Ce qui me fait dire que Kitty incarne davantage les plans de Claremont. Et son parcours (sous Claremont via Excalibur, mais après aussi) en atteste : d’élève, elle est devenue enseignante, d’apprentie, elle est devenue modèle.
Jim
Ce qui me fait dire que Kitty incarne davantage les plans de Claremont. Et son parcours (sous Claremont via Excalibur, mais après aussi) en atteste : d’élève, elle est devenue enseignante, d’apprentie, elle est devenue modèle.
Jim
DC repousse la nouvelle série Birds of Prey à février 2020 (qui se trouve être le mois de la sortie du film). Autre changement : le titre rejoint la collection Black Label.
La honte.
Donc c’est hors continuité ?
Sais pas. Pour moi c’est du gros fourre-tout, ce « Black Label »…
Quelle belle logique éditoriale…
Ca a été annoncé il y a quelques mois, le Black Label ne se limite plus aux récits hors continuité. Il regroupe tous les récits « adultes » de DC. C’est devenu juste une classification d’âge en fait.
Le Birds of Prey d’Azzarello devient finalement un one-shot de 96 pages.
BIRDS OF PREY #1
Written by BRIAN AZZARELLO
Art and cover by EMANUELA LUPACCHINO and RAY McCARTHY
Cover by IVAN REIS and JOE PRADO
Variant by J. SCOTT CAMPBELL
Black Canary’s life has spiraled out of control: her personal life is going through the ringer and her band is in crisis when an old flame resurfaces only to flicker out and set her on an all-new mission against an all-new opponent. The only thing she has to be grateful for is the fact that she’s not alone, as Huntress finds herself on a collision course with Black Canary’s quarry at Detective Montoya’s urging. Meanwhile, Harley Quinn has resurfaced outside of Gotham City and out of the Suicide Squad, with a new lease on life that is sure to make everyone else’s life more complicated. And that’s only the first five pages of this high-octane, graphic novel-length one-shot that pushes the Birds of Prey far beyond their limits and puts them up against the most brutal crime syndicate to ever sweep into Gotham City! Hardboiled superstar writer Brian Azzarello and the bombshell art team of Emanuela Lupacchino and Ray McCarthy take the Birds into the no-holds-barred world of Black Label, and none of them will ever be the same!
96 pages, $9.99, in on Jan. 20.
Ça sent la loose non ?
Carrément. Ils ont tellement « cru » en cette série qu’on dirait bien qu’ils ont « reformaté » le premier arc en un seul album. Sacré rétropédalage par rapport aux premières annonces…
Ou alors ils ont vu les premières images du film et ils se sont dits : « Euuuuh non ! »
Meuh non : ils appliquent la formule du moment du franco-belge !
J’adore!!!
Une initiative de DC que j’aime beaucoup en ce moment, c’est les « one dollar comics » qui permet de se replonger dans des débuts de titres ou de run.
Et là, c’était le Birds of Prey #1 par Dixon le scénariste favori de JIm et le dessinateur favori de Soyouz, j’ai nommé Greg Land. C’est « rigolo » de revoir Oracle, la vraie trentenaire avec un sens du devoir aigu, dans la continuité de son Père.
Elle lance Black Canary sur une île de mafieux… Les échanges entre les deux commères sont remplis de complicité avec une Dinah péchue et pas avare de clichés.
C’était une autre époque… ca m’a rappelé de très bonnes choses!
Yep. J’avais parlé plus en détails de cette époque inaugurale de la série par là il y a un peu plus d’un an :
Sur le long terme, certains aspects de la personnalité de Dixon, qui, disons, « me parlent moins », s’avèrent un peu lassants… mais ça ne m’empêche pas de reconnaître au bonhomme un sens des ambiances et de la construction d’intrigue de premier ordre. Et oui, hélas, il est clair qu’on est très loin de ce niveau-là sur les plus récents avatars du titre.
Oui, celle où il avait laissé ses revues de cul sous son lit.
La publication est maintenant repoussée à mars 2020…un mois après la sortie du film !
Lupacchino n’a pas trop de chance, chez DC …
Azzarello voulait montrer une femme avec un zizi aussi?
Et DC a trouvé ça gonflé?
Ils loupent des occasions les mecs… Des tartes dans la gueule!!!
Black Canary’s life has spiraled out of control: her personal life is going through the ringer and her band is in crisis when an old flame resurfaces only to flicker out and set her on an all-new mission against an all-new opponent. The only thing she has to be grateful for is the fact that she’s not alone, as Huntress finds herself on a collision course with Black Canary’s quarry at Detective Montoya’s urging. Meanwhile, Harley Quinn has resurfaced outside of Gotham City and out of the Suicide Squad, with a new lease on life that is sure to make everyone else’s life more complicated. And that’s only the first five pages of this high-octane, graphic novel-length one-shot that pushes the Birds of Prey far beyond their limits and puts them up against the most brutal crime syndicate to ever sweep into Gotham City! Hardboiled superstar writer Brian Azzarello and the bombshell art team of Emanuela Lupacchino and Ray McCarthy take the Birds into the no-holds-barred world of Black Label, and none of them will ever be the same!
Written by: Brian Azzarello
Art by: Emanuela Lupacchino, Ray McCarthy, Trish Mulvihill, John KaliszU.S. Price:
9.99
On Sale Date:
Jun 2 2020
Page Count:
96
Rated:
Mature
Source : www.dccomics.com