Dix ans plus tôt, le massacre connu sous le nom de la Nuit des Fous a pris les vies de Batman, du Joker, de Nightwing et du commissaire Gordon et envoyé Selina Kyle en prison. Maintenant, Catwoman est de retour dans une Gotham contrôlée par le maire Harvey Dent et ses Batcops. Elle a un but : découvrir les secrets de la Batcave. Pas pour l’argent…mais pour avoir la réponse à sa question : qui est Orpheus ?
Nouvelle mini-série du Black Label, Catwoman : Lonely City est entièrement réalisée par Cliff Chiang (Paper Girls). Le #1 sortira en octobre.
Ten years ago, the massacre known as Fools’ Night claimed the lives of Batman, The Joker, Nightwing, and Commissioner Gordon…and sent Selina Kyle, the Catwoman, to prison. A decade later, Gotham has grown up-it’s put away costumed heroism and villainy as childish things. The new Gotham is cleaner, safer…and a lot less free, under the watchful eye of Mayor Harvey Dent and his Batcops. It’s into this new city that Selina Kyle returns, a changed woman…with her mind on that one last big score: the secrets hidden inside the Batcave! She doesn’t need the money-she just needs to know…who is “Orpheus”? Visionary creator Cliff Chiang (Wonder Woman, Paper Girls) writes, draws, colors, and letters the story of a world without Batman, where one woman’s wounds threaten to tear apart an entire city! It’s an unmissable artistic statement that will change the way you see Gotham’s heroes and villains forever!
Moi qui viens de boucler les quatre premiers tomes de Paper Girls, je ne vais bouder mon plaisir à lire de nouveau du Cliff Chiang.
Pour cette mini, il réalise tout. Alors, verdict?
Et ben, c’est très bien. CC nous emmène dix ans dans le futur après que Selina ait purgé sa peine. Batman est mort lors d’un assaut où elle était présente, Double-Face est maire de Gotham, etc…
Bref, tout a changé sauf notre Sélina, bien seule.
Si j’ai eu beaucoup de mal à m’adapter au format, je dois avouer qu’au fil de ma lecture, la taille des planche rend hommage au travail de l’artiste. Trait clair, couleur douce et des dialogues assez rigolos, bref, n’en jetez pas plus, la coupe est pleine.
On est très loin du chef d’oeuvre mais c’est du très solide, sans effet inutile ou esbroufe.
