AQUAMAN #43-66 (Kelly Sue DeConnick / Robson Rocha)

Euh c’est sublime ce que fait Robson là oO

« Sublime » me semble un peu exagéré, mais ouais, c’est bien sympa.
Après, il abuse un peu des contre-plongées : une par planche, ça se voit.

Jim

Et pas sur des petites cases !

Trop simple décidément à faire réagir Jim xD.

Néanmoins, ej trouve qu’il s’est quand même arraché sur ce que je vois, j’espère qu’il continuera avec autant de qualité, pour l’avoir rencontré c’est d’autant plus une personne très sympa, je lui souhaite le meilleur

Ça fait un bout de temps qu’il fait du bon boulot, tout de même.

Jim

La couverture du #44 :

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Written by Kelly Sue DeConnick, art and cover by Robson Rocha, Daniel Henriques and Sunny Gho, variant cover by Joshua Middleton.
The tides turn for the Sea King with a new creative team! Star scribe Kelly Sue DeConnick and red-hot artist Robson Rocha take the rudder to steer Aquaman into uncharted waters. In the wake of « Drowned Earth, » an amnesiac Arthur washes ashore on a remote island, and ends up being cared for by a young woman named Callie, who’s just a little TOO curious for comfort. And as a lifetime of horror movies has taught us, there’s something strange going on in this island village. Aquaman needs to come to his senses quickly…or he might wind up sleeping with the fishes instead of chatting with them.
32 pages, $3.99, in stores on Dec. 19.

Source : www.newsarama.com

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C’est pas mal, Rocha.

Joli, oui.

Premier numéro, donc, de Kelly Sue DeConnick et Robson Rocha sur la série Aquaman, avec la charge de relancer la série (même si, personnellement, je ne trouvais pas qu’elle en avait besoin), si possible en suivant le film éponyme.
Ce run commence, oui ; et c’est très joli, dans une ambiance mystérieuse et surprenante.
Mais c’est un peu tout ce qu’il y a à dire.
DeConnick est avare en explications mais aussi en moments : il ne se passe quasiment rien, et surtout quasiment rien d’intéressant. Attention, spoilers :Aquaman a perdu la mémoire depuis Drowned Earth, il a été récupéré sur une île étrange, où survivent des naufragés transformés en communauté mystique, craignant la Mer et pensant qu’une des leurs, bannie, agit contre eux. Aquaman devra gérer ça, et surtout la fille de la bannie, sorcière à ses heures ; okay.
Et bien là, en quelques mots, je ne vous ai pas résumé le numéro, je vous l’ai raconté en entier. C’est assez vide, très décompressé, et je n’ai pas grand-chose à me mettre sous la dent. Je ferais la suite, car Robson Rocha livre beaucoup de planches superbes (mais quelques cases sont brouillonnes), et je suis curieux, mais… franchement, je ne suis pas convaincu par ce début, beaucoup trop lent et obscur dans le mystère.
A voir la suite, mais ce début est trop loin de passionner - ou, même, de m’intéresser !

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AQUAMAN #44

(W) Kelly Sue DeConnick (A/CA) Robson Rocha, Daniel Henriques

Aquaman no more! Still reeling from the stunning events of last issue, the onetime Sea King becomes obsessed with finding the mysterious redheaded woman from his vision. But where to even start? Don’t worry, Arthur: that mysterious redhead is looking for you, too, as Mera begins the hunt for her missing mate. Amnesiac Atlanteans, redheaded mermaids and more, all on a collision course inside the mysterious town called Unspoken Water.

In Shops: Jan 23, 2019

SRP: $3.99

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Source : www.comicscontinuum.com

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Oh, j’aime bien ce look « royal » de Mera.

Le dessin sera sûrement le seul intérêt de ce numéro.

Bon, j’ai été mauvaise langue. :slight_smile:
Après un début catastrophique, Kelly Sue DeConnick se reprend en… commençant à raconter quelque chose, ce qui fait du bien. Revoir Mera est agréable, l’idée qu’elle soit obligée de se trouver un époux est classique mais peut prévoir des choses sympathiques (si on s’évite un méchant mari, et Aquaman qui arrive/revient trop tard) ; surtout, on en apprend enfin plus sur le village où se trouve Arthur, et ça commence à avoir au moins un peu de sens.
Les habitants ne sont donc pas « juste » des naufragés perdus ici, qui ne peuvent reprendre la mer. Ce sont de nombreuses divinités associées à l’eau, qui ont sûrement perdu leurs fidèles, et demeurent ici ; abandonnés et affaiblis. Leur volonté de se relancer pour offrir ses souvenirs à Arthur surprend un peu, mais… bon, à la lecture, ça fonctionne plutôt bien ; surtout parce que le final laisse espérer que l’amnésie va disparaître.
Je ne demeure pas convaincu par cette idée de sorcière, je continue de penser que cette amnésie et cette absence sont des idées assez nazes, surtout en période de sortie d’un film (je n’ose imaginer la tête des rares personnes ayant vu le film et découvrant ces numéros pour se lancer en comics). Mais, au moins, ce #44 a quelque chose à raconter, et c’est déjà beaucoup après le précédent.
Robson Rocha continue son travail magnifique : sa Mera est sublime, les divinités sont belles, son Arthur est très bien. L’artiste demeure l’atout principal de tout ça… mais c’est bien, en fait, que DeConnick commence à raconter quelque chose, pour espérer que le scénario décolle - et arrête de couler le titre. :wink:

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Aquaman #45
(W) Kelly Sue DeConnick (A/CA) Robson Rocha, Daniel Henriques
She’s heeeeeere! Witness the epic origin of Aquaman’s most dangerous foe yet-the nefarious Namma! Meanwhile, Aquaman, still trying to piece together his strange vision of a mysterious red-headed woman, agrees to accompany Caille across dangerous waters to meet her long-lost mother in exchange for recovering his lost memories. But as the two allies (or maybe more?) approach Namma’s island, strange events begin to occur that reveal a shocking truth about Caille herself!
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In Shops: Feb 20, 2019
SRP: $3.99

Source : www.avclub.com

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Troisième numéro de la relance d’Aquaman, « All-New » comme la couverture l’indique. Et c’est objectivement magnifique : Robson Rocha livre des planches superbes, autant sur Arthur et Caille (qu’on voit peu, mais son Aquaman est vraiment très beau) que sur la fable mystique racontée en voix-off, qui décrit une nouvelle mythologie terrestre. Il y a une puissance, une beauté fondamentale du trait et des éléments que c’en est vraiment impressionnant.
Quel dommage, en fait, que ça illustre une histoire qui n’est franchement pas intéressante.
Kelly DeConnick narre la traversée d’Arthur et de Caille pour rencontrer Namma, la mère de Caille ; ça se passe un peu mal, mais ils y arrivent. En parallèle, DeConnick décrit une « nouvelle » mythologie sur les dieux, leurs enfants et tout, avec l’Eau et le Sel comme « parents » divins. Ca n’a rien d’original, certains éléments sont complètement pompés d’autres mythologies, et ça finit sur un cliffhanger qu’on voit arriver dès le début. Et c’est terriblement décompressé, en fait, parce que finalement, tout ça aurait pu être raconté avec dix pages de moins, sans difficulté.
Je demeure très peu convaincu mais surtout très surprise par le projet de DeConnick, qui prend son temps avec Aquaman mais se perd, surtout, sur une mythologie qui ne me parle pas, et me semble essentiellement sans intérêt. Quel dommage, le personnage mériterait mieux, et Robson Rocha aussi.
Je reste encore, par curiosité, par attrait de Rocha, et parce que j’apprécie Aquaman ; mais tout ça ressemble quand même à un sacré coup dans l’eau, assez poussif.

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Aucunement surpris avec Deconnick…

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“TRAPPED ON NAMMA’S ISLAND WITH NOWHERE TO RUN, THE AMNESIAC AQUAMAN MUST PROTECT CAILLE FROM HER MOTHER, WHO AIMS TO REACH HER FULL POWER AT THE COST OF CAILLE’S LIFE! WILL AQUAMAN HOLD HIS OWN AGAINST THE MOTHER OF ALL GODS AND RETRIEVE HIS LOST MEMORIES? OR WILL AQUAMAN TURN TO SALT AT HER HAND?”

AQUAMAN #46 will hit comic shops on Wednesday, March 27.

Source : www.superherohype.com

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La couverture variante du #46 par Esteban Maroto :

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C’est. Complètement. Chiant.
Et pas loin d’être abominablement naze.
Kelly Sue DeConnick amène Aquam… pardon, Andy, sur l’île de Namma, la déesse-mère, avec Caille, la fille de cette dernière ; cela devrait apaiser l’océan. Mais non. C’est un piège, dis donc. Et Caille va mourir pour devenir une arme de Namma, mais Andy/Aquaman se bat (il parvient même à tenir et frapper alors qu’un « tir de sel » est passé dans son épaule, en la transperçant ; il est faux, ça doit piquer quand même). Repousse Namma, qui se transforme en dragon ; Malefic 2 sort bientôt, après tout, pourquoi pas. Andy/Aquaman tente de la stopper, active par erreur ses pouvoirs télépathiques, le monde est impacté, Mera « sent » qu’il vit. Et si les dieux « usés » tentent de retrouver du courage dans du blabla déprimant sur leur île, l’appel a sollicité tous les autres dieux, qui viennent pour une bataille des dieux.
Voilà. C’est complètement chiant, et c’est pas loin d’être définitivement naze, ouais. Je finis le story-arc actuel, heureusement terminé au prochain, et je fais le premier numéro du prochain, par attachement au personnage, mais je pense que je vais arrêter bientôt.
DeConnick ne semble pas savoir quoi écrire sur le personnage, et fait mal son projet de mythologie lourde et neuneu. Robson Rocha livre des planches superbes, mais c’est trop peu pour garder l’intérêt.
Pouah. Aquaman boit vraiment la tasse, là, et ça continue de couler.

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