BATMAN : À LA VIE, À LA MORT (Tom King, Lee Weeks)

Mais puisque tu l’as lue en anglais et qu’apparemment tu as une grande maîtrise de cette langue, ne devrais-tu pas être capable de dire si elle t’a plu ou pas ?

C’est pas pour dénoncer mes petits camarades d’Urban (j’aimerais qu’ils continuent à me donner du travail longtemps, très longtemps), mais dans mon fichier de traduction, Batman disait : « Pas  », ce qui n’est pas du langage très soutenu, je le concède, mais avait l’avantage de trouver un écho dans le si opaque « vous n’êtes pour personne » d’Alfred qui suit.

Là, j’avoue que j’ai franchi un cap. Après ça, c’est plus possible de s’inquiéter de rien. Tout est possible. Un jour, y en a un sur un forum ou ailleurs qui me dira que se mettre la rate au court-bouillon c’est pas possible, ça peut pas exister. Ou bien que c’est seulement Hulk qui peut être vert de rage. Ou bien que cette histoire de 36 chandelles n’a rien à voir avec la VO, scrogneugneu, etc.

Un jour à marquer d’une pierre blanche, les gars. Je suis libre de tout souci. Apprêtez-vous à en voire des vertes et des pas mûres…!

(Je ne garantis pas que le texte original parlera nécessairement de pommes.)