CHECKMATE #1-6 (Brian Michael Bendis / Alex Maleev)

A un moment, si tu ne veux pas subir l’ingratitude de l industrie, peut-être faut il faire le choix de la carrière éditoriale.

Et encore, les eic connaissent eux aussi des destins peu enviables.

Un poste à la claremont sinon, pour services rendus.

Je viens de lire la fin du titre.

Je remonte un peu en arrière. Bendis monte l’intrigue Leviathan, redonne un coup de projecteur sur l’histoire des Manhunters et dans l’ensemble, ça se lit correctement. Les minis sont annoncées, puis repoussées pour être annulées pour certaines.

C’est sur que ce bordel n’a pas du aider l’auteur mais quand même…

C’est du Auto-Bendis-Bashing. qu’il nous propose. J’y vois très clairement un auteur qui pilote un avion et qui prend la décision de la scratcher en mode automatique. Checkmate en est la preuve.

Quelle catastrophe malgré l’intérêt de remettre au goût du jour le Spy-world du DCU. Il se permet de tuer le Père Lane, de créer un frère à Lois (finalement que l’on oubliera dès janvier), etc… pour ça?

Comme le souligne Ben, les twists - [details=« Résumé »]Kamandi[/details] - sont inexplicables et pire, inexpliqués. Waller arrive sur le tarmac et balance la révélation. L’autre dit « oui ».

Là, je mets dans la peau d’Alex Maleev qui ne doit pas comprendre un pet du scénario et doit composer entre blablas intempestifs et scènes d’actions imbuvables.

Cata, cata et cata…

Bendis viré pour laisser la place à la Shadow War de Williamson. Et ben-dis donc…

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Oui, a posteriori, je pense à un sabordage volontaire.
Si j’avais une pièce à miser, je dirais que Bendis a été « viré » de Superman à l’arrache, et ses derniers numéros précipités, sans conclusion, peuvent le confirmer.
Avec la saga Manhunter annulée, Checkmate repoussé, Bendis a pu se « fâcher » et décider, vu que DC ne soutient pas / plus, de saborder sa propre intrigue.

Ce qui est drôle, c’est de lire sa newslettrer Substrack. Il dit que la vie chez DC est géniale, etc… J’adore.

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Corporate jusqu’au bout.

Un byrne.

C’est pro’, quoi.

Bah ça lui paie les burritos trankilou bilou donc bon

Mouais… Un pro fait le boulot jusqu’au bout. Les ronds de jambe ne sont pas nécessaires.

Mais si ça se trouve, Bendis est heureux et fier de son boulot!

C’est possible.