BLACK KNIGHT: CURSE OF THE EBONY BLADE #1-5 (Si Spurrier / Sergio Dávila)

Roh, coquin.
Quel doux souvenir.

Un de mes trois Avangers préférés,avec Vision et Hank Pym.

Un de mes 4 en comptant Captain America.

Toute période confondue ?

Jusqu’à l’arrivée de Bendis.

Après,je le trouvais mal écrit.

Il restait un de mes préférés,mais mal écrit.

Edit:évidemment,je déteste le personnage qu’il devient lorsqu’il frappe la Guêpe.
Mais je respecte le personnage dépressif bouffé par les remords.

C’est parce que c’était un Skrull.

Jim

En fait,je le trouvais mal écrit aussi un peu avant,dans les épisodes où on le voit s’énerver parce que la Guêpe a révélé aux autres Avengers qu’il l’avait frappé.
Pour moi,ce n’est pas son genre de réaction.

D’ailleurs,les Avengers n’étaient pas au courant à l’époque?
Hawkeye réagit comme s’il venait de l’apprendre…

Le seul Pym qui avait ma sympathie était celui de byrne.

Celui des Vengeurs de la Cote Ouest?
Le meilleur.

Oui de la cote ouest.

Sinon les scénaristes en ont souvent fait un geignard.

Pas forcément, quand il était le scientifique suprême (ou un truc du genre)

Non là il était robotphile.

Il ne pleurait pas la mort de la guêpe à l époque ?

Non, il lui rendait hommage.

Hommageignare

Un aperçu du #2 :

Black Knight Curse of the Ebony Blade #21

Black Knight Curse of the Ebony Blade #22

Et du #3 :

Black Knight Curse of the Ebony Blade #31

Black Knight Curse of the Ebony Blade #32

Des coloriages pour Benny la Vague.

Surtout la bonne idée d’une rencontre entre le jeune Thor et Sir Percy !
Ce serait parfait si Spurrier s’était souvenu du lien entre Dane et Thor…

BLACK KNIGHT: CURSE OF THE EBONY BLADE #2

Written by: Simon Spurrier.

Art by: Sergio Davila.

Covers by: Iban Coello, Ron Lim.

Description: Dane Whitman wields the magical Ebony Blade as the Black Knight! A new enemy leaves a murderous trail as they hunt down magical artifacts tied to the Black Knight’s origin and to the dark truth behind King Arthur’s court and Camelot itself. A trail leading Elsa Bloodstone straight to Dane’s door! If Dane is to stop the coming death and destruction, he must face the secrets of his own past as well as shocking new revelations about the Black Knight’s entire history. Dane has only just begun to realize the Ebony Blade’s true potential and power… Will its unending lust for destruction finally consume Dane forever?!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: April 21.

Ah, c’est quand même pas mal, ça !
Bon, évacuons directement les choses qui fâchent : Si Spurrier continue (un peu) à tourner Dane Whitman en dérision, avec des réactions un peu abusives de légèreté. On peut dire que ça va avec le personnage qu’il décrit depuis le one-shot King in Black, le type paumé et dépressif qui en fait des caisses pour essayer d’exister ; okay. Je n’adhère pas complètement mais ce n’est pas entièrement dénué de sens… alors okay.
Autre chose : Si Spurrier fait une erreur de continuité. Dommage. Il indique ainsi que Sir Percy a forgé sur demande de Merlin l’Epée d’Ebène, et un Bâton d’Ebène, et un Calice d’Ebène et un Bouclier d’Ebène, et qu’il a choisi l’épée. Sauf que non : c’est Merlin qui a forgé l’Epée d’Ebène, et Frank Tieri a acté dans New Excalibur que Sir Percy n’était pas le premier mais le 9e, après huit chevaliers héroïques mais rongés rapidement par l’Epée d’Ebène. Dommage, oui, car ça reste assez lourd comme erreur.

En dehors de ça… c’est cool !
Si Spurrier m’amuse en utilisant toujours le majordome bouc humanoïde de Dane, j’aime bien l’étudiante Jacks hélas paumée dans tout ce bordel et qui a des visions de Camelot. C’est elle qui comprend que le fameux tueur de Dane, et de professeurs spécialisés dans le monde entier, cherche les autres artefacts créés par Sir Percy, et que Merlin aurait fait tomber dans une eau sacrée, pour disparaître. Jacks est sympathique, et ses interactions avec Dane sont bonnes.
Surtout, on voit l’arrivée brutale d’Elsa Bloodstone, qui enquête sur ces meurtres de professeurs car le tueur utilise une magie ancienne, liée au sang, ce qui interpelle la chasseuse de monstres. Et la rencontre avec Dane est fracassante ! Si Dane subit un peu l’événement, il a quand même la classe et gère bien… et dieu que c’est agréable, quand même, de voir Black Knight bien gérer un combat !
Le fantôme de Sir Percy, qui a ici un caractère fun et délirant alors que, sous Frank Tieri, il était sombre et « mauvais », raconte grosso-modo les événements utiles, avec confirmation qu’un Black Knight ne peut pas mourir s’il tient l’Epée d’Ebène, elle le ramènera. Il faudra vérifier la continuité, mais ça peut le faire - car l’identité du tueur est révélée, et là colle bien avec l’Histoire… car c’est bien sûr ce bon vieux Mordred, celui qui tue en continuité Sir Percy. A noter d’ailleurs que Spurrier avance des sortes de Medieval Avengers à Camelot, ce qui est une bonne idée.

Je ressors donc très content de ce numéro, où la mythologie de Black Knight est renforcée (malgré une erreur), où mon personnage favori est « bien » écrit (en tout cas, il n’est pas pathétique et reprend du style), et où la lecture est fluide et agréable… pas uniquement par passion pour Dane !
Enfin, Sergio Davila livre des planches très jolies, bien dynamiques, avec de belles images et de bons moments. C’est bien fait et bien fichu.

Ouais, je suis bien content ! Vivement la suite !
Ca fait plaisir de lire une bonne histoire, et enrichissante, sur mon personnage préféré. :slight_smile: