ans plus tard, ils réapparaissent un à un à San Francisco de manière inexpliquée, sans avoir vieilli. Rebecca Marsden, un agent du FBI, est alors chargée de mener l’enquête, aidée d’un geek spécialiste de la prison , Diego Soto, et d’un homme mystérieux au passé trouble nommé Emerson Hauser…
De prime abord, ça pourrait faire penser à un repompage des 4400, après quand je vois le casting Jorge Garcia et Sam neil en tête, ça me donne envie. Surtout si dans le genre thriller.
En tout cas, j’avais peur de ne plus revoir l’acteur qui jouait Hurley dans une autre série, et du coup je suis curieuse de voir ce qu’il va donner dans un autre rôle.
J’ai vue les trois premiers épisodes Bin comment dire malgré une bonne idée et sam Neil je trouve ça hyper lent et moue
Chui hyper déçue mais je vais quand même continuer histoire de voir si ça s’améliore m’enfin bon Chui pas très emballé
Moi j’aime bien.
La structure « un évadé par épisode » permet de poser les bases de l’univers assez clairement. Et très rapidement, ils proposent des variations, mais surtout ils montrent que l’univers n’est pas aussi simple que ça. Les flash-backs sur les prisonniers me faisaient un peu peur au début, parce que je craignais qu’ils ne servent qu’à nous ressortir du pathos à trois roupies et des justifications psychanalytiques pourries comme dans Lost, mais en fait, ils permettent aussi de glisser des informations sur les autres personnages, et de glisser quelques mystères intéressants.
Après, avec les sites qui mettent des ralentisseurs sur les fichiers, j’ai un gros retard de visionnage sur cette série, mais pour l’heure, je trouve ça pas mal… Encore au stade des promesses, et je doute que la série n’emporte mon adhésion comme Fringe a su le faire, mais bon, c’est pas dénué de qualités ni d’intérêt.
Je remets le nez dans la série, et l’ambiance est toujours formidable.
Les sales petits secrets du passé qui viennent menacer le présent, ça marche bien.
Bon, apparemment, j’ai raté quelques épisodes, va falloir que j’arrange ça, parce que le personnage de Sam Neill semble cacher plein de choses aussi. Va falloir que je revoie les choses un peu dans l’ordre.
Mais ça a un côté « Dark Fringe » qui me plaît beaucoup.
Et l’épisode 10, avec son énorme clin d’œil à Orange Mécanique, fonctionne très bien.
Bien dommage, y avait des développements intéressants, des personnages assez épais, surtout, d’ailleurs, dans le camp des « héros » (j’ose pas dire des « gentils »).
Bon, zutalor.
Pour une fois je serais moins enthousiaste que Jim. J’ai commencé à regarder la série ce we sur NT1, et bon déjà le pitch de départ, c’est quand même pas la grande originalité. La fliquette blonde en binôme avec un gros geek, et derrière, le grand complot.
Bon, l’actrice court bien (fans de Friends, bonjour!). Mais ce n’est pas suffisant.
Ce que je regrette, c’est un peu la construction des épisodes, assez classique dans la résolution des enquêtes criminelles (déjà vu un million de fois, et des épisodes construits sur le même moule sans originalité). En fait, ce qui me fait relever la tête, ce sont les informations distillées au compte-gouttes concernant le passé des criminels, leur implication dans l’histoire et leurs liens.
Ah, moi j’ai vu les deux premiers épisodes ce week-end, et sans avoir envie de m’en relever la nuit, j’ai trouvé ça très sympa et bien torché.
Visuellement ça a de la gueule, mais c’est une constante dans les prods Bad Robot. Niveau casting, sympa de revoir Hurley, et surtout cette bonne vieille trogne de Sam Neill, excellent et cabotin juste ce qu’il faut (et assez inquiétant quand son vrai visage se fait jour).
Niveau écriture, malgré des stéréotypes plus ou moins appuyés pour les persos principaux (le flic à trauma, le geek surdoué, putaion c’est pas avec ce rôle que Jorge Garcia va se décoller l’étiquette « Lost » qui lui colle méchamment, etc…), je trouve les flashbacks bien gérés, et surtout générateur d’infos cruciales sur l’intrigue « present day », c’est pas mal branlé du tout.
D’autre part, petit plus appréciable, j’ai l’impression que les auteurs se font un malin plaisir de placer des citations plus ou moins explicites à des films plus ou moins connus. Pour le premier épisode, c’est évidemment « Terminator » qui est invoqué (Jack Sylvane se promène avec un blouson de cuir et un gros flinguo pour sonner à la porte et dégommer des gens), pas illogique pour une histoire d’anomalie temporelle, ainsi que « Vertigo » de Hitchcock (le trauama de la fliquette est rigoureusement calqué sur celui de James Stewart dans le film d’Hitchcock). Et dans le deuxième épisode, le perso de Cobb est exactement le même que le protagoniste de « Targets » (alias « La Cible »), film excellent et méconnu de Peter Bogdanovich, où un sniper pratique aussi les massacres aléatoires…
Et sûrement des tas d’autres choses qui m’ont échappé…
Et j’ai beaucoup apprécié le twist bien vu de la fin de l’épisode 2…
Certainement pas la série du siècle (et loin de là), mais en pérode de distte ça se laisse bien regarder.