Oui on sait qu’il veut copier Ellis, Moore et Morrison et Miller, oui on le sait, et cette rigidité dans le découpage de ses récents album montre bien la fermeture d’esprit dont il peut faire preuve, il reste trop bloqué dans le découpage Watchmen, il devrait aller voir ce qu’a fait Moore dans les années 00, c’est bien mieux que les années 80 et il tire partit de la force de ses dessinateurs, ce que ne fait pas King imposant sno gaufrier mou du cul qui retire toute palpitation rétinienne voir tout intérêt pour de la BD qui est un art séquentiel, ou il faut travailler ses sdéquences, l’espace entre… Joué avec.
King me fatigue, il a de bonnes idées, mais ce sont toujours trop souvent les mêmes décalqué d’une bd à l’autre.
Sherif of Babylon, Omega Men, Miracle Men, Heroes in crisis, on a le même thème sous différente variation et c’est tout de même lassant.
Je n’ai pas lu les deux derniers, je ne lirais surement pas Rorsach, et Human Target attend patiemment il est dans ma seconde pile de lecture en retard.
Tu oublies que les deux parlent des traumas de la guerre, car la dépréssion de Mister Miracle vient de son ptsd, et Strange fait ce qu’il fait à cause de la guerre.
une guerre sans fin qui n’est abordé qu’après, mais une guerre sans fin. Pour moi ça fait partie du tout. Après je ne l’ai lu qu’une fois et je peux me tromper, mais pour moi la guerre était montré comme un (pas l’ensemble, mais un) élement déclencheur de la tentative de suicide.
It’s Black Canary versus Lady Shiva to determine who is the single greatest hand-to-hand fighter in the universe! Who will walk away with the title?
Creative Team
Writer: Tom King
Artist: Ryan Sook
Colorist: Dave Stewart
Letterer: Clayton Cowles
**Cover Artists:**Ryan Sook
Variant Cover Artists: David Nakayama; Otto Schmidt; Dan Hipp; Chrissie Zullo Uminga
Group Editor:
Editor:
Assistant Editor:
Cover Price/Page Count: $5.99/40 Pages
The match of the millennium as Black Canary faces Lady Shiva in Black Canary: Best of the Best #1, on shelves and digital platforms, on Wednesday, November 27, 2024 from DC Comic
Je n’en attendais rien, j’ai eu l’impression en cours de lecture que c’était vain… mais Tom King me « prend » en fil de numéro, et m’emporte finalement sur son final. Bien joué.
On suit ici un combat étonnant entre Lady Shiva et Black Canary, dans un grand spectacle à l’américaine ; ceux qui sont sur les réseaux sociaux peuvent faire le parallèle avec le récent affrontement Mike Tyson / Jake Paul, et c’est l’idée du show rendu. La narration est rythmée par les commentaires lourdingues mais crédibles des commentateurs, alors que Lady Shiva est vue comme la meilleure combattante et Black Canary un challenger qui part perdante d’avance, même si plusieurs races dans l’Univers suivent le combat vu sa popularité dans la Justice League. Alors que le combat débute, que Dinah prend cher comme on dit mais tient, par ruse, on voit que ses amis super-héros sont réunis dans un salon pour suivre ça, sans qu’Oliver sache pourquoi elle fait ça (tiens, tiens…), mais surtout on découvre des flashbacks évocateurs. Si Lady Shiva est formée et préparée par « une armée » d’entraîneurs, Dinah va dans une petite ville retrouver sa mère, fleuriste, la première Black Canary, très connue en ville car elle a signé des autographes pour tous. Dinah ne veut qu’elle comme entraîneuse, sa maman tient encore le coup mais Dinah est crispée et ne veut pas parler du combat, et si possible pas d’Oliver. On la voit sortir aller prendre un verre, et l’on découvre via un parallèle que Dinah se bat pour perdre au sixième round… comme Vandal Savage la paye pour cela. Dinah accepte car Vandal Savage va se faire plein d’argent en pariant sur elle, et elle aura en contrepartie un remède pour ce que l’on comprend être le cancer de sa mère, au crâne chauve sous sa perruque blonde (et cette blondeur est soulevée par Dinah comme anormale)…
C’est finalement très bien, oui. Bon, clairement, l’essentiel du numéro est un peu lourd pour quiconque n’est pas fan des combats-spectacles, et Tom King a encore la main trop lourde sur les voix-off, comme sur son Wonder Woman. Il est assez juste dans la caractérisation, et très bon sur le rapport mère / fille. Le final redistribue les cartes, donne du sens et du coeur à l’ensemble. C’est fin, pertinent et prenant, alors que Ryan Sook illustre le tout avec talent, offrant des planches dynamiques et des images très rondes et agréables.
C’est joli, c’est un peu bavard mais ça prend un sens très fort et juste en cours de numéro. Je suis intrigué et même emballé.
C’est le comics que j’attends depuis longtemps (j’adore le personnage). J’ai crains un Jenny Sparks bis mais là, il y a une vraie intrigue, des enjeux et des faux-semblants.
J’aime beaucoup la marotte de King des voix-off relous des commentateurs sportifs américains. C’est assez bien rendu, très exagéré.
Le travail de Ryan Sook reste très appréciable mais je m’attendais à un niveau plus proche de son magnifique Zatanna.
DC Comics has released a 4-Page Preview and Covers of Black Canary: Best Of The Best #2 comic, that will be on sale on December 26, 2024 as a print and digital issue.
Issue 2 of 6. MINI-Series.
The Official Synopsis of Black Canary: Best Of The Best #2 comic:
PART TWO
After a disastrous first round, Black Canary takes to her corner and her coach. How could she ever prepare herself for a match against Lady Shiva? The answer is simple…mother knows best. The original Black Canary is back and ready to train her daughter for the fight of both their lives.
Très, très fort. Tom King m’emporte complètement dans un numéro intense, sur trois temporalités avec un énorme portrait des Black Canaries. En flashback ancien, on voit la jeune Dinah suivre avec des yeux d’enfant le départ de sa mère pour une ronde nocturne puis voir à la TV avec son père policier qu’elle aurait été blessée. Elle voit ensuite sa mère exiger d’être soignée chez elle plutôt qu’à l’hôpital puis la faire partir, alors que la jeune fille met sa perruque et se rêve Black Canary. Au présent, le deuxième round reprend et c’est brutal, les commentateurs sont pro Shiva qui tabasse Dinah et finit même par lui cracher dessus. Dinah se relève et la défie. En flashback récent, on voit l’entraînement terrible de Dinah par sa mère, qui s’écroule un moment à cause du cancer et lui fait promettre de montrer au monde qui elle est, qui elles sont… et donc de gagner.
C’est très, très fort, oui. Tom King me prend aux tripes, avec d’abord ce match brutal qui fait mal, notamment à cause des commentaires orientés. Il gère bien le flashback ancien avec l’émerveillement de la petite fille sur sa mère, mais c’est sur l’entraînement et cette réplique finale qu’il me cueille pleinement. Wow, ça me touche, avec en plus des dessins superbes, beaux et intenses, de Ryan Sook.
Quelle belle lecture avec un Tom King qui semble mieux maitriser la structure de son (ses) récit(s). La lecture est dense aussi dense que les coups de Lady Shiva bien brutale.
C’est une lecture que j’attendais depuis longtemps tant j’aime le personnage de Black Canary. La lire en solo me ravit.
Et là, Ryan Sook, sur cet épisode, il est très très bon.