CREATURE COMMANDOS (Saison 1)

MAX.

Forcément

Très bonne surprise pour ma part.

Alors déjà peut-être parce que les héros existent déjà ?

Oui…mais c’est l’histoire du Commando, pas besoin pour l’instant de multiplier les clins d’oeil…

Tu peux parfaitement faire 2-3 clins d’oeil si c’est bien intégré au récit.

J’ai vu le premier épisode, c’est pas mal.
C’est vrai que la musique est un peu trop omniprésente sur l’ensemble de l’épisode. Mais il faut reconnaitre que c’est fun d’y trouver du Manu Chao, même si c’est une reprise.

De la mano negra plutôt, non ?

C’est Manu Chao qui l’a écrite.

Bon, là, c’est la reprise par Gogol Bordello, en fait.

Tori.

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Des références à d’autres héros de l’univers DC, il y en a dans le troisième épisode…et pas les plus connus du grand public. J’ai bien aimé la façon dont James Gunn s’est servi de ces personnages tout au long de son récit sur le passé de G.I. Robot. Après la Fiancée, c’est donc le massacreur de nazis (au côté un peu niais mais presque touchant dans sa recherche d’amis…avant que cela disparaisse lorsque revient l’obsession de son programme) qui est au centre de ce chapitre, l’action bien gore étant entrecoupée par les flashbacks, structure classique et qui fonctionne bien ici. Même Flag est montré comme étant décontenancé par la violence de son commando…avant une dernière réplique intrigante…

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L’épisode de mi-saison n’est pas trop centré sur l’action (même s’il y a quand même une petite baston) et sert surtout à préparer la deuxième partie de l’histoire. Pour les flashbacks, je ne m’attendais quand même pas à ce que celui sur le passé de Weasel soit le plus tragique et le plus déchirant depuis le début de la série…

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Renouvelé pour une deuxième saison.

Le cinquième épisode entretient les doutes sur les révélations concernant les visions de Circé. L’équipe est séparée, Flag menant son enquête de son côté avec le monstre de Frankenstein, et dans les deux cas les choses dégénèrent assez vite, avec un invité spécial pour les méchants et de l’action nerveuse et bien saignante comme depuis le début de la série. Et même s’il y a des portraits nuancés (comme l’a prouvé l’épisode précédent), James Gunn n’hésite jamais à appuyer sur les aspects les plus sombres des créatures, comme le montre la fin du flashback consacré à Frankenstein…

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Le flashback du sixième épisode est consacré au Docteur Phosphorus, une origin story assez classique avec une part de tragédie (point commun de l’évocation des passés des membres de l’équipe). Le lieu de l’action a permis aussi à Gunn d’inclure un furtif caméo de Batman, avant d’avoir trouvé l’acteur qui l’interprétera en live. Le scénariste prend aussi son temps pour réunir l’équipe avant le grand final (ce qui donne une légère décompression pour la fin de cet arc), grattant sous la surface, le cynisme et les actes de violence, pour chercher ce qui peut leur rester d’humanité. Et il y a en a encore…mais pas pour Frankenstein, le colosse balourd est juste insupportable (ça ne m’étonne pas que la Fiancée a passé une centaine d’année à le ghoster)…

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Terminé cette première saison. J’ai tout de même trouvé la résolution de l’affaire un brin rushée, la série aurait mérité de se terminer sur un épisode double de 40 mn pour laisser un peu de place aux derniers rebondissements. Gunn a tout de même ajouté une dernière dimension tragique aux flashbacks, avec l’histoire de Nina, la plus humaine des créatures du commando, et c’était encore une fois sensible et émouvant. Donc dans l’ensemble, et malgré ses quelques défauts (dont une structure un peu répétitive et un traitement inégal des personnages…principalement l’ennuyeux monstre de Frankenstein), cette première série animée du nouvel univers DC m’a bien plu, j’en serais bien évidemment pour la deuxième saison…