Da Vinci’s Demons est la nouvelle série créée par le scénariste/réalisateur David S. Goyer (Blade, Superman : Man of Steel, la trilogie Batman de Christopher Nolan).
C’est l’acteur britannique Tom Riley qui incarnera l’homme aux multiples talents dans cette série diffusée au printemps prochain sur la chaîne américaine Starz, à qui l’on doit notamment les séries Boss ou encore Spartacus : Le Sang Des Gladiateurs.
Da Vinci’s Demons abordera « la vie de Léonard De Vinci à l’aube de ses 25 printemps au cours de sa turbulente jeunesse à Florence durant la Renaissance, à travers son parcours d’artiste, d’inventeur, d’homme de lettre, d’amant, de rêveur et d’idéaliste, qui commence, non seulement à voir le futur, mais à l’inventer ».
[quote]CREATEUR
David S.Goyer
DISTRIBUTION
Tom Riley, Lara Pulver, Laura Haddock, Tom Bateman, Alexander Siddig…
INFOS
Série américaine
Série en production - 1 saison, 8 épisodes
Genre : Aventures
Format : 52 mn[/quote]
Eh ben…je n’ai même pas pu aller au bout du premier! Ce DA Vinci sorte de Sherlock/Casanova/robin des bois avec ses blagounettes et son poitrail epilé à l’air m’ à pris la tête mais bien comme il faut. Après, vu ce que Marvel en avait fait (y avait eu deux séries si je me souviens bien), ça ne m’étonne pas que les rifains en redemandent. Le traitement qu’il subissait dans La Licorne de Mathieu Gabella était autrement plus classe. C’est fou que, autant niveau cinoche et séries on soit si mauvais et côté BD, on arrive parfois à enterrer nos cousins d’outre Atlantique!
Cela dit, ça reste assez différent de la relecture d’HICKMAN sur SHIELD/Secret Warriors, où il exploite le perso plutôt comme il le fait avec ceux des Projets Manhattan.
Sans être absolument exceptionnelle, je trouve cette version du personnage de Da Vinci assez intéressante. Le fait d’avoir fait du personnage une sorte de Tony Stark / Sherlock Holmes (tous deux dans leur version Downy Jr.) contribue largement à l’intérêt de la série qui déroule doucement son intrigue sur fond de société secrète, de complot de l’Église et de fantastique. En résulte un melting-pot finalement prenant, malgré des FX vraiment pauvres… En tous cas, après quatre épisodes, j’accroche plutôt à cette série
