Owen a toujours parcouru le royaume, ne répondant qu’à l’appel du sang. Mais il vient d’être victime d’une malédiction, laquelle lui impose de faire le bien jusqu’au restant de ses jours. Accompagné de son arme, la dénommée Hache, dont la soif constante a toujours guidé ses moindres gestes, il va devoir venir en aide à tous ceux qui sont dans le besoin. Mais il est une chose qu’Owen déteste plus qu’une vie de contraintes : les sorcières. Alors quand il est obligé de faire équipe avec l’une d’entre elles, cela s’annonce compliqué.
Lorsqu’un ennemi issu du passé d’Owen refait surface, l’ancien barbare n’a d’autre choix que d’embarquer pour une mission sanguinaire où il avait préalablement échoué. Une mission qui convient parfaitement à sa hache au demeurant, laquelle n’a pas eu l’occasion d’étancher sa soif depuis bien trop longtemps. Mais Owen et sa hache risquent d’être bien surpris par les créatures plus monstrueuses les unes que les autres qui les attendent en chemin…
Entre Conan le Cimmérien et Elric le Nécromancien, BARBARIC ravira les fans d’heroic fantasy comme d’aventures, imposant une note d’humour et d’ironie bienvenue dans ces univers des plus sanguinaires.
Urban Comics propose, en Urban Indies, le lancement de la série Barbaric, titre Indépendant qui démarre comme un pastiche bourrin de Conan le Barbare, pour devenir étonnamment une bonne petite saga épique et prenante.
Les auteurs parviennent à surprendre, moduler les attentes et promesses auprès des lecteurs, avec surtout du bourrin assumé, des dialogues très réussis entre des personnages bien croqués, un trait gore mais qui participe à un grand dynamisme global. Le récit est en effet très prenant et intense, et happe le lecteur.
Un bon divertissement, donc. Ma critique complète ici :
