- CLEAR written by Scott Snyder with art and colors by Francis Manapul. “A sci-fi mystery thrill-ride into a strange dystopian future, where a neurological internet connection is transforming reality.”
Francis Manapul!!! 
Je ne suis pas fan de ce que je vois. Ça ne fait pas trop BD.
Faudra voir avec un lettrage, mais là, je vois des cases, et surtout un traitement couleur qui fait redécouvrir le trait de Manapul.
Jim
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Nouvel aperçu :
CLEAR #1
Scott Snyder (W), Francis Manapul (A/C/Covers), Christian Ward (Cover), Mike del Mundo (Cover), Cliff Chiang (Cover).
In the not-too-distant future, mankind no longer sees the world as it truly is. The invention of neurological filters has made it so one can view reality however they may choose – old Hollywood monochrome, zombie apocalypse, anime . . . the possibilities are endless. Neo-shamus Sam Dunes is one of only a handful who choose to live without a filter. When the death of an old flame reveals foul play, Dunes is set on a wild and twisting mystery that will take him from the city’s deadly underworld to the even deadlier heights of wealth and power.
56 pages, $4.99 (Variants, $5.99), in stores on March 8.
Snyder comme bendis, n ont ils pas été victimes du rythme intense de la production américaine ?
Pour assurer la cadence et leur salaire, je me dis parfois qu ils se sont reposés sur une certaine graphomanie qui a fini par prendre le dessus chez eux.
Je suis pas sûr que ce soit pour des raisons financières. Pas directement. Ils doivent être très bien payés.
En revanche, en tant que vedette, ils sont sollicités davantage par les rédactions, qui veulent capitaliser sur leur nom. Et si jamais il y a un contrat d’exclusivité, souvent accompagné d’avantages (la sécu…), ils sont astreints à fournir un certain quota d’épisodes. Et ils n’osent refuser car ils savent bien que le marché est concurrentiel, qu’un autre acceptera à leur place et qu’un éventuel refus, même poli et motivé, pourrait être le déclencheur d’un désaveu.
Après, sur la graphomanie, je suis assez d’accord.
Mais les raisons m’ont l’air plus complexes. Et plus vicieuses.
Jim
À tort parfois, en saturant ainsi le marché de leur nom, ils risquent d amoindrir le desir de les lire.
La reussite de brubaker en inde temoigne qu un autre choix est possible.
Après, Scott Snyder n’a pas, sauf erreur, eu une telle boulimie de titres comme Bendis a pu en avoir un temps.
Je crois même que Charles Soule en faisait plus que Bendis au top de sa forme, il me semble.
Mais là, Snyder doit vivre en dehors de DC et des gros événements. Death Metal a eu une bonne dizaine de one-shots signés par lui, en plus des numéros principaux ; ça nourrissait son homme.
Maintenant que c’est fini, il faut compenser !