AMAZING SPIDER-MAN #1-13 (Joe Kelly / Pepe Larraz, John Romita Jr)

(W) Joe Kelly (A/CA) Pepe Larraz, Marte Gracia
PUMPKIN BOMB PROBLEMS!
• Past and present collide sending Spider-Man spinning OUT OF CONTROL - just when an old foe obsessed with him gets the sword-stabbing jump on Peter and his main squeeze, Shay Marken!
• Can the last remaining ally still in Spidey’s corner, the GREEN GOBLIN, Norman Osborn, cure Peter before his entire life implodes?!
RATED T
In Shops: May 07, 2025
SRP: $4.99

Efficace ; pas brillant mais efficace. Joe Kelly avance sa saga, avec Peter toujours sous l’effet des drogues qui ont rendu fou le Rhino et désormais en combat avev Itsy Bitsy à Ravencroft. Avec des souvenirs déformés d’une étonnante enfance rebelle, Peter est maltraité par l’ennemie, qui le met K.O. puis l’amène sous un pont et lui avoue des sentiments avant de le jeter dans l’eau. Un Peter mouillé et fragile arrive chez May, qui s’inquiète mais il part dès son réveil pour se faire soigner par Norman, qui ne peut cependant pas le purger des drogues. Peter suit une piste évoquée par Osborn, et découvre que les drogues sont mises dans un nouveau soda et le Rhino a perdu l’esprit car il en a consommé trop par erreur. Peter fait tout tester par son ami retrouvé, mettant son nouveau job en jeu, et Spider-Man enquête dans l’usine mais se fait attaquer… par Hobgoblin et ses hommes !
Pas de surprise mais pas de faille, ici. Joe Kelly livre un scénario basique mais efficace, avec ces étonnants flashbacks d’enfance déformée et son utilisation prévisible de Itsy Bitsy. Lecteur occasionnel de la série récente, je ne m’habitue pas à Norman sympathique et aidant, mais ça fait avancer les événements et Pepe Larraz livre de bonnes planches. Il maîtrise même mieux le visage de Spider-Man.

Pas de surprise mais pas de défaut réel, c’est plutôt bien.

(W) Joe Kelly (A/CA) Pepe Larraz, Marte Gracia
• The cause of Spider-Man’s and Rhino’s rampages - and the mastermind behind it - is revealed!
• Norman Osborn ain’t the only GOBLIN back in Peter’s so-called life!
RATED T
In Shops: May 21, 2025

SRP: $4.99

C’est chouette quand même ! Dommage que Spider-man est un personnage qui ne me touche pas particulièrement.

Sympathique ; pas brillant, mais sympathique. Joe Kelly avance posément sa saga, avec ici un Spider-Man toujours drogué qui a trouvé l’usine où Hobgoblin diffuse une drogue qui provoque de l’anxiété dans des sodas, sans que Peter ne comprenne pourquoi. Ca se bagarre, alors que son ami à l’entreprise Rand lutte pour que Parker ne se fasse pas virer, mais il trouve la composition de la drogue et prévient les fédéraux. Itsy Bitsy l’apprend par leur « allié », informe Hobgoblin, qui file à Rand mais exige qu’Itsy Bitsy tue désormais Spider-Man. Peter a des flashbacks de sa jeunesse avec son ami Brian, avec rébellion et alcool, mais aussi un échange intense avec May, à qui il avoue qu’il les rejette car il a peur de les perdre. Il fait une déclaration d’amour à l’esprit de May, mais Itsy Bitsy la prend pour elle, et s’énerve quand il « reprend » ses mots. Il la frappe et la rejette violemment, puis part stopper Hobgoblin alors que son ami Brian lui laisse un message évoquant un antidote.
C’est sympathique. Je suis un peu curieux de la raison de Hobgoblin pour droguer, bien que la saga soit assez basique en elle-même. Je suis un peu troublé par ces flashbacks surprenants, mais Joe Kelly livre un beau moment d’émotion, en plus légitime pour la jeunesse de Peter. Et bon, Pepe Larraz livre des planches dynamiques, fluides, intenses, avec un visage de Spidey de plus en plus maîtrisé.

Inoffensif en soi, mais sympathique.

1 « J'aime »

encore un ep ou 2 et je laisse tomber mon abonnement, je ne suis vraiment pas fan de Laraz et le scénario est pas fou, ça se lit puis ça s’oublie dans la foulée.

(W) Joe Kelly (A/CA) Pepe Larraz

NO HOPE AGAINST THE HOBGOBLIN!

As HOBGOBLIN’s assault tears SPIDER-MAN’s mind (and limbs) apart, Kingsley unleashes his wrath on those nearest and dearest to Peter Parker. And this is a deadly race against time Spider-Man can’t afford to lose - even as he risks losing his sanity to win!

Rated T

In Shops: Jun 04, 2025

SRP: $4.99

Je l’ai toujours trouvé tres chouette le design du Super bouffon.

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Monsieur a du goût

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I knew it !

Sympathique mais facile final d’un story-arc agréable mais dispensable. Joe Kelly achève dans la bagarre, les mini-révélations et les bons sentiments sa saga, sans fauter mais sans briller. Hobgoblin attaque l’entreprise Rand, l’ami d’enfance de Peter et sa cheffe qui ont transmis au FBI les informations sur son empoisonnement du cola qu’il commercialise. Spider-Man vient aider, Roderick confirme qu’il a fait ça pour vendre ensuite un médicament, même si le pote l’avait trouvé aussi. Grosse bagarre, l’ami d’enfance infecte Kingsley avec un champignon hallucinogène et il s’enfuie. Spidey « couvre » Peter Parker, qui débriefe ensuite avec Norman et tous deux doutent que ça soit aussi simple, car le médicament est sur le marché depuis deux ans déjà. Peter se rapproche de May et confirme qu’il la voit comme une mère, malgré les souvenirs d’une adolescence difficile.
Bon, ça se lit mais sans passion réelle. Le story-arc est dispensable, certes efficace mais très simple. Joe Kelly pose de petits subplots, mais ça n’est pas foufou : Hobgoblin va revenir, Norman devient vaguement plus dur, le pote d’enfance rôde… ouais, d’accord, mais c’est quand même bien peu. C’est dommage, car les dialogues sont efficaces et Pepe Larraz propose de belles planches, bien qu’un peu chargées parfois.

Un divertissement sympathique mais très limité et dispensable, confirmation pleine et entière que l’excès de contrôle de Marvel Comics sur la série annihile toute possibilité d’emballement ici.

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Qu’est-ce qui te fait dire ça et comment tu le perçois?

Les errances de la série Amazing ces dernières années m’y font penser. La série de Spencer s’est concentrée sur une réparation de la continuité endommagée par One More Day, avec 60 numéros pour acter que Harry n’a jamais été ressuscité réellement, que Sins Past n’a jamais eu lieu et remettre Peter avec MJ. Et on enchaîne avec Beyond qui ramène Ben en héros et Spider-Man… et ensuite ? Et après ces événements qui finalement reviennent au statut des années 90 qui faisaient vieillir et avancer les personnages ?
La période Beyond qui finalement ravage Ben et en fait un taré qui répugne même Kaine. Le run de Zeb Wells qui explose le couple Peter / MJ et le rend « impossible » après tout ce qu’elle a vécu avec Paul. Et un Peter pleinement plongé dans une posture adulescente malchanceuse et lourde. Et des relations où il est finalement celui qui est en dette plutôt que le mentor, l’entraînant (Norman en conseiller pressant, Miles qui est plus mature que Peter dans Spectacular Spider-Men).

Tout ça me fait penser que Marvel Comics ne sait pas quoi faire, donne puis reprend aux fans et finalement fait stagner un personnage où pour redonner un peu de souffle on invente ici une jeunesse rebelle anachronique et wtf.

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OK. Merci.

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Hello, même sentiment à la fin de la lecture de ce premier arc : tout ça pour quoi au final…
J’ai beaucoup de mal avec les multiples flashback retcon totu au long de cet arc, j’espere que cela ne va pas être une marque de fabrique de Kelly : transformé le personnage pour le rendre moins lisse dès l’adolescence (d’ailleurs Slott l’avait deja un peu fait et pas trop fan..). J’ai du mal à croire que le Peter ado présenté ici ait pu être mis au ban voire harcelé tel qu’il est dans amazing fantasy 15…

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(W) Joe Kelly (A/CA) John Romita Jr.

HELLGATE’S OPENING…PUNCH!

PETER PARKER’s life has been worse. He’s got a steady job. BLACK CAT is giving him the time of day again. As SPIDER-MAN, Peter’s taken some super-powered punches. But he’s never caught the kind of HELL that’s in store for him next.

Rated T

In Shops: Jun 18, 2025

SRP: $4.99

Il fallut que j’abandonne mon abonnement pour que JR2 revienne :l

Pas convaincu du retcon de l’enfance de Peter, d’ailleurs quelqu’un plus haut fait la remarque (@Old_Geek_Man), ça rend le Peter de Amazing fantasy 15 peu crédible en terme d’évolution.

Les numéros me glissaient des mains, visuellement Pépé Laraz c’est vraiment pas ma came même si ce n’est pas moche après j’ai surtout un problème avec la mise en colo qui attenue un peu trop son style, ses planches en noir et blanc sont quand même plus plaisantes pour les yeux.

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Ah ?
Je trouve ça épatant, pour ma part. Ça faisait longtemps que j’avais pas vu Spidey aussi bien dessiné. Depuis Immonen ?

Qui mélange le terne et le très lumineux. Dans un mixage qui me plaît bien, mais c’est vrai que c’est chargé.

Jim

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Ni bon, ni mauvais : moyen, dispensable, mais pas désagréable. Joe Kelly enchaine après son premier story-arc, en surfant sur ses apports et la continuité récente, même si elle n’est pas « formidable ». Ainsi, tout va bien pour Peter, qui voit encore Shay, qui a apaisé la relation avec Tante May, qui est assidu à son job à Rand Industries et se fait même bien voir de sa cheffe. Celle-ci l’envisage même comme remplaçant temporaire, alors que son ami Brian se voit à cette place… mais Peter est interpellé par Tombstone, qui évoque des mouvements dans le crime organisé. Spider-Man enquête et espionne pour limiter le retour d’une Gang War, et croise une Black Cat qui fait le pied de grue avec lui. Shay voit un des cheveux de Felicia sur Peter après, dit qu’elle a aussi « un rendez-vous » car elle n’est pas exclusive au vu de l’immaturité de Peter, et May s’attriste du manque de stabilité de son neveu. Un ami, Ricardo, est froid vis-à-vis de Peter suite aux déboires récents et Norman veut lancer une foudre judiciaire sur Roderick Kingsley. Spider-Man & Black Cat voient des sbires de Hobgoblin agir, mais ils sont interpellés par un surhumain qui semble s’appeler Hellgate…
C’est divertissant mais dispensable. Joe Kelly surfe sur la continuité du run de Zeb Wells, on peut se dire « merci mais non merci », même s’il est agréable que cela demeure en continuité. Tombstone m’emballe peu, Shay ne me plaît pas vraiment, et la guéguerre Norman VS Kingsley peut être sympathique mais ne s’envole pas non plus. Black Cat fonctionne bien avec Peter, mais l’éternel revirement de situation positive lasse, avec cette impression de redondance et de projection dans le passé, que les dessins sympathiques mais pas toujours maîtrisés de John Romita Jr (Spider-Man et les personnages masculins sont très biens, les femmes ce n’est plus ça) n’aident guère.

Pas bon, pas mauvais : pleinement dispensable et déjà vu.

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Le compte à rebours commence :