LE CHIEN BLANCO t.1-2 / BLANCO t.1-4 (Jirô Taniguchi)

Logique : le premier cycle se concluait sur cette idée, preuve que Blanco n’a pas fait que courir.

hannibal

Je suis assez sensible à l’épure, dans son cas. Certains titres m’ont profondément marqué, comme L’Homme qui marche. J’apprécie beaucoup ces chroniques du rien, ces promenades de l’insignifiant. Je n’ai pas tout lu, cela dit (et je m’aperçois que j’ai quelques récits chez moi qui ne me disent rien, genre La Montagne magique. Va falloir que je relise tout ça.

Jim