DARK NIGHTS - METAL : LES NUMEROS SPECIAUX (Collectif)

Certes mais d’habitude que ce soit chez DC ou chez Marvel je m’y retrouve, et là je suis paumé sur l’utilité et les liens des numéros annoncés…

Bah…
Dark Days : The Forge & Dark Days : The Casting en préludes.
Dark Knights - Metal comme mini-série principale (avec le « clin d’oeil/jeu de mots » sur Days/Nights).
Et les one-shots accompagnatifs pour creuser l’historique des nouveaux vilains/versions parallèles méchantes. Un peu comme les one-shots sur les héros « divinisés » durant Darkseid War pour la Justice League.

Oui c’est plus clair ^^ (et ça commençait déjà à l’être un peu plus au fil des infos qu’on avait sur les différents titres).

Merci :wink:

Changements pour le one-shot Batman : Lost. D’après le site Bleeding Cool, ce numéro spécial est maintenant scénarisé par Snyder, James Tynion IV et Joshua Williamson et dessiné par Doug Mahnke, Jamie Mendoza, Yanick Paquette et Jorge Jimenez.

Olivier Coipel ne signe plus que la nouvelle couverture :

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Source : www.bleedingcool.com

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Batman: The Red Death #1
Joshua Williamson (w) • Carmine Di Giandomenico (a)
Cover: Jason Fabok
Variant Cover: Riccardo Federici
As the events of DARK NIGHTS: METAL rock the DC Universe, the creatures of the Dark Multiverse stand ready to invade our world! How can even the World’s Greatest Heroes stop a horde of deadly beings that appear to be powerful, nightmare versions of familiar figures? Find out in these special tie-in issues!
Rating: Teen+
In Shops: September 20th, 2017
SRP: $3.99

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Source : www.cbr.com

Il y a. Donc aussi un Batman Captain Cold.

… mais what the f**k…

Probablement le même qui devient le Batman-Flash en ayant piqué la force véloce de Barry.

Terre 52? Ce n’était pas une des Terre inconnues de Grant Morrison?

Si ca se confirme, c’est la deuxième Terre découverte après celle dévoilée par Tomasi dans Superman.

Batman : The Red Death #1 est le numéro dérivé de Dark Nights : Metal centré sur l’un des Evil Batmen, plus particulièrement le Bat-Flash.

Réalisé par les auteurs réguliers de la série Flash, ce one-shot doit expliquer comment un Batman normal décide de voler la Speed Force du Flash de son Univers afin de protéger son monde - ce qui le rendra Vilain et dangereux.
Bon, en soi, ça fait le job mais ce n’est pas très brillant.
Williamson ne s’appesantit pas sur les éléments justifiant cette quête de Speed Force, et c’est dommage car tout semble rapide (normal pour un Flash) et surtout téléphoné ; ça va vite, trop, et ça donne une sensation de bâclé.

Le one-shot se laisse lire, est très accessoire pour Dark Nights : Metal… mais, surtout, il n’est ni passionnant, ni bien fait. Williamson n’arrive pas à constituer une histoire vraiment intéressante, c’est creux et sans surprise ; et Carmine Di Giandomenico livre globalement des choses solides, mais sans folie, sans entrain, et je dois même avouer que son Red Death rend plutôt mal quand il apparaît.

Bof, bof donc.
Ces one-shots seront, par principe, variés qualitativement, même si on va sûrement avoir très souvent le même principe ; il y aura sûrement une ou deux pépites, beaucoup de moyen, c’est inévitable. Je suis curieux de voir les prochains… mais c’est quand même dommage que ça démarre avec une qualité aussi faible !

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BATMAN: THE MURDER MACHINE #1
Written by FRANK TIERI
Art by RICARDO FEDERICI
Cover by JASON FABOK
As the events of DARK NIGHTS: METAL rock the DC Universe, the creatures of the Dark Multiverse stand ready to invade our world! How can even the World’s Greatest Heroes stop a horde of deadly beings that appear to be powerful, nightmare versions of familiar figures? Find out in these special tie-in issues!
ONE-SHOT • On sale SEPTEMBER 27 • 32 pg, FC, $3.99 US • FOIL-STAMPED COVER • RATED T+

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Source : www.newsarama.com

« The Murder Machine » : miam, ça donne envie.

Jim

Je m’auto questionne.

La terre 52 n’existe pas dans le Multivers. C’est une Terre du Dark Multiverse alors?

Tu aurais préféré « Murder on the dancefloor »? :wink:

Vous vous rappelez de Darkwing Duck aka MysterMask?

Dans la bd récente,il était confronté à des doubles extradimensionnels qui le mélangeait avec d’autres personnages.

Il y avait des mélanges avec Spider-Man,Iron Man,Silver Surfer,Rorschach mais aussi un vampire,une momie,un loup-garou,un centaure,un cyclope,Sherlock Holmes,Harry Potter,Popeye,où est Charlie,Indiana Jones,Simba,Optimus Prime,Robocop,Darth Vader,les Blues Brothers(du coup,il y en a deux),les Jonas Brothers(du coup,ils sont trois),les sept nains(du coup…)et même…Lady Gaga.
Et l’homme aux échasses.

Ils ne deviennent pas méchants mais sont hypnotisés.

Scott Snyder serait-il un lecteur de Darkwing Duck?

J’ai fait un cauchemar cette nuit…

Ce personnage le pourchassait.

Il me hantait…

Il m’a fait mal…

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Batman : The Dawnbreaker

As the events of DARK NIGHTS: METAL rock the DC Universe, the creatures of the Dark Multiverse stand ready to invade our world! How can even the World’s Greatest Heroes stop a horde of deadly beings that appear to be powerful, nightmare versions of familiar figures? Find out in these special tie-in issues!

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Source : www.comicbook.com

Une bonne chose que ce Bruce-là ait l’anneau avant de devenir Batman : ça change du Batman « en poste » qui récupère les pouvoirs des autres après le début de sa carrière.

J’ai lu BATMAN: THE MURDER MACHINE #1 du scénariste vétéran pour vilains Frank Tieri, dessiné par Ricardo Federici, le deuxième one-shot décrivant les origines des « Evil Batmen », ces versions négatives de Batman qui sont, en soi, des fusions méchantes de Batman et des membres de la Justice League.
Si le premier, sur Red Death/Batman-Flash, était fort décevant, le second, s’il ne révolutionne rien, est efficace et mieux mené.

Jouant sur deux tableaux (l’attaque, dans le présent et sur le monde DC normal, de Cyborg par le Vilain ; et le Vilain qui explique son origine via un discours et des flashbacks), Tieri utilise d’une technique fort classique, mais qui demeure efficace (après tout, quand un Batman androïde arrive, il est légitime de lui demander ce qu’il a, et Batman a toujours aimé se la raconter).
En soi, Tieri ne livre rien d’extraordinaire, l’origine est basique mais se tient toujours mieux que celle de Red Death ; du déjà-vu, que ça soit dans le principe qui justifie la transformation de Batman (même si le chagrin « excuse » beaucoup, quand même) ou encore dans l’attaque, mais de l’efficace.
Rien de neuf, rien d’original, rien de bon en fait mais rien de mauvais non plus.

Grâce aux dessins, dont le style en preview ne me plaisait pas mais qui rend très bien à la lecture, avec une atmosphère travaillée et très « inhumaine », qui fonctionne bien ici, l’ensemble se lit très agréablement.
C’est pas brillant, mais ça fait le job et ça rend l’origine de Murder Machine cohérente et solide ; c’est déjà bien, bien plus que Red Death…

J’ai aussi lu Batman : The Dawnbreaker, le one-shot de l’event Dark Nights : Metal sur l’Evil Batman/Green Lantern.

Réalisé par Sam Humphries, qui s’occupe de la série Green Lanterns depuis Rebirth, et Ethan Van Sciver, durablement lié à la franchise depuis des années, ce numéro doit, comme les autres, expliquer l’origine de cet Evil Batman, le faire arriver sur la Terre-DC classique et montrer qu’il est dangereux.
Jusque-là, les one-shots sur les Evil Batmen ont livré soit un échec total, soit un numéro solide fort agréable ; Batman : The Dawnbreaker se situe au milieu.

Si, à la différence des deux premiers, on n’a pas un Batman « en poste » qui se transforme après un drame, on voit ici un Bruce Wayne de 8 ans qui devient Green Lantern dès la mort de ses parents (car il a une Volonté absolue de rendre « justice ») ; si, aussi, on entrevoit globalement comment ce gamin paumé peut se « perdre » dans la violence et la brutalité sans repère ; si, surtout, cela permet de changer et d’offrir quelque chose de différent, le numéro n’est malheureusement pas exempt de défauts et de facilités.
L’absence d’Alfred, les incohérences temporelles (donc Bruce a 11 ans quand le Corps vient le voir ? et juste après il devient Dawnbreaker ?), cette mauvaise idée que ces Evil Batmen soient recrutés juste après leur transformation par le Batman Who Laughs et, mais c’est très personnel, le style de Van Sciver que je ne supporte plus plombent le récit.

Avec un début qui lorgne du côté du bon Murder Machine, mais un ensemble qui tombe un peu comme Red Death, le one-shot Batman : The Dawnbreaker n’est pas désagréable mais très anodin, et finalement un peu gâché. Dommage.