CINDER & ASHE (Gerry Conway / José Luis García-López)

HAHAHAHAHA

Jim

Lol c’est énorme xD

:wink:

[quote=« Jim Lainé »]
HAHAHAHAHA
Jim[/quote]

Hé ouais, c’ est dur, hein de se prendre la vérité en pleine face, Môôôsieur Lainé…

Dois-je en conclure, d’ailleurs, que tu reviens de Brest ?
C’était bien ?

Jim

Humide.

c’est une rumeur :mrgreen:

mais après avoir vu Jim et lui avoir servi de guide,rencontré et bien discuté avec JJ Dzaliowski je veux bien accueillir Franck à la pointe bretonne :wink:

Une dédicace ?
Pourquoi pas…

je transmets aux organisateurs

Vous voulez vraiment me faire revenir à Brest …

ouais :smiley:

Séjour très agréable, très bon souvenir, de mon côté !

Jim

Un petit raté dans cette version.
Il me semble que le soutien de noir a été oublié, au moins parfois, ce qui fait que le trait a encore plus de mal a lutter contre les couleurs qui remontent à cause de (grace à) la qualité du papier…
Mais bon dieu, qu’est-ce que ça fait du bien de voir C&A par chez nous !
Alors, pour ça et pour le reste, merci Thierry Mornet.

Ha ben je me posais des questions au niveau des couleurs justement. Je me demandais s’il n’y avait pas eu des soucis parce que la couleur de peau de Cinder est à géométrie variable mais surtout je me demandais s’il n’y avait pas, en VO, une couleur attitré aux voix-off parce qu’on s’y perd rapidement je trouve.

En dehors de ça j’ai vraiment beaucoup aimé.

Clairement trop de rouge et trop de « bruit » dans la couleur… Mais je trouve que ça passe bien.

Ça doit venir du matériel récupéré, je pense.
Après, l’édition fascicule US que j’ai n’est pas bien meilleure, le trait est un poil plus net, mais bon, si peu…

Mais je suis d’accord, quelle joie de voir ce récit enfin traduit, après plus de vingt-cinq ans !

Je suis entièrement d’accord sur les couleurs des voix off : pas d’attribution de couleur, ça trouble. En y regardant de près, en revanche, les deux voix off ont des récitatifs de formes différentes (angles droits ou angles arrondis). Du coup, à relire en VF, je trouve que les deux voix se confondent, et plutôt que de créer une confusion, je trouve que ça renforce l’idée qu’ils pensent ensemble, en équipe. Et de fait, les personnages fonctionnent sur du non-dit, sur une expérience commune et des sentiments partagés, ils ont un instinct qui n’a pas besoin de mots (voir la première fusillade). Et à la fin du récit, on a donc l’impression que les sentiments de l’un sont aussi les sentiments de l’autre.
Et donc, même si, depuis plus de vingt ans, je partage très précisément ta critique, je me dis désormais que ça donne une dimension psychologique assez intéressante, presque inattendue.

Jim

Comme quoi on peut être facilement formaté par certaines formes narratives au départ. C’est intéressant parce qu’en repensant ça ma bloqué au début (dans la scène de fusillade dans le cimetière) mais plus j’avançais dans le récit moins je m’en préoccupais.

(faut dire que j’ai été fasciné par la relation entre les deux personnages et que j’ai trouvé la scène d’amour et sa conclusion véritablement bouleversant)

(c’est vraiment une relation rare et touchante)

Il y a une volonté de de ne pas donner de frontières nettes entre les deux personnages et entre les événements. Les retours entre le passé de Cinder et Ashe et les évènements actuels se mélangent énormément jusqu’a la fusion finale.

C’est comme le fait d’utiliser une police plus petite quand Ashe parle Cajun. C’est très discret en fait et ça fonctionne (et ça met d’autant plus en lumière la métaphore du père adoptif d’Ashe)

Plus j’y pense plus j’aime cette histoire. Ils ont assuré chez Delcourt, c’est typiquement le genre de chose à mettre dans les mains de personne voulant se mettre au comics sans passer par les super-slips

J’ ai un peu parlé avec Thierry Mornet et ça a quand même été la croix et la bannière pour sortir ce bouquin, DC ayant particulièrement montré un enthousiasme modéré à fournir un matos digne de ce nom…
Sans rentrer dans les détails cela explique à peu près tous les petits défauts…

Ouais, tout pareil.

J’ai pas la VO sous la main, mais je crois que c’est un truc d’origine, et du coup, difficile à rendre en français… parce que dans la VO, c’est des expressions françaises. À y repenser, si ça se trouve, l’utilisation de bas de casse (de minuscules) est peut-être l’astuce française pour restituer le truc… Ah, j’ai trop la flemme d’aller vérifier…

Chez Delcourt, il y a quand même une palanquée de comics qui ne sont pas du super-héros. C’est vraiment le catalogue qui permet d’aller découvrir tout plein de trucs américains sans spandex !

Jim

La critique par Perlimpinpin est disponible sur le site!

Lire la critique sur Comics Sanctuary