Question que se posaient Donner & Co dans les années 70
edit : A voir si Gunn va exploiter les mêmes réponses ou s’il les exploitera différemment
Question que se posaient Donner & Co dans les années 70
edit : A voir si Gunn va exploiter les mêmes réponses ou s’il les exploitera différemment
Je ne suis pas tout à fait d’accord, dans les années 80 voire même 90, il y a encore un grand nombre de créations que ce soit des vilains ou des héros mais le fait est que le marché était aussi beaucoup plus grand avec la contraction de ce dernier, on capitalise plus facilement sur des valeurs connues.
There really isn’t much more to say here beyond what I outline in that earlier write-up, except to point out that, even in the late 1970s, Superman and the sort of heroism that he represents was seen as being corny, old fashioned, out of step and largely irrelevant. And the key secret of this picture is that it has Superman take that attitude on head-on in the person of the urbane, cynical and world-weary Lois Lane, and win her over. Superman was the hero that people needed in the aftermath of the Watergate scandals and the Vietnam War and all sort of other events that weakened out belief in the systems of power and the goodliness of our fellow man. And I suspect the reason that it went over so well is that it never takes the piss out of the main character or the ideals he represents and tries to uphold. It makes those values feel relevant again, even if they could only truly be embodied by an alien savior from another world. “You’ll believe a man can fly” read the tagline—but the important part, the magic trick, was “You’ll believe.”
Et au début de cette même décennie :
During Maggin’s time at Brandeis, he befriended the university’s vice-president, meeting his family.[8]During one of the meetings, the vice-president’s stepson (and future comic book writer) Jeph Loeb suggested a story that would eventually be called « Must There Be a Superman ? ».[4] Maggin used the idea, which became his initial foray into the Superman franchise,[8] and it was published in Superman #247 (Jan. 1972).[6]
C est vrai ? C est un perso qui pour toi dans ta vie a un tel rôle ?
le personnage, non, ce qu’il représente oui. Ca pourrait être le Captain America du MCU par exemple si tu préfères. Je n’ai pas d’ambition démeusuré. La seule chose dont j’ai envie, c’est de trouver un trou paumé ou je peux y mettre une petite baraque avec 6-10k de mètre carrés de terrain loin des gens et vivre tranquille, J’ai pas besoin d’argent hormis pour ma bouffe et si je peux être à 30-40 min de voiture pour aller à une librairie que j’aurais ouvert ça m’ira très bien.
Si tu connais la série Yellowstone, je serais du genre Rip ou John Dutton, sans le côté méchant. mais par exemple le trou du cul du montana dans un micro bled ou je tiens un petit magasin, ça me va très bien.
Le progrès actuel ou ce que l’on appel le progrès ne va pas dans le bon sens pour moi et l’humanité encore moins. Donc merci, mais au revoir.
En revoyant une énième fois le film il y a un truc que j’avais pas percuté (et pourtant c’est gros comme une maison). Comment faire croire à un tel personnage dans une Amérique post-Watergate et Vietnam ? Une des clés de la réussite se trouve dans les premières minutes du film. Quand un enfant ouvre un comic. Il ne parle pas de Superman, il parle du Daily Planet. Quel est la figure héroïque des années 70 ? C’est le journaliste. En rappelant alors le Daily Planet (et donc le fait que Clark Kent soit journaliste) et en s’inspirant de film ayant ces personnages comme protagoniste, Donner et Mankiewicz pose la première pierre de l’édifice qui fera croire à ce niveau dans une époque de désillusion.
Il s agirait sans doute d incarner une envie du futur, de l aventure, de ne pas tout comprendre et d aimer ça.
Sans doute une colère aussi mais où la placer ?
Apres, je persiste à dire que la version de mos avec un superman qui veut réellement faire le bien sans vraiment savoir ce en quoi cela consisterait etait très bien vue, surtout qu il y a de bonne raison de penser que si c est bien ce que snyder a fait, il croyait quant à lui faire autre chose.
Mais le Kal de MoS ne veut pas faire le bien : il veut savoir qui il est, se sent obligé d’aider mais ne veut pas que ça se sache.
C est la même idée : il fait le bien dès qu il peut mais ne sait pas ce qu il doit faire.
Ce non savoir est très bien venu de mon côté.
Tout comme son choix de rennoncer à la definition génétique de lui même.
Mos est bien plus reussi qu on ne lui en donne le credit.
Et le moins snyderien des films de snyder.
Je ne trouve pas. Il y a vouloir faire le bien et ne pas savoir comment, ce que tu dis, et errer dans un but égoïste (qui suis-je) en aidant quand on se sent obligé de le faire, ce qui est dans le film.
Sans qu’on en comprenne la raison : Kal veut toujours savoir d’où il vient et n’a jamais créé d’identité de Clark. Pourquoi choisir la Terre ? Pour ken Lois ?
Parce qu’il est à moitié Nolan.
Ne pas savoir ce qu il doit faire, c est errer.
Pourquoi dire dans un but égoïste ? Il ne pouvait savoir qu il decouvrirait le vaisseau.
Il voyage et decouvre le monde comme dans le birthright de waid.
Ne serait ce pas égoïste de choisir la terre parce qui vit son amoureuse ?
Il choisit un monde où on ne nait pas pour remplir une fonction, ou il y a de la place pour l errance.
Clin d’œil
Parce qu’il est dit qu’il cherche des indices sur de tels phénomènes. Il ne veut pas découvrir ce monde, il cherche l’ailleurs d’où il vient.
Mais pas pour découvrir le monde en lui-même.
Ça fait trois jours qu’ils se connaissent. On est plus sur du désir que de l’amour.
Sourire
Snyder a fait une version Director’X cut, et personne ne me dit rien ?
Il a déjà la palme du ridicule pour la scène de cul de son Watchmen (sur fond d’hallelujah ).
Pourquoi tu réveilles des souvenirs que mon cerveau était parvenu à occulter ?
Jim
C’est la markolepsie.
C’est dire la puissance bousuesque de cette étron