June Branch mène une vie des plus tranquilles… jusqu’au jour où quatre criminels parviennent à s’évader de prison et enlever son petit ami, Liam. Pour leur échapper, June n’a d’autre choix que de se munir d’une arme étrange… une hache viking du VIIIe siècle ! Mais celle-ci est dotée de propriétés bien singulières : à même de décapiter un homme, elle laisse cependant les têtes fendues… conscientes ! Pour sauver Liam, June n’a plus qu’une seule solution : garder la tête (ou plutôt tout un panier de têtes) froide…
J’ai pioché dans le bac des prospectus de mon comicshop adoré et j’ai vu qu’Urban proposait gratuitement le premier épisode traduit de cette série. Et bein m’en a pris car j’ai apprécié la lecture du numéro uno.
Evidemment, le premier épisode pose les personnages, le lieu et de drôles d’événements autour de prisonniers échappés.
Au delà du scénariste, c’est le dessin qui m’accrochait la rétine. Bien raconté, personnages graphiquement bien imaginés et une narration solide, ce gratuit a gagné un lecteur. Moi
Je confirme, c’est vraiment excellent !
J’ai passé un très bon moment de lecture. C’est frais et j’ai même trouvé ça très drôle puis graphiquement, c’est très réussi. Il y a vraiment de très belles planches surtout dans les quelques splash pages.
J’ai acheté les deux de Joe Hill (plunge), pas encore lu…
Mais j’ai fait deux ou trois recherches sur « hill house », 5 tomes parus en vo. (dont trois écrits par d’autres auteurs) .
Urban édite d’abord les deux écrits par Joe Hill…Alors que ce n’était pas l’ordre de parution des 5 (si j’ai bien vu), surprenant pour les habitués des vo?
Et « Hill house » c’est une collection avec des auteurs différents et ça se retrouve dans une autre collection (black label). Cela n’aurait pas dû être une collection à part?
Enfin, c’est juste pour la discussion/information générale, tant que la lecture me plaît…
Brody Island, 1983.
La jeune June Branch file le parfait amour avec Liam, qui officie en tant que policier pour son job d’été.
Un soir, suite à leur évasion, 4 criminels s’introduisent chez Liam et l’enlèvent.
Alors qu’elle est sur le point de se faire agresser par l’un d’entre eux, June s’empare d’une hache viking pour se défendre… et l’arme se révèle être plus qu’une pièce de musée.
June va alors tout mettre en oeuvre pour retrouver son petit ami, et sur son chemin… les têtes vont tomber.
Joe Hill rend ici hommage aux serials d’horreur que l’on pouvait trouver dans Tales From The Crypt ou House of Mystery, ou encore aux slashers de vidéoclub : humour noir, surnaturel, sang et même un peu de sensualité sont au rendez-vous.
Il n’oublie pas de rendre hommage à son père (Stephen King) et même à Tarantino à travers de multiples références au sein du récit.
L’auteur nous emmène sur un jeu de fausses pistes ou chaque protagoniste montrera son vrai visage.
Leomacs nous livre des dessins en harmonie avec le type de récit : ambiance sombre et froide, éclairages horrifiques et effets grand guignol sont de la partie et arrivent parfois à créer un sentiment de peur ou de malaise, sans jamais être réalistes. Ça reste toujours dans le registre de l’horreur pour adolescents.
J’ai trouvé ce récit rafraîchissant et agréable à lire. L’impression de voir un épisode des comtes de la crypte ne m’a pas quitté une seconde et je n’ai pas trouvé le jeu des références trop lourd pour du Joe Hill, même si je trouve toujours cet auteur bien surcôté.
Une bonne friandise, mais pas inoubliable.
Voilà enfin pu lire Basketful of Heads et autant j’avais peur de trouver ça mauvais vu le synopsis et chiant suite à ma première lecture du Hill House, autant Joe Hill me fait retrouver de l’espoir. L’histoire raconte les aventures d’une jeune femme débarquant dans une ville pour rejoindre son copain qui termine son boulot d’été en tant que policier et qui tombe pile au moment d’une évasion de criminel et la jeune fille n’aura d’autre choix que se défendre avec la première arme venue : Une hache magique qui laisse les êtres vivants même après décapitation.
Un scénario qui n’a rien d’extraordinaire et qui ne fait pas peur non plus, même s’il y a quelques moments assez sympa niveau ambiance qui me font penser à l’histoire de Barbara dans le jeu WHAT REMAINS OF EDITH FINCH (lien en dessous) mais surtout le personnage principal est assez attachant, l’histoire a quelques rebondissements, les dessins servent l’histoire et c’est bien rythmé ! Bref beaucoup de plaisir de lecture.
June Branch mène une vie des plus tranquilles… jusqu’au jour où quatre criminels parviennent à s’évader de prison et enlever son petit ami, Liam. Pour leur échapper, June n’a d’autre choix que de se munir d’une arme étrange… une hache viking du VIIIe siècle ! Mais celle-ci est dotée de propriétés bien singulières : à même de décapiter un homme, elle laisse cependant les têtes fendues… conscientes ! Pour sauver Liam, June n’a plus qu’une seule solution : garder la tête (ou plutôt tout un panier de têtes) froide…
Brody Island, 1983.
Joe Hill rend ici hommage aux serials d’horreur que l’on pouvait trouver dans Tales From The Crypt ou House of Mystery, ou encore aux slashers de vidéoclub : humour noir, surnaturel, sang et même un peu de sensualité sont au rendez-vous.
Leomacs nous livre des dessins en harmonie avec le type de récit : ambiance sombre et froide, éclairages horrifiques et effets grand guignol sont de la partie et arrivent parfois à créer un sentiment de peur ou de malaise, sans jamais être réalistes. Ça reste toujours dans le registre de l’horreur pour adolescents.
J’ai trouvé ce récit rafraîchissant et agréable à lire. L’impression de voir un épisode des comtes de la crypte ne m’a pas quitté une seconde et je n’ai pas trouvé le jeu des références trop lourd pour du Joe Hill, même si je trouve toujours cet auteur bien surcôté.
