Pour fêter les deux ans du New 52, DC dévoile petit à petit les sollicitations de son mois de septembre spécial vilain. En parallèle à la mini-série Forever Evil (et ses tie-ins Rogues, Arkham War et A.R.G.U.S.), l’éditeur remplace la totalité des séries par des one-shots consacrés aux super-vilains. Chaque numéro bénéficie d’un nouveau système de couverture 3D « motion ».
Pour la numérotation, l’éditeur utilise l’identification « .1 »; procédé utilisé par Marvel pour distinguer sa production habituelle des numéros spéciaux.
Comme pour le Batman de Scott Snyder et Greg Capullo, la série Batman: The dark Knight aura plusieurs one-shots dérivés à son compte pour le mois spécial vilain.
Le troisième, mené par le scénariste John Layman (Detective Comics) et le dessinateur** Cliff Richards** (Buffy: The Vampire Slayer), est consacré au vilain Clayface qui a récemment fait son grand retour dans la série Batman.
[quote]BATMAN: THE DARK KNIGHT #23.3: CLAYFACE
Written by JOHN LAYMAN
Art by CLIFF RICHARDS
3-D motion cover by GUILLEM MARCH
On sale SEPTEMBER 18 • 32 pg, FC, $3.99 US • RATED T
It’s the biggest audition of Clayface’s life as he attempts to impress the Secret Society and join their ranks. Desperate to prove himself more than a monster, Clayface sets a scheme into motion that quickly unravels! Will he make his mark—or dig his own grave?[/quote]
[quote]Batman: The Dark Knight: Clayface #23.3
Story by John Layman
Art by Cliff Richards
Cover by Guillem March
Publisher DC Comics
Cover Price: $3.99
Release Date Wed, September 18th, 2013
It’s the biggest audition of Clayface’s life as he attempts to impress the Secret Society and join their ranks. Desperate to prove himself more than a monster, Clayface sets a scheme into motion that quickly unravels! Will he make his mark—or dig his own grave?[/quote]
Bon, je l’ai déjà dit, mais je suis grand fan du boulot de Layman sur Detective Comics. J’aime sa gestion des vilains, ses sagas qui ne s’éternisent pas, ses petites finesses, son humour presque mélancolique, bref, je le trouve très bon sur de la licence comme ça. Et là encore, il réussit le coup d’avoir un angle intéressant pour un vilain classique, d’avoir une voix off bien tenue tout du long, et d’avoir une situation finale pleine d’humour avec ce qu’il faut d’émotion désabusée. Vraiment, très bien.