En Mongolie, Seth Armitage ouvre une boîte de Pandore plus ancienne que l’humanité. 1921. Revenu avec une sorte d’horoscope tatoué dans le dos, il est engagé par l’Université de Miskatonic à Arkham pour y remplacer un professeur mort de manière suspecte. Et ce qu’il va découvrir, avec Skylark Duquesne, de l’Arkham Sentinel, et un nommé H. P. Lovecraft, a de quoi donner la chair de poule…
J’aime aussi beaucoup. Un style qui n’a jamais tenu les promesses, qu’on sent toujours sur la réserve, comme s’il n’osait pas se lâcher. Mais qui est toujours agréable.
Je ne suis pas toujours fan de Nolane et je trouve que Lovecraft traine un peu trop partout en ce moment. Ça dilue la qualité souvent.
Mais je regarderai pour Garcia à l’occasion.
Je ne connais pas tout Nolane, mais ce que j’ai lu me plaît pas mal. Lovecraft et ses univers, ouais, c’est un peu galvaudé, mais je n’en suis pas encore lassé. Donc dans l’ensemble, ça fait trois raisons pour au moins jeter un œil.
Dans la Nouvelle Angleterre imaginée par Lovecraft, dans la ville d’Arkham et l’université de Miskatonic. Un récit d’aventure avec ses villes (Salem, Innsmouth ou Dunwich), ses horreurs et ses créatures cachées.
Engagé de manière suspecte par l’Université de Miskatonic après son étrange périple en Mongolie, Seth Armitage, aux côtés de Skylark Duquesne, la propriétaire de l’Arkham Sentinel, et d’un certain H. P. Lovecraft, se retrouve soudain confronté à des horreurs venues des abîmes du temps. Des horreurs qui se déchaînent au cœur d’Arkham et qui pointent vers Dagon, en embuscade dans l’Atlantique.