BEN REILLY: SPIDER-MAN #1-5 (J.M. DeMatteis / David Baldeon)

La couverture du #3 par Steve Skroce :

Retour aux 90’ ?

C’est frappant, hein : le Surfer de Marz et Lim, le Venom de Michelinie…

Jim

J’aurais préféré les 70’

Monsieur a du goût

Jim Starlin sur Captain Marvel, Don McGregor sur Black Panther, Steve Englehart sur Captain America… Jack Kirby sur Eternals !!!
Mais que font les editors ?

Jim

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Tant que Kaminski ne sévit pas à nouveau sur tête-de-fer…
Il y a aussi une rumeur persistante d’un projet de Claremont (une mini ou un arc sur Gambit).

Mais pourquoi pas, tudieu.

Jim

Ôte-moi d’un doute : on n’a pas déjà eu ?

Ben Reilly: Spider-Man #1

(W) J.M. Dematteis (A) David Baldeon (CA) Steve Skroce
In Shops: Jan 19, 2022
SRP: $3.99

BECAUSE YOU DEMANDED IT! Iconic Spider-Man scribe J.M. DeMatteis (KRAVEN’S LAST HUNT, SPIDER-MAN: THE LOST YEARS) returns to spin his webs once more within the Spidey mythos, this time joined by explosive artist David Balde n (WEB WARRIORS, DOMINO)! Together, they’re bringing you unlocked memories in the life of BEN REILLY, A.K.A. SPIDER-MAN! Darkness looms over New York City as murders begin to pile up…but how are they all connected? Do the answers Ben is looking for reside in the haunted halls of the RAVENCROFT INSTITUTE? Find out as we return to the era when Ben Reilly was the one, true SPIDER-MAN!

BEN REILLY: SPIDER-MAN #1 : Que de lourdeur dans la narration ! Les pensées de Ben sont omniprésentes, et cela a considérablement freiné ma lecture tant cela bouffait le dynamisme de l’épisode, même durant les moments de combat. N’ayant aucune affinité avec le personnage ni jamais lu d’épisodes des 90’s, la fibre nostalgique ne peut pas prendre, et rien n’est vraiment fait pour prendre les gens dans mon cas par la main ; ce point-là n’est pas une critique de ma part, cela me conforte juste dans l’idée que je ne suis pas la cible et tant mieux si ceux qui le sont y trouvent leur compte. Il n’y a guère sur les dernières pages que j’ai commencé à vraiment m’intéresser à ce que je lis, peut-être parce qu’on se lance vraiment dans une intrigue qui peut être suivi par tout le monde.
Du point de vue continuité c’est amusant de voir que J.M. DeMatteis ne s’embarrasse pas trop de Brand New Day et compagnie, que ce soit pour la gestion des identités secrètes ou pour la vie de couple de Peter et MJ qui ont toujours bien attendu un enfant à cette époque. C’est aussi rigolo de voir mentionner des sites de rencontre dans ce genre de série, mais c’est un peu le jeu aussi quand on écrit dans un univers situé dans un présent perpétuel.
Je vais quand même revenir pour le #2, mais pas sûr que je continue plus loin si on ne dépense pas le simple gulty pleasure pour lecteurs des séries arachnéennes de cette époque.

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Tu vas te prendre le lobby DeMatteis en pleine poire, toi !
(mon ressenti était déjà comme ça dans son travail des années 90 sur Spidey)

Et j’aimais beaucoup…^^

Bah, sa sinistrose m’ennuyait beaucoup. Et comme y avait du texte en plus, pas facile à évacuer.
J’ai mis du temps à croire que DeMatteis pouvait être drôle et fun.

Alors que pourtant, entre deux moments de sinistrose (mais c’est vrai que la rigolade c’était plutôt du côté JLA/JLI) :

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L’exception …

Haha.

Pareil.

La League et Kraven la même année, quel grand écart en terme de tonalité n’empêche.

bwahaha

kraven5

Sans doute qu’il avait besoin de décompresser : écrire des séries avec tant de rigolade, ça doit user le moral au point de devoir écrire un drame psychologique de temps en temps !

Même Giffen était étonné au premier abord (« DeMatteis sur une série humoristique ?! »).

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