DARK CRISIS - WORLDS WITHOUT A JUSTICE LEAGUE : SUPERMAN (Tom King / Chris Burnham)

Pour accompagner l’événement Dark Crisis, il y aura bien évidemment de nombreux titres dérivés, dont des numéros spéciaux regroupés sous la bannière « Mondes sans une Ligue des Justiciers ». Le premier one-shot sera consacré à Superman, par Tom King et Chris Burnham.
Sortie en juillet (avec une back-up Aquaman par Thomas, Brown et Ossio).

Tom King :

« Superman is maybe my favorite character to write, and Chris is one of my favorite artists in comics, whom I’ve been dying to work with for years, so this project is an absolute joy. It’s an important and emotional story about what Clark missed when he missed Jon’s teenage years, the pain and the glory of seeing your boy grow up. »

Chris Burnham :

« I’ve been a fan of Tom since his days on Grayson, so although he’s probably better known for his 12-issue ‹ war-is-hell › epics, I still primarily think of him as writing fun formalist done-in-ones. I’ve got two young boys who haven’t quite figured out what a knucklehead their old man is, so it’s fantastic to be drawing a story about Superman trying to live up to the high standards of his own father. I loved drawing the adventures of Batman and Robin in Batman Incorporated, and it’s been extra fun to draw Superman with a Robin-esque Superboy. »

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DARK CRISIS: WORLDS WITHOUT A JUSTICE LEAGUE – SUPERMAN #1

Written by TOM KING

Art and cover by CHRIS BURNHAM

Backup written by BRANDON THOMAS and CHUCK BROWN

Backup art by FICO OSSIO

1:25 variant cover by STEVE BEACH

1:50 foil variant cover by CHRIS BURNHAM

$4.99 | 40 pages | (All covers card stock)

ON SALE 7/12/22

When Pariah and his forces of the Great Darkness laid waste to the most powerful superheroes of all time, all hope was lost…with the Man of Steel suffering the same fate as that of his comrades, join us for a look at a world of dreams he would never have thought possible while alive. Where there’s life there’s hope, and with that hope comes a deeper unraveling of the tapestry of DC Universe’s biggest event of 2022!

Dark Crisis: Worlds Without a Justice League – Superman #1 hits comic stores on July 12th.

Belle équipe!!

La liste de ces numéros spéciaux :

  • Dark Crisis: Worlds Without a Justice League - Superman #1 (July) - by writer Tom King and artist Chris Burnham; Aquaman backup by writer Brandon Thomas and artist Fico Ossio
  • Dark Crisis: Worlds Without a Justice League - Green Lantern #1 (August) - by writer Phillip Kennedy Johnson and artist Fernando Blanco; Hawkgirl backup by writer Nadia Shammasand artist Jack Herbert
  • Dark Crisis: Worlds Without a Justice League - Wonder Woman #1 (September) - by writer Tini Howard and artist Leila Del Duca; Martian Manhunter backup by writer Dan Watters and artist Bandon Peterson
  • Dark Crisis: Worlds Without a Justice League - Green Arrow #1 (October) - by writer Stephanie Phillips and artist Clayton Henry; Black Canary backup by writer Dennis Culver and artist Nik Virella
  • Dark Crisis: Worlds Without a Justice League - Batman #1 (November) - by writer Si Spurrier and artist Ryan Sook; Zatanna backup by writer Meghan Fitzmartin and artist Rebecca Isaacs

Sympa! L’équipe sur Bats me plait beaucoup!

When Pariah and his forces of the Great Darkness laid waste to the most powerful superheroes of all time, all hope was lost…with the Man of Steel suffering the same fate as that of his comrades, join us for a look at a world of dreams he would never have thought possible while alive. Where there’s life there’s hope, and with that hope comes a deeper unraveling of the tapestry of DCU’s biggest event of 2022!

Written by: Tom King, Brandon Thomas
Art by: Chris Burnham, Fico Ossio, Adriano Lucas, Sebastian Cheng

U.S. Price:
4.99
On Sale Date:
Jul 12 2022
Page Count:
40

Et bien, et bien, quel numéro étonnant. Deux récits ici, deux « rêves » sur ce qu’auraient pu être les vies de Superman (surtout) et Aquaman (un peu), si tout avait été différent.

Tom King et Chris Burnham réalisent le récit principal, centré sur l’adolescence d’un Jon doté d’un costume de simili Robin pour aider son père, véritable Superman de Terre-2, avec cheveux poivre-et-sel et symbole adapté. Un Jon aventureux, hanté par les cris dans l’Univers des victimes de Darkseid, alors que son père interdit de quitter la galaxie, suite à un accord avec Apokolips. Jon viole régulièrement, se prend des branlées par un Orion aux ordres de Darkseid, puis finit par le battre et à prendre son indépendance.
Un récit étonnant, troublant, qui ne m’a pas emporté. Autant Tom King a plein de bonnes idées sur la vie quotidienne des Kent, notamment une Lois aux bonnes piques envers son fils bordélique, autant le fond de l’ensemble ne m’a pas plu. Ce Superman « timoré », qui frustre son fils, ça ne m’a pas emporté, et l’ensemble survalorise Jon, ce qui me gêne un peu. D’autant que ça reste poussif, et l’univers ainsi présenté est surprenant, sans être positif.
Chris Burnham livre des planches solides, un peu gores, avec une colorisation étonnante qui ne m’a pas beaucoup plue ; oui, je préfère le bleu à Superman, plutôt que ce gris laid.
Gros bof.

En parallèle, un Aquaman troublé se réveille alors que Mera le pousse à sortir du lit. Sa fille Andy adulte s’entraîne durement, lui aussi contre Black Manta, alors que le père et la mère d’Arthur sont vivants (!) et renouvellent leurs voeux de mariage. Un Jackson adulte veille, alors que le personnage Flash non-binaire vu dans Future State : Justice League et Teen Justice protège l’ensemble, par amour pour Andy. Mais si tout va bien, Arthur sent que c’est faux et livre, au final, un discours badass au responsable (« Je suis déjà mort et revenu. Nous verrons si tu pourras faire de même. »).
Belle surprise : ça se lit très bien ! Brandon Thomas livre un récit simple et fluide, qui fait la part belle à l’Aquafamily et au côté badass d’Arthur. C’est basique mais efficace, et réjouissant avec ce discours épique bien senti.
Bon, Fico Ossio a un trait trop travaillé, ça rappelle un peu trop les années 90, mais ça fait le job et ça reste solide.

Un numéro frustrant : l’histoire principale ne m’a pas plu et est longue, l’annexe m’a plu mais elle est courte. Dommage !

Alors personnellement, je n’ai pas compris que l’épisode du Roi et du Jambon brûlé se terminait. Pour tout dire ou écrire, j’ai même cru à une erreur de pagination car on enchaîne sans coup férir avec l’épisode avec Aquaman.

Il manque la fin, non?

Une drôle de sensation d’inachevée.

Et puis, j’adore Burnham. Ca me fait très plaisir de le revoir (après Nameless). :wink:

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