DEATH OF THE INHUMANS #1-5 (Donny Cates / Ariel Olivetti)

DEATH OF THE INHUMANS #5

Written by: Donny Cates.

Art by: Ariel Olivetti.

Covers by: Kaare Andrews, Mike del Mundo.

Description: The Final Stand. The Royal Family has been broken. Now, something new and terrible rises from its ashes. Who is Vox? Where are the Inhumans he’s killed? And what lies ahead for a king without a kingdom?

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Nov. 7.

Source : www.comicscontinuum.com

Non, pas les animaux. C’est interdit ça !

A la base, Lockjaw était un Inhumain transformé ainsi après les brumes, non ?

aucune idée, pour moi c’est le chien qu’on a mis dans les brûmes.

Non.

Si mes souvenirs sont bons, il s’agit d’une idée de John Byrne (que de faire de Gueule d’or un Inhumain transformé), retoquée ensuite par Peter David.

J’aime assez cette idée (celle de Byrne), et je trouve qu’elle tient assez bien la route puisqu’il n’y a aucun (autre) animal chez les Inhumains. Difficile donc de croire que Gueule d’or soit déjà un chien, avant d’être transformé.
[Pour en savoir +]

Et on a bien un Inhumain transformé en porte-téléporteur.

Tout à fait.

Gueule d’or un Inhumain transformé ? lol c’est juste une veille blague faite a Ben Grimm. et elle était bonne.
Vif argent avait expliqué par la suite qu’il s’agissait simplement d’une plaisanterie organisée par Karnak et Gorgone afin de remonter le moral de la Chose en lui montrant un être dont l’aspect humanoïde avait encore plus dramatiquement changé que le sien.
Gueule d’or c’est bien un chien ( ou un animal de compagnie).

Oui j’étais resté sur cette vanne aussi

Peter David en a fait une blague, mais pour Byrne je n’ai pas le souvenir que c’était le cas.
Et comme je l’ai dit, comment expliquer qu’il n’y ait a aucun autre « Inanimal » chez les Inhumains ?

Je préfère de loin l’idée de Byrne.

Idem.

Dès Fantastic Four #45 il est question du chien de Crystal. Pas d’un Inhumain.
si c’était un Inhumain traité comme un chien ça ferait une drôle de polémique.
de plus il ne me semble pas l’avoir entendu parler depuis Byrne en 1983.
finalement c’est un juste un Undog lol
cependant la remarque sur le manque d’autres animaux parmi les inhumains est pertinentes.
il y a une origine story de Gueule d’or?

il y a une origine story de Gueule d’or?

Je crois que Saladin Ahmed en parle dans la récente série Black Bolt toujours inédite en V.F.

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Elle n’est pertinente que lorsqu’elle est en rapport avec l’origine Inhumaine de Gueulle d’Or. Parce que dans les autres séries, les animaux sont tout aussi quasi absents.
Mais dans le monde des Inhumains c’est encore plus flagrant.

Je ne vois d’ailleurs pas, de mémoire, de personnages entièrement transformés en animaux. Si ?!

Je trouve au contraire qu’il y aurait matière à penser, et à scénariser.

personnages entièrement transformés en animaux: Tigra ( transformée par le Peuple Chat) ou dernièrement Sam Wilson en loup garou…ou encore dans une moindre mesure: Puma et silverclaw. mais c’est des transformations partielles car ils gardent une allure humanoïde. cependant il y a Simon Walterson ( Throg, la grenouille de Thor) transformer en grenouille par une sorcière…et ou encore ’Agence Canine de Patrouille Spatiale, les Pet Avengers ou encore la *Legion of Super-Pets . sans oublier ragoon roket

oui il y a matière à penser et à scénariser.

Un Inhuchien ?

Jim

oui si on veut Un Inhuchien lol

Donny Cates finit ici sa mini-série, intitulée Death of the Inhumans ; il fait justice à ce titre, il accomplit la mission sûrement confiée par Marvel (régler le « problème » de la volontaire mise en avant de ce peuple il y a quelques années, et finalement devenu trop présent et nombreux)… et il livre, ici, une des histoires les plus terribles et intenses de la franchise.
C’est une réussite ; brutale, violente, absolue, définitive (comme un comics peut l’être), et intense, oui. Mais réellement une réussite.
Alors que le coeur de son twist a été révélé à la fin du #4, Cates n’a ici qu’à finir son tour, finaliser sa saga après que le lecteur ait découvert l’horreur de ses idées ; il s’en sort très bien. Tout a déjà été écrit, montré, balisé. Les éléments sont connus, la partie est engagée - plus de surprise, plus de twist, plus d’invité surprise. Plus rien, juste… la fin, que le lecteur a pu attendre, redouter, craindre ; espérer, si on a un petit esprit pervers (je l’ai).
Ce final ne surprend pas, donc ; mais il impressionne, par son déterminisme absolu, sa violence, sa sécheresse surtout. C’est simple, c’est direct, mais c’est rempli d’émotion - et d’intensité brutale. Black Bolt y est sublimement écrit, les autres aussi… mais surtout lui.
Il est le héros de cette mini-série ; et le bourreau.
J’espère, vraiment, que Cates continuera à manipuler ces personnages - car il faut continuer, après ça. Pas parce que ce final, si puissant soit-il, n’est pas une vraie conclusion, et demande des éclaircissements ; mais parce que l’auteur maîtrise tant ces personnages qu’il est vraiment demandé qu’il continue sur eux.
Ariel Olivetti participe avec ses planches d’une sobriété parfaite, complètement adaptée à un ensemble d’une sécheresse, d’une intensité et d’une puissance rares. C’est terrible, brutal, mortel ; abominablement dur. Mais… que c’est bien, alors.
Quelle surprise que cette saga. Quelle réussite (même si, oui, le final troque une explication conclusive pour des derniers moments d’une poésie morbide, bienvenue ici).

ça donne envie. vraiment