La critique par Lauriane est disponible sur le site!
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Je suis assez d’accord avec Laurianne sur l’ensemble et la construction du tome.
Le scénario bien que simple, est savamment construit pour nous laisser découvrir petit à petit les liens qui se font et se défont dans cette chambre A2.
J’ai beaucoup aimé lire ce tome, les graphismes épurés et les couleurs pastels collent au thème de l’hôpital.
Seul petit bémol, j’ai trouvé le dénouement, la fin, bien trop rapide. Après tout un tome délicat et nonchalant, qui prend le temps de nous éclairer patiemment, la fin est un peu trop « expédiée »… C’est peut être un effet voulu par l’auteur.
Ou alors, c’est surement que j’aurais aimé savourer encore quelques pages de cette jolie histoire…
Je pense que l’auteur a voulu créer un effet choc comme dans les thrillers psychologiques. D’un coup la banalité, la routine se trouvent bouleversées par un événement extérieur qu’on a lentement vu se construire sans vraiment comprendre ce qui allait se produire. En cela c’est plutôt bien fait, je trouve.
Ensuite, j’interprète la chute ainsi:
[spoiler]Avoir un coeur « sain » n’est pas un gage de bon fonctionnement. Mathieu, fort de son nouveau coeur, se sentait prêt à une nouvelle vie, à déplacer les montagnes, à lui avouer son amour et espérait même que son nouveau coeur se remplirait de ça…Mais il a le coeur brisé en retournant dans la chambre A2. Le sens propre rejoint le sens figuré…
Je dois avouer que ce jeu de mots me plaît… 
[/spoiler]
Bonjour à tous et merci Lauriane pour ta super critique.
Je l’ai partagée sur mon Facebook. Et si d’ailleurs vous désirez suivre mes actualités je vous invite à vous abonner à mes mes publications ou bien me demander l’amitié. Mon site étant rarement mis à jour…
Bref, pour en revenir à Chambre A2 vous avez plutôt bien saisi mes intentions. Mais il est vrai que je ne m’attendais pas à ce que la fin ouvre autant les débats. Je suis déjà intervenu sur plusieurs forums afin d’éclaircir un peu plus mon propos et c’est avec grand plaisir que je viens sur BD Sanctuary le faire aussi.
J’ai voulu finir l’album sur une note triste mais pas si injuste que ça. Car Mathieu malgré sa déception amoureuse pourra continuer à vivre avec son nouveau cœur.
Donc dans l’ensemble les histoires des personnes de la chambre A2 se finissent bien. Car le principe de l’album était de raconter au travers des chapitres uniquement ce qui se passe dans la chambre à l’exception du dernier (et des interludes bien sur). Une fois Mathieu sorti il n’y reviendra plus…C’est pour ça que le titre de l’album est le numéro de la chambre.
Ensuite cette fin aussi abrupte était pour moi une évidence et c’est d’ailleurs avec cette fin en tête que j’ai voulu écrire cet album. La façon dont elle se termine reflète certains souvenirs du passé…Je n’imaginais pas faire autrement ^^
Voilà, en tout cas merci pour l’accueil que vous avez réservé à mon album. J’espère que les prochains vous plairons aussi et vous feront réagir autant !
Et si vous avez d’autres questions, je suis là
Merci pour ces précisions et sois le bienvenu sur BDS! 
J’ai apprécié de trouver la traduction des dialogues arabes sur ton blog: julien-parra.com/
N’hésite surtout pas à revenir nous parler de ton actualité pour ceux qui n’ont pas franchi le pas facebook. 
Ka-chan m’a fait lire son tome, j’ai également apprécié, mais je m’y attendais, j’avais adoré 3 instincts
Lauriane : De rien, c’est vraiment un plaisir de répondre à ses lecteurs. Je reviendrai avec plaisir vous parler de mes nouveaux projets. Même si pour le moment j’ai mis la BD de côté pour me consacrer à un jeu pour smartphone.
Et je suis content que tu aies eu la curiosité de te rendre sur le site pour voir les traductions. Je me pose la question si je n’aurai pas du les mettre à la fin de l’album. Car après en avoir discuté avec plusieurs lecteurs pas tous ont fait la démarche d’aller sur le net une fois la BD fermée.
Equinoxe : Content que tu aies apprécié. Si tu as préféré 3 Instincts le prochain sera plus sera plus dans la même veine. Violent mais moins sadique. Je viendrai en parler quand je m’y mettrai dessus !