Lui non plus n’a pas échappé aux « hostess ad » (les pubs pour twinkies, qu’il vaut mieux éviter d’ingérer quand ils sont périmés d’après John McClane).
Ayant adoré les épisodes de Warlock par Starlin et vu l’enthousiasme de Photonik je vais me laisser tenter
Je croyais qu’il n’était apparu qu’à une seule reprise mais en fait non, comme le prouve l’une des couvertures de ce triptyque dans Defenders 62-64 (« Dollar Bill’s Documentary Disaster »).
Je crois que tu ne seras pas déçu.
Jim
« Misère ! C’est la puce géante mangeuse de marchés aux puces ! »
Euh… ?
Ça, c’est du monstre digne de Captain Marvel !
Tori.
Moi, je dis que tous ces super-vilains improbables devraient être réintégrés dans la continuité. Voilà. Na.
Jim
Oui, j’avais fait des recherches justement pour savoir si le personnage est un « one-shot » ou s’il était apparu par ailleurs, et j’étais tombé sur cet arc des Defenders, farci de seconds couteaux. C’est écrit par l’excellent David Anthony Kraft, auteur dans le même titre de l’excellente « Scorpio Saga », que j’adore depuis la plus tendre enfance…
Par déduction des parutions dans « Strange », les n° 22-23 « inédits » ne le sont pas. Panini les a traduit dans la Collection Hachette « Le Meilleur des Super-Héros Marvel » n° 25.
Ah, oui, tiens.
Donc, aucun inédit.
Tori.
Ça nous rajeunit pas tout ça.
C’est clair. Même si je suis pas aussi vieux que le numéro en question… Je l’ai découvert 10 ans plus tard.
ça, ce n’est pas forcément lié à l’age.
Ben je veux dire par là que j’existais pas à l’époque de la sortie du numéro en question. J’avais six ans quand je l’ai lu. Et avec ce fameux épisode de « Captain Marvel », je me prends direct dans la face un numéro farci d’action absolument dantesque (la baston entre la Chose et Cap’ reste une de mes favorites du genre), un méchant carrément flippant et une fin très dark où le héros est d’emblée dans une mouise noire. Franchement impressionnant.
Tout le sommaire de ce Strange était fabuleux. Le « Spider-Man » de Lee et Romita (avec Marko, l’Homme-Montagne, sous-fifre de la Maggia), grande époque, « Iron Fist » par Larry Hama aux crayons si je me souviens bien (dans une ambiance très dark là aussi, avec cette histoire de vengeance et ses sectes d’assassin), et le « Daredevil » de Colan avec un épisode sublime sur le plan graphique… Une sacrée période pour la revue.
À l’arrêt de sa série régulière, Captain Marvel a trouvé refuge dans Marvel Spotlight (volume 2), dont les premiers numéros ont accueilli la fin de la saga de Moench et Broderick, puis quelques récits isolés, dont un par Ditko et un autre par Miller. La série a aussi accueilli du Starlord ou du Captain Universe. Puis s’est arrêtée au onzième numéro.
Et là, sur le site Diversions of the Groovy Kind, je déniche la couverture d’un douzième numéro, dessinée par Michael Nasser. Sans autre explication. Purée, j’ose pas imaginer toutes les planches qui doivent dormir dans les tiroirs des gros éditeurs, quand même…
Jim
On fait d’un coup moins les malins avec notre fameux Marvel n°14 !
Hahahahaha
Jim
Pat Broderick & Tom Palmer (prévu au départ pour un #63 jamais sorti puis pour Marvel Spotlight et enfin The Comic Reader #196) :
Ah ouais, c’est marrant, ça, ils ont utilisé une couverture de Jeff Aclin et Bob McLeod pour Marvel Spotlight #1.
Sans doute ont-ils préféré une image plus générique plutôt qu’une illustration qui renvoie à une saga en cours (et quelle saga !).
Jim
Je découvre ces épisodes sur le tard, mais comme le dit l’adage, mieux vaut tard que jamais. Passé les deux-trois premiers épisodes avec megaton dessiné par Boring ( son nom va bien avec mon ressenti), on rentre rapidement dans le vif du sujet et c’est excellent. Starlin s’améliore de pages en pages au fur et à mesure que son intrigue monte en intensité. C’est du lourd. Merci de l’avoir conseillé.