Pas mal en couleurs aussi.
…
C’est Martin Jr!?
Mouais… Je ne suis pas toujours convaincu…
Tiens tiens…
Plutôt pas mal.
Jim
Oui voilà quand il veux.
Voilà.
Captain America #1
While Captain America slumbered in ice, the world changed — for better and for worse. Steve Rogers awakens to a reality where battles are fought in the shadows through secrets and subterfuge, and villains aren’t so easy to identify. When a fledgling dictator named Victor Von Doom conquers Latveria, Steve faces a critical decision: adapt to a new kind of warfare, or forge his own path? And what will the choice he makes in the past mean for his future?
Creative Team
- Writer: Chip Zdarsky
- Artist: Valerio Schiti
- Colorist: Frank Martin
- Letterer: Joe Caramagna
- Standard Cover Artist(s): Ben Harvey
- Variant Cover Artist(s): Valerio Schiti; Chip Zdarsky; Pablo Villalobos; John Romita Jr; Luciano Vecchio; Nick Bradshaw
- Editor: Alanna Smith
- Format: Ongoing Series
- Page Count/Cover Price: 40pages/$5.99
Out of the ice and into the fire as A new era of The Star-Spangled Avenger in Captain America #1 on shelves and digital platforms in July 2, 2025, from Marvel Comics
Vraiment intéressant ce Captain America #1
A minima Zdarsky réussit à m’intriguer et à me donner envie de lire la suite. Ca parle beaucoup, avec une voix off en fond et c’est généreux en pierres posées pour la suite.
On suit d’u coté les premiers jours de Steve Rogers après avoir été décongelé par les Avengers dans une amérique post 11 Septembre. Dans le même temps un jeune rouquin fragile, choqué par l’effondrement des tours jumelles s’engage dans l’armée qui semble en faire un nouveau super-soldat.
J’ai beaucoup aimé le rythme et le fait que ce soit pas avare en infos. Croiser les 4 Fantastiques et Tony Stark donne l’impression d’un univers riche et vivant ce dont je suis toujours friand pendant qu’en fond semble se dessiner une situation géopolitique plausible et qui sera le théâtre de ce premier arc.
Steve me parait très juste, sans doute un peu inspiré par son itération cinématographique, avec cette volonté logique de réintégrer l’armée alors qu’il vient juste de revenir dans ce monde dont il ne comprend pas grand chose.
Schiti, dont je ne suis pas toujours fan, me semble proposer quelque chose de simple, un peu figé mais avec des sacrées planches sublimées par le travail de couleur de Frank Martin que j’adore.
Dans l’ensemble un bon numéro introductif qui semble aller dans une direction intéressante
Très bon et agréable lancement pour le run de Chip Zdarsky et Valerio Schiti, qui commencent « en douceur » par un récit dans le passé, où l’on révèle des événements dans le creux de l’Histoire connue avec talent et efficacité. Ainsi, l’on revient quand cela ne faisait qu’une semaine que les Avengers avaient sorti Captain America de la glace, dans un passé où Tony Stark lance un Starkphone révolutionnaire en arrêtant de vendre des armes. Steve tente de retrouver du sens à ce qu’il voit, quand il intervient pour stopper un ancien soldat ravagé par le stress post-traumatique qui agresse des policiers puis veut faire exploser le siège de l’ONU (et Steve apprend au passage ce que c’est). Cap’ le calme par ses mots, Iron Man bloque son dispositif, puis tous deux discutent mais Cap’ refuse d’intégrer les Avengers car il a déjà « un groupe » : l’armée américaine, seul élément survivant de son passé. Les médecins confirment qu’il est qui il dit être, et le général Ross le recrute pour une première mission : libérer des otages américains de Dr Doom ! Cap’ aide les 4 Fantastiques contre l’Homme-Taupe puis demande des tuyaux sur Doom à Reed, qui est ému de voir celui qui était son héros d’enfance. Alors que Cap’ va en Latvérie avec de nouveaux Howling Commandos, il voit surtout… David Colton, un ado’ roux traumatisé lors du 11 septembre et qui parvient à se faire engager malgré son asthme et son aspect malingre. Il est maltraité par ses camarades puis récupéré par un projet mystérieux, qui semble l’avoir transformé en… Captain America ?!
C’est bien, bien fait et intéressant. Chip Zdarsky joue la « prudence » en commençant dans un récit passé, qui ne va rien révolutionnaire on le sait, mais ça lui permet de bien s’emparer d’un Steve qu’il caractérise bien, oui, comme son pendant MCU dans son lien charnel avec l’armée. C’est un bon élément, et il poursuit avec de bons dialogues, de bonnes approches des choses et des personnages, et de belles interactions (notamment quand Cap’ stoppe le kamikaze). Le fond est intéressant même si on en a vu, des Faux-Cap’, et je suis curieux de la suite sur Steve lui-même, tandis que Valerio Schiti livre de belles pages, claires et classiques, mais jolies et avec un bon grain passéiste.
Un bien bon et beau début.
Ha le temps a glissé officiellement ? Cap n’a pas connu le 11 septembre ?
Podcast Episode #247 is out! ⍟ The New Captain America series debuts today and writer Chip Zdarksy returns to rap Cap! What is the new sliding timeline and are there retcons in this series? Why does Steve want to rejoin the Army - and is he actually the rank of Captain? Plus, one listener wants to know… Does Steve cry during sex? (IYKYK)…and much more!
YouTube: https://youtu.be/hJzwAb6cBz8
You can also listen at: Captain America Comic Book Fans
iTUNES: https://podcasts.apple.com/.../captain.../id1546492661
or… just search Captain America Comic Book Fans in your favorite podcast— avec Robert Lucius.
C’est que suggérait aussi le Marvel 2-in-1 de Zdarsky concernant la jeunesse de Reed et Fatalis.
Il semblerait.
Ha je l’ai pas lu celui-là, ça plaçait leur jeunesse dans les années 90 ?
Faire contenir 65 ans d’histoire en 25, ça va faire un premier quart de siècle chargé dans l’univers Marvel.
C est aussi dans le marvels recent de busiek ou l histoire de l univers larvel par waid






