Survivre dans une prison de haute sécurité gouvernée par des brutes où tout signe de faiblesse est synonyme de mort certaine, telle est la mission de John Constantine. Dans le labyrinthe perfide des gangs et des gardiens corrompus, il devra naviguer avec prudence, en évitant par tous les moyens le big boss de ce lieu de perdition.
Contient : #146-161 + Vertigo Secret Files & Origins: Hellblazer « The First Time »
Public : Ado-adulte - à partir de 12 ans
Genre : Horreur
Collection : VERTIGO SIGNATURES
Date de sortie : 23 septembre 2016
EAN : 9782365779104
Prix : 28 EUR[/quote]
Déjà publiés par Toth, sauf Vertigo Secret Files & Origins: Hellblazer « The First Time ».
Le second tome devrait contenir « uniquement » 13 épisodes, donc il doit exister aussi quelques autres épisodes solo d’Azza ?
Ce dernier épisode, c’est pas le récit court situé dans le passé, quand John fume sa première cigarette ? Si c’est bien le cas, je l’ai traduite pour Toth à l’occasion du bonus dans l’édition DVD du film.
Ce dernier épisode, c’est pas le récit court situé dans le passé, quand John fume sa première cigarette ? Si c’est bien le cas, je l’ai traduite pour Toth à l’occasion du bonus dans l’édition DVD du film.
Ce n’est pas mon préféré, mais ça reste forcément bon (comme quasi toute la série), je prends toujours un grand plaisir a compléter ma collection, maintenant j’espère très fort que le prochain, ça sera le run de Milligan. (Je soupçonne qu’ils le sortent en dernier pour respecter une sorte de chronologie)
Du très très lourd ce volume. Je l’ai lu d’une traite. Le premier arc ou John se retrouve en milieu carcéral est excellent et Corben colle une ambiance crade qui va parfaitement avec le récit. J’aime beaucoup le trait de Frusin. Le troisième arc avec son ambiance huis clos est très réussi. Il me tarde d’avoir le second volume.
Ce que je trouve fascinant ici c’est que Constantine est dépeint comme un grain de sable qui va niquer le mécanisme de la machine dans laquelle il est tombé. Le premier arc on dirait qu’il est balancé à Oz et qu’il va faire la nique à O’Reilly ou Adebisi.
De la même manière sa présence dynamite le récit classique du huit-clos empreint de mystère autour d’une mort. Seul l’arc du milieu échappe à la règle (quoique l’épisode dans la voiture) mais c’est pour mieux dépeindre un microcosme en perdition qui semble être un thème de prédilection dans le cinéma aujourd’hui.
J’ai eu l’occasion de feuillet ce premier recueil et il s’en tire haut la main si on le compare aux choix qu’avait l’éditeur Thot en son temps (Pour en savoir +)/(Pour en savoir +).
Le format déjà, mais aussi et surtout le papier qui donne aux couleurs un meilleur rendu (meilleur aussi que le numérique que j’ai pu voir, ou le papier des floppies).
Bref si je ne les avais achetés il y a des années, j’aurais sauté sur l’occasion ; Urban a encore fait une très chouette édition.
[quote]ça fait un bail qu’on le l’a pas vu sur un titre.
depuis la fin de Loveless?[/quote]
Depuis, Marcello Frusin a notamment travaillé sur la bande dessinée L’Expédition (Dargaud). Depuis 2012, deux tomes ont été publiés sur les quatre prévus.
Mon premier contact avec le perso fut le run de Carey qu’un pote m’avait passé ( chez panini ) et j’avais pas accroché au premier arc et du coup j’avais laissé tomber. Donc je suis bien content qu’urban sorte ces runs plus géniaux les uns que les autres dans une belle édition et avec une excellente traduction.