Dans un numéro de la revue Fantastik ?
Où l’on trouvait la version française de The Swords of Heaven, the Flowers of Hell ?
Jim
Bah non.
Dans la version française de son Shadow ?
Jim
Tu vois que Chaykin, c’est de la bombe, baby !
Dans le mag Scorpion de Sagédition ?
Jim
Je vois que ça. Mais j’aurais chopé ça chez mon cousin. Etrange.
Sinon, dans Scorpio Connection, le RCM. Je l’ai chopé tard, mais j’ai toujours adoré regardé la couv’ dans les pub de Lug.
Ou alors, il a un graphisme qui parle.
Tu mets de la pommade et ça passera.
Jim
Non, je l’ai pas celui-ci (je le cherchais en brocante … avant). Ou alors, mon cousin me l’avait prêté.
Mais regarde plus haut, j’ai posté un éléments de réponse possible.
Sans doute, ça correspondrait mieux à ton âge, à ce que tu as pu connaître.
Jim
Ça ne veut rien dire, ça : je l’ai découvert dans un truc qui est sorti quand j’avais un an, moi…
Tori.
Chut, j’essayais de minimiser, là… d’être gentil…
Jim
Oui, ça veut rien dire, voyons. J’ai découvert les FF de Kirby avant que j’aille en CP.
Si mes fils ne savent pas reconnaître les kirby krakle a trois ans, c est simple, je les renie.
Ils ont eu droit aux ff de kirby en lecture du soir.
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BATMAN #103
Written by: James Tynion IV.
Art by: Carlo Pagulayan, Danny Miki.
Covers by: Jorge Jimenez, Francesco Mattina, Carlo Pagulayan.
Description: Batman and Ghost-Maker go toe-to-toe to decide which of them will remain Gotham City’s hero. The city is changing faster than ever in the aftermath of « The Joker War, » and with this change comes increasing dangers as Gotham’s citizens demand that Punchline be released from prison! Plus, Harley Quinn faces certain death at the hands of Clownhunter!
Pages: 32.
Price: $3.99 (Variants, $4.99).
Available: Nov. 17.
C’est un peu mieux.
Bon, le principe de l’ancien camarade d’entraînement qui revient en ennemi, c’est lourd. Mais James Tynion IV est un bon auteur, donc il sait aussi raconter une histoire, même éculée.
Ici, Ghost-Maker est un peu un gros con qui se la pète, et s’est toujours vu supérieur à Bruce. Il vient ici faire « mieux que lui », car c’est le bordel à Gotham (pourquoi maintenant et pas à City of Bane, mmh ?), mais en fait… il se plante, bien qu’il batte Batman. Alors que Clowhunter en veut à Harley, Ghost-Maker vainc Bruce et veut gérer Gotham comme lui le veut.
Bon, c’est complètement déjà-vu, mais fait correctement. Ghost-Maker a « l’avantage » d’être caractérisé comme un gros con égocentrique et suffisant, ça change un peu et ça permet de lui donner un peu d’âme. Tynion tombe un peu dans le piège du « Batman-qui-sait-tout », mais équilibre ça avec une défaite physique.
Carlo Pagulayan et Guillem March illustrent ça efficacement, sans se forcer et alors que leurs styles correspondent… un peu. Un peu seulement. Rien ne jure, mais ce n’est pas vraiment fluide ensemble.
Clairement un story-arc en dessous. Mais Tynion a suffisamment de talent et/ou de professionnalisme pour ne pas rendre les choses désagréables.
Ghost-Maker is living up to his spectral name as Batman scours Gotham City for any trace of him…but this deadly new vigilante is going to prove a bloody point to the Dark Knight by murdering both Clownhunter and Harley Quinn. That is, unless they kill each other first!
Batman #104
Written by James Tynion IV
Pencils Bengal, Ryan Benjamin, Guillem March
Inks Bengal, Guillem March, Danny Miki
Colored by David Baron
Cover by Jorge Jimenez, Tomeu Morey
Release Date: December 1, 2020
Pas mal.
Je l’admets, je ne suis pas convaincu ni par l’idée d’un camarade d’entraînement qui revient s’en prendre à Bruce, ni par Ghost-Maker lui-même, dont le peu de caractérisation « sauve » vaguement le truc, sans jamais donner « assez » pour intéresser.
Ici, James Tynion IV poursuit sa petite saga, en expliquant déjà l’antériorité et les « secrets » de la relation brutale Batman/Ghost-Maker, et en s’amusant avec la Batfamily : Nightwing, Barbara, les « Batgirls », Clown-hunter, Harley qui s’intègre aussi. Tout fonctionne, hein, c’est fluide dans les caractérisations et les interactions… mais ça n’est pas vraiment « prenant », en fait.
C’est agréable, mais ça reste une saga mineure. Qui, en plus, est dotée d’un graphisme déséquilibré, avec Ryan Benjamin, Bengal et Guillem March qui font ce qu’ils peuvent, mais tout fait précipité.
Sympathique, mais anodin.