This spinoff to Tom Taylor’s medieval fantasy series Dark Knights of Steel focuses on Deathstroke. Inspired by Norse myths, Allwinter sees Deathstroke wandering a frozen wasteland and reluctantly becoming a protector of the innocent rather than a remorseless mercenary.
The snow falls thick, blood runs black, and color itself is only a distant memory. The legendary assassin Deathstroke stalks a frozen wasteland, killing for coin among a nation of ever-warring jarls. But when our murderer for hire finds himself cast in the role of reluctant guardian, will he fight to end the icy curse destroying his land or be consumed by the sins of his own dark past?
CREATIVE TEAM
Story: Tom Taylor
Writer: Jay Kristoff
Artist: Tirso Cons
Colorist: Arif Prianto
Cover Artist: Tirso Cons
Variant Cover Artist: Lucio Parrillo; Gerardo Zaffino; Dan Panosian; Homare; Tirso Cons
Format: 6 Issue Limited Series
Page Count/Cover Price: 32 pages/$4.99
Return to the Medieval DC Elseworlds realm of The Dark Knights Of Steel in Dark Knights Of Steel: Allwinter #1 on shelves and digital platforms on Wednesday, July 17, 2023, from DC Comics.
Très bon. Jay Kristoff s’empare de l’univers de Tom Taylor pour s’amuser avec le versant viking, où le vieux Slade tue le Jarl Black Mask pour le Jarl Vandal, dit le Sauvage, ce qu’il confirme en massacrant les troupes ennemies avec Killer Frost. Slade semble usé par la vie mais accepte une nouvelle mission au loin de Vandal, accompagné de ses sbires et de Killer Frost. Il découvre que le monstre est gardé par Adeline, son ex femme, et il blesse Frost pour la protéger…et protéger un enfant blond aux yeux bleus, sûrement Joey, et seul être de couleur dans ce monde noir et blanc.
C’est très bon, oui. Jay Kristoff reprend habilement les codes d’une aventure de vikings, avec un vieux guerrier charismatique qui retrouve la fougue face à un défi personnel. Ce n’est pas révolutionnaire mais c’est très efficace, et Tirso Cons livre de superbes planches, très travaillées, magnifiques et dynamiques.
Dark Knights of Steel: Allwinter #2 is out this coming Wednesday, and we have the official preview for you below courtesy of DC Comics…
CAN DEATHSTROKE STOP THE ENDLESS WINTER? Deathstroke’s past and present collide when he discovers the source of Vandar Savage’s ire is being protected by Adeline, Deathstroke’s wife. But what she has in her possession might be the only thing capable of stopping this endless winter for good. Crossing Vandar is dangerous enough, but their quest will barely have begun before tragedy strikes… Superstar writer Tom Taylor returns to the world of Dark Knights of Steel with artist Riccardo Federici to tell the story of an orphaned child… heir to the throne of Atlantis, Atlantis, whose arrival will signal prosperity… or terror!
Brutal mais réussi. Jay Kristoff enchaîne sa saga âpre, avec quelques surprises et des bagarres bien intenses. Ainsi, ce Slade usé est marqué par la découverte non pas d’un fils (Joey, comme je le pensais) mais d’un gamin, Alec, que son ex Addie protège car il va sauver le monde. Slade emmène Addie, blessée, et ils échangent ensuite car l’aspect gris des planches est dans le récit : cela fait vingt-et-un ans que le « Allwinter » est tombé, mais Alec vit en « couleurs », et ce qu’il touche a de la couleur. Addie refuse l’aide proposée par Slade, notamment via ses reproches sur la mort de leurs fils, et elle repart avec Alec. Ils sont cependant attaqués par Rose, fille de Slade mais opposée à lui car fidèle au Jarl Vandal. Slade vient aider, il croit tuer Rose mais celle-ci plante son arme autant dans Slade que dans Addie, et Alec (Holland, sûrement, vu son explosion de puissance émeraude) semble se retrouver seul).
C’est bien, oui. Jay Kristoff propose une saga brutale et réussie, avec ce qu’il faut de révélations et d’éléments pour créer de l’intérêt et nourrir le récit. Surtout, Tirso Cons est mis en avant par une bagarre extrêmement brutale, courte mais très intense. C’est beau, fort, léché, et l’ensemble se lit très bien, dans une veine Dark Fantasy forte.
A FAMILIAR FACE REVEALED! BUT IS PRINCE BRUCE FRIEND OR FOE?
The harsh winter journey takes a surprising turn when a familiar face from the Kingdom of El crashes into Slade and his young yet powerful charge, Alec Holland…but will Prince Bruce reveal himself to be friend or foe in their pursuit to end the Allwinter? And in the backup feature written by Tom Taylor, mastermind behind Dark Knights of Steel, and drawn by Riccardo Federici–the king of Atlantis will stop at nothing to ensure his legacy, even if it means tearing the surface world apart to find the child who escaped his clutches!
Writer: Tom Taylor, Jay Kristoff
Artist: Tirso Cons, Riccardo Federici, Arif Prianto
Release Date: September 18, 2024
Un bon épisode, encore. Jay Kristoff enchaîne en avançant doucement mais en organisant une bonne rencontre incontournable. En effet, Slade guide Alec dans leur royaume gris car The Green, qui parle à l’enfant et lui donne ses pouvoirs, lui donne des indications quant il dort. Slade en est crispé et parle peu, même si un flashback montre un drame concernant ses enfants 21 ans avant. Ils sont perturbés par la chute depuis les cieux du Prince Bruce, qui errait dans le monde après les événements de Dark Knights of Steel et l’absence de soleil ici le gêne. Il se bagarre avec Slade, Alec est inconscient puis s’éveille en les stoppant et en révélant ce qu’il sait via The Green. Bruce accepte de les suivre contre l’histoire de ce royaume… alors qu’une plante pousse derrière eux.
C’est bien, oui. Jay Kristoff livre un scénario classique mais efficace, bien mené avec des personnages bien écrits. Ça n’invente rien mais les éléments présentés fonctionnent, et l’ensemble bénéficie des très bons dessins de Tirso Cons, qui propose des atmosphères superbes.
The snow falls heavier and ice zombie hoards grow thicker as Slade and Alec battle their way through the frozen badlands in search of the dark wizard who commands the Allwinter. But even once they manage to secure some semblance of shelter, will the truths of their pasts that emerge bring them together…or tear them apart for good?
And in the backup tale by Dark Knights of Steel mastermind Tom Taylor and superstar artist Riccardo Federici, the king of Atlantis will stop at nothing to ensure his legacy, even if it means tearing the surface world apart to find the rightful heir he long thought was dead!
Writer: Jay Kristoff, Tom Taylor
Artist: Tirso Cons, Riccardo Federici, Arif Prianto
Release Date: October 16, 2024
Très bon, encore. Jay Kristoff livre un récit très juste et très bon dans un contexte qu’il maîtrise et avec lequel il joue très bien. L’on voit ainsi Slade et Bruce avancer dans ce désert gelé, et repousser les Draugar (zombies) qui veulent tuer le jeune Alec, seul être « avec des couleurs » dans ce paysage noir et blanc. Bruce est cependant affaibli par l’absence de Soleil, et doit rebrousser chemin après une lourde blessure ; mais il apprend comme Alec, avant, l’histoire de ce lieu. Un Royaume jadis agréable, mené par le Roi Maxwell 1er de la Maison Lord, qui a commis l’erreur de séduire l’épouse Nora de son conseiller Viktor. Ce dernier a tué le Roi et enclenché un hiver éternel ici. Slade gère Alec, salue Bruce en qui il reconnaît un héros, et Alec explique ensuite son origine (le massacre de sa famille par les sbires de Vandal, sa fuite dans le marais maudit où il est touché par The Green). Alec pousse Slade en évoquant sa connaissance, par The Green, de la mort de ses fils, mais lui promet qu’il peut encore être un héros - même si Rose vient le frapper et le blesser dans le dos, alors que Viktor laisse l’hiver le geler en échangeant avec son sbire, Solomon.
C’est très bien, oui. Un récit âpre, dur, violent mais pas trop, avec de l’héroïsme bourru chez Slade, des origines bien vues et intelligentes, de bons choix de personnage. Jay Kristoff livre de bons moments, et Tirso Cons continue de proposer des planches superbes, extrêmement dynamiques, agréables, fluides, travaillées et belles.
Un régal graphique sur un script pertinent et très juste.
Slade finds himself wrenched from the icy jaws of death by the only thing worse than a sworn enemy: an old friend who knows all his greatest shames and darkest secrets. Secrets that hold the true origin of the Allwinter, that he’ll have to face down if he ever hopes to set things right. The question that lies before the bloody mercenary is not whether he can… but whether he will.
Writer: Jay Kristoff, Tom Taylor
Artist: Tirso Cons, Riccardo Federici, Arif Prianto
Release Date: November 20, 2024
Très bon. Jay Kristoff prépare le grand final de sa saga, avec un épisode d’explications et de réunion, qui fonctionne très bien. Slade a été projeté en dehors d’un château en ruines par Rose, sa fille bâtarde dont il ne s’est jamais occupée après la mort de ses deux fils légitimes. Rose a déjà tué son ex, Adeline, et elle agit pour le Vagr Vandal, associée ici à Killer Frost pour ramener le jeune Alec, choisi par The Green pour stopper le sortilège Allwinter créé par le conseiller occulte Viktor du Roi Maxwell, après la mort de sa femme Nora sous ses mains (et après leur aventure ensemble). Slade est blessé, peine - mais est sauvé par un homme en armure pleine d’ingénierie : Wintergreen ! Ce dernier l’amène dans les profondeurs de la terre, là où il a forgé des armes mais aussi creusé un tunnel pour rejoindre le château où Viktor est, pour en finir. Slade et Wintergreen ont été proches, le deuxième s’est occupé de Rose après l’abandon mais celle-ci n’a plus supporté sa haine de son père. Tous deux ont besoin d’Alec pour leur plan de tuer Viktor, et retournent au château en ruines. Ils tuent Killer Frost, et finalement révèlent tout à Rose et Alec : tous deux avaient été engagés par Vandal jadis pour tuer le Roi Maxwell, Slade a mal tiré de loin et a tué Nora, ce qui a provoqué la folie de Viktor. Et maintenant, ils veulent en finir, et Rose accepte de venir pour permettre à Vandal d’obtenir le Royaume, comme si longtemps désiré…
C’est très bien, oui. Jay Kristoff maîtrise très bien ses bons personnages, les anime bien, et livre des explications bienvenues et pertinentes. Ca ne révolutionne rien, mais ça fait très bien le job, et ça nourrit ce beau monde différent, cet Elseworld prenant et réussi. L’ensemble est fluide et efficace, avec surtout de formidables dessins, toujours, de Tirso Cons. C’est beau, intense, léché et particulièrement bien ambiancé. Epatant.
Un bon point global avant le grand final, le tout superbement dessiné.