APOCALYPSE SUR COMMANDE - Ken Follet (Robert Laffont)

http://www.livredepoche.com/photos-couvertures/LGFLIVREDEPOCHE/2009/9782253149262-G.jpg

Auteur Ken Follett
Genre roman
Pays d’origine Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Éditeur Robert Laffon
Date de parution 1999
Nombre de pages 410

Résumé :
Ken Follett Apocalypse sur commande La grande faille de Californie, point faible de l’écorce terrestre, est le lieu de fréquents séismes. Celui qui vient d’avoir lieu, de faible intensité, aurait pu passer inaperçu s’il n’avait été revendiqué par des terroristes. Revendication que ni le FBI ni la police ne prennent au sérieux. Seul le sismologue Michael Quercus est troublé, car tout indique que ce tremblement de terre a été provoqué artificiellement. C’est alors qu’un deuxième séisme ébranle une petite ville, tue les habitants, détruit les maisons, provoque la panique, et que de mystérieux « Soldats du Paradis » menacent d’en provoquer un troisième, apocalyptique. Aussi à l’aise dans l’anticipation scientifique que dans l’espionnage ou la fresque historique, l’auteur des Piliers de la Terre et du Troisième Jumeau nous entraîne ici dans un scénario-catastrophe terrifiant… et parfaitement plausible.

Avis :

Les + :

  • Bonne trame
  • Polar haletant teinté d’une grande cohérence scientifique
  • Long à lire
  • On s’imagine facilement les scènes
  • Tout ce qui touche au monde du FBI (psychologie,etc)
  • Nombreux rebondissements

Les - :

  • Le résumé nous en apprend trop…
  • Titre peut-être mal choisi
  • Quelques passages un peu inutiles

Jamais été trop fan des thrillers de Follett. Je les ai toujours trouvés faciles, rapides, prévisibles, peu passionnants. L’Arme à l’œil ou Code Zéro m’ont assez déçu, à ce propos.
L’arme à l’œil, je préfère de loin l’adaptation, parce qu’elle est portée par le jeu de Donald Sutherland.

En revanche, de Follet, je préfère sans problème les grandes sagas historiques, comme Les Piliers de la Terre, par exemple. Ou encore Un Monde sans fin.
Ces deux pans de son œuvre sont mélangés dans sa carrière, quand on regarde la chronologie. Donc c’est pas du tout une question d’évolution, de style, de centre d’intérêt, ce genre de chose. C’est d’ailleurs intéressant à observer, qu’il puisse aller dans deux directions différentes.

Jim